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samedi 9 juin 2012

MOMENTS D'AMOUR



Les larmes dans tes yeux, sont des Océans d’amour. 
Ton cœur est un flambeau  qui me donne de la chaleur.
Tes lèvres sont miel , que toi ma belle abeille, tu as fabriqué
Et qui me sucrent mon âme que devant toi s’en va plier.


Tes oreilles sont des radars