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samedi 9 juin 2012

MOMENTS D'AMOUR



Les larmes dans tes yeux, sont des Océans d’amour. 
Ton cœur est un flambeau  qui me donne de la chaleur.
Tes lèvres sont miel , que toi ma belle abeille, tu as fabriqué
Et qui me sucrent mon âme que devant toi s’en va plier.


Tes oreilles sont des radars toujours à mon écoute
Tes cheveux libres au vent, d’amour toujours en lutte.
Tes seins sont un Paradis ou je cherche la félicité
Je les lave avec mes larmes, loin je suis handicapé.


Ton corps est un prodige, la plus belle prière au Créateur
Qu’au soir au coucher nous prions à nos cœurs
Ta peau faite de velours ou je me détends de plaisir
En contorsions sensuelles tu me donnes l’amour à mourir.


Au matin à notre réveil avec nos corps entrelacés 
Nos lèvres embrassons, nous ne sommes pas fatigués.
De la volupté de la nuit qui nous a donnée pleine de félicité 
Une nuit qui nous envouté d’amour et de dignité.


Une rose vermeille t’attend mais encore en joli bouton
Elle jaillira avec la forme d’un cœur doux comme le coton.
Toi, tu la feras caresser tes lèvres soit les lèvres de nous deux 
Seront des moments d’amour qui nous tombent des Cieux.

mercredi 25 avril 2012

DU TEMPS PERDU



Tant et tant d’heures en t’attendant  je passais dans cette rue.
Tout le monde me connaissait et me disait bonjour avec délicatesse
Et comme il était drôle quand la nuit arrivait et la Lune toute nue
Qui me regardait avec tendresse et avec un sourire de noblesse.


Puisqu’elle  savait que je souffrais d’un amour non correspondu .
Tous les jours j’amenais un nouveau bouquet de roses vermeilles
Puisque celles de la veille étaient fanées comme mon cœur perdu
J’espérais pouvoir m’approcher, pour lui dire je t’aime à son oreille.


J’ai espéré en vain, je me suis perdu dans le temps, dans un espace vide
Moi, je pensais que mon cœur arriverait un jour à le conquérir 
C’est comme l’eau de rivière qui se perd en arrivant à la Mer se suicide.
Mon espoir est mort, mon âme souffre et moi, je suis un Martyr



mardi 3 avril 2012

J'ÉCRIS CE QUE LE COEUR ME DIS

Je me suis marié avec toi par amour, tu le sais, poésie?
Il y avait déjà longtemps  que mon cœur me parlait
Il me dictait des paroles d'amour, mais sans modestie,
C’étaient des paroles les plus belles qu’il te dédicaçait.


Peu à peu, j'ai commencé à écrire ces belles paroles
Qui se transformaient en phrases et elles étaient belles.
Sans que je m’aperçoive qu’ une rime à elles s'accole
Et je me suis aperçu que la poésie arrivait, quelle donzelle.


J'ai commencé à  faire attention à toi et l'amour est arrivé.
Toutes les nuits mes rêves ne parlaient que de toi.
En travaillant mes paroles la passion s'est réveillée,
Je fais de mon mieux et dans les lettres je me noie.


Les années ont passé, j'écris des vérités et des mensonges.
Jamais je suis allé plus loin, toujours loin de la perfection.
Je voulais être poète, mais le poète s'inspire et songe
Et moi entre les poètes je suis candidat à l'admission.









dimanche 1 avril 2012

NE SONT QUE DE GAMINS DE LA RUE

Peut importe ou ils naissent.
Peut importe leurs couleurs.
L'important est qu'ils passent 
Dans la vie avec amour.

Quelques uns sont des oiseaux
Qui dorment au clair de lune.
Fragiles comme des cristaux,
Ce sont des oiseaux sans plumes.

C'est triste de voir ces gamins
Qui n'ont pas de feu ni lieu,
Sans Noël et sans sapin,
Mais un destin silencieux

Gamins de triste vie
Qui méritent d'être aimés,
Ils n'ont que la garantie
Que leurs lits... sont de pavés.

Enfants sans passé ni présent
Et d'un lendemain incertain,
Dans ce Monde inquiétant,
Les loups sont moins loin.

Oiseaux qui vont croître
Toujours d’ailes cassés,
Jeunesse qui se laisse abattre
Dans un Monde sans pitié.

Vieux Monde...
Tu est au Moyen-Age.
Ta société sans partage,
N'est plus la Grande Dame.

Vieux Monde...
Ta jeunesse est égarée,
Leurs routes sont éparpillés
Des très froides flammes.

mardi 6 mars 2012

OUBLIANT LE MONDE

Tu es passé à mon coté et même pas tu ne m'as parlé.
Ce fut dans cette ruelle étroite par ou la vie  passe,
cette ruelle ou tant de gens s'y battent pour vivre
moi, je t'ai reconnu, oui et tant d'années se sont envolées.


