Pute de vie!
Cruel destin!
C’est toi le coupable
De ce que je suis.
Tu m’as destiné à souffrir
Des accusations infondées
Des personnes mal formées,
Non physiquement
Mais d’un pauvre mental.
Je voulais te contrarier
Et je vois que je n’y arrive pas.
Tu es en moi
Tu es toujours avec moi.
Je veux défendre les désarmés.
Je veux aider les offensés ,
Mais à la fin c’est toujours moi
Qui sort bien baisé.
Et toi, destin, Que fais tu pour moi?
Rien!
Dis-moi à qui j’ai fait du mal.
Tu ne vois pas, bien sûr il n’y en a pas.
Moi, je ne possède pas
Des armes de destruction massive.
Je n’ai que des armes défensives
Qui à la fin à rien elles servent.
Je suis attaqué pour avoir défendu,
Je suis attaqué pour les autres, avoir défendu.
Mais c’est pour quand
Que moi, je laisserais
De me battre pour le bien?
Quand je cesserais, d’être stupide?
Je ne peux pas, je me suis toujours battu.
J’ai toujours risqué
Ma fragile liberté
Et que tu veuilles
Ou ne veuilles pas, destin
Ainsi je continuerais.
Pute de vie.
Destin cruel!
INVITATION
JE VOUS INVITE À VISITER ET À VOUS INSCRIRE POUR PUBLIER VOS POÈMES EN FRANÇAIS AU FRANCO-POÈMES
samedi 12 mars 2011
mercredi 9 mars 2011
JE SUIS LA...PAS TOI
Irrésistiblement
Perdu d'amour
Pour toi je change tout.
Mon corps jalousement
Il n'attend que toi,
Pour toi il est fou.
Il veut que ta peau
Soit collée à la mienne.
Il veut sentir ta chaleur
Et sentir ta sueur
Coulant entre nous deux
Comme un fleuve d'amour.
Remontes le temps
Et réfléchis aux moments
Quand l'amour était roi.
Viens remplir le vide,
Ton corps est torride
Et le mien a froid.
Ton traversin,
Du soir au matin
Est mon Monastère.
C'est lui mon juge,
Mon silence mon refuge
Ou je fais mes prières.
Je n'ai pas oublié
Tous ces baisers
Échangés aux aurores,
Les caresses et les mots,
Le velours de ta peau
La chaleur de ton corps.
Perdu d'amour
Pour toi je change tout.
Mon corps jalousement
Il n'attend que toi,
Pour toi il est fou.
Il veut que ta peau
Soit collée à la mienne.
Il veut sentir ta chaleur
Et sentir ta sueur
Coulant entre nous deux
Comme un fleuve d'amour.
Remontes le temps
Et réfléchis aux moments
Quand l'amour était roi.
Viens remplir le vide,
Ton corps est torride
Et le mien a froid.
Ton traversin,
Du soir au matin
Est mon Monastère.
C'est lui mon juge,
Mon silence mon refuge
Ou je fais mes prières.
Je n'ai pas oublié
Tous ces baisers
Échangés aux aurores,
Les caresses et les mots,
Le velours de ta peau
La chaleur de ton corps.
vendredi 4 mars 2011
PRODUCTION ET REALISATION, DE....
Le Monde est un vrai spectacle
Monté dans un scénario impressionnant
Ou tous les êtres, comme par miracle,
Ont un rôle à jouer, important.
L'univers avec sa Lumière
Illumine la scène comme des rayons laser.
Dieu est le metteur en scène.
La réalisation lui appartient.
Une réalisation ou tout s'enchaine,
L'histoire, la musique, le magicien.
Des grands acteurs et des petits,
Trapézistes et clowns qui pleurent et qui rient.
Il y a le comédien qui joue le rôle d'un riche
Et qui se lamente de ne pas avoir assez.
Et ceux qui jouent le rôle fétiche
Des pauvres et simples ouvriers
Qui font une énorme gymnastique
Et qui se sentent heureux,,, erreur d'optique!
Monté dans un scénario impressionnant
Ou tous les êtres, comme par miracle,
Ont un rôle à jouer, important.
L'univers avec sa Lumière
Illumine la scène comme des rayons laser.
Dieu est le metteur en scène.
La réalisation lui appartient.
Une réalisation ou tout s'enchaine,
L'histoire, la musique, le magicien.
Des grands acteurs et des petits,
Trapézistes et clowns qui pleurent et qui rient.
Il y a le comédien qui joue le rôle d'un riche
Et qui se lamente de ne pas avoir assez.
Et ceux qui jouent le rôle fétiche
Des pauvres et simples ouvriers
Qui font une énorme gymnastique
Et qui se sentent heureux,,, erreur d'optique!
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