Dans ce temps, tu vivais avec moi, main dans la main.
Nous naviguions dans le temps sans jamais nous séparer
nous étions allègres, nous riions, nous chantonnions
Nous dansions ,le temps passait mais et lui aussi, rêvait.


Petit à petit, nous allions en nous séparant mais pourquoi ?
Nous n'étions pas brouillés, non, mais la vie est comme ça.
J'ai commencé à vieillir et maintenant j'ai des cheveux blancs
et toi, ah... toi.. ! Tu continues toujours jeune, mais pas moi !


Tu ne m'as pas parlé, je ne prends pas mal, tu as des choses à faire
et moi je préfère oublier tous ces beaux et heureux temps.
Je garde avec moi la nostalgie et comme moi, encore je t'aime
Mais à toi jeunesse que tu as été à moi, je te fais un bisou ardent.

LES BEAUX TEMPS

Tu es passé à mon coté et même pas tu ne m'as parlé.
Ce fut dans cette ruelle étroite par ou la vie  passe,
cette ruelle ou tant de gens s'y battent pour vivre
moi, je t'ai reconnu, oui et tant d'années se sont envolées.


Dans ce temps, tu vivais avec moi, main dans la main.
Nous naviguions dans le temps sans jamais nous séparer
nous étions allègres, nous riions, nous chantonnions
Nous dansions ,le temps passait mais et lui aussi, rêvait.


Petit à petit, nous allions en nous séparant mais pourquoi ?
Nous n'étions pas brouillés, non, mais la vie est comme ça.
J'ai commencé à vieillir et maintenant j'ai des cheveux blancs
et toi, ah... toi.. ! Tu continues toujours jeune, mais pas moi !


Tu ne m'as pas parlé, je ne prends pas mal, tu as des choses à faire
et moi je préfère oublier tous ces beaux et heureux temps.
Je garde avec moi la nostalgie et comme moi, encore je t'aime
Mais à toi jeunesse que tu as été à moi, je te fais un bisou ardent.

mardi 24 janvier 2012

VOIR LA MONTAGNE QUI PLEURE

Que c'est beau voir une montagne qui pleure!
Regarder ses larmes couler dans leurs versants.
A ses pieds se forment des rus, des rivières
Qui allégrement courent vers les Océans.
Que c'est beau voir le réveil du Soleil, son ton vermeil vient chauffer la terre, chauffer nos cœurs, notre âme, notre amour.
Donner de la couleur à la vie, bonheur-du-jour.
Regarder l'infini et les étoiles qui brillent
Comme brillent les yeux de nos enfants
Pleins de sens, pleins d'innocence, pleins de vérité
Pleins d'amour, pleins de joie et pour des instants,
Après les voir rire de plaisir de les voir s'amuser,
Voir leurs larmes qui coulent comme celles de la montagne,
A sautiller comme des cabris entre deux rochers.
La beauté est partout, de la Cordillère des Andes
À la belle légende de la forêt de Brocéliande.

MON ETOILE, MON SOLEIL

Je t'aimais
Je t'aime
Je t'aimerai.
Tu es mon étoile,
Ma lune mon soleil.
Tu es l’océan
Ou je noie mon désespoir.
Tu es l'étoile
Qui guide mon espoir
De voir sur la terre
Que l'amour
Pas la guerre.
Tu es la lune
Qui avec ton air triste
De là haut tu vois
Tout ce que de mauvais existe
Et tu pleures.
Et si un jour
Quelqu'un te verra rire, 

Ce jour là, oui Tu pourras dire,
Oh...comme l'homme a changé!
Tu es mon soleil
Qui chauffe mon corps
Mon âme , mon cœur
Tu me donnes la force
Pour aimer ma femme, mon enfant
A qui tu donnes la splendeur
De l'amour
Qui me sert de support.
Tu es l'étoile
Qui me guide et qui brille
Dans l'océan qui est la vie,
Cette vie que j'aimais
Que j'aime
Et que j'aimerai.

samedi 21 janvier 2012

JE N'AIME PAS LES PORTUGAIS

Je ne suis et jamais je n’ai été raciste
Mais les portugais, je ne veux pas les voir
Même les poils deviennent tous noirs
Quand je vois un de ces Messieurs
Pas du tout joli et en plus bien vieux.




Il bien a la manie de me poursuivre
À chaque fois que je vais à la salle d'eau
Il est là, il ne me fait pas de cadeau.
Je lui fais des grimaces horribles
Et il me provoque, faisant des terribles.


Je lui parle pour tenter de lui faire voir
Que s’ il continue je lui met une claque
Mais il est coquin, un vrai macaque
Et  il imite tous mes gestes d’irritation
Il m’irrite et se  fiche de mes protestations


Ce matin je suis allé à la salle d'eau
Et lui était déjà  là, bien devant moi,
Je lui mis une claque avec bonne joie.
Il a disparu et a amené mon miroir
Pas d'importance, je suis resté peinard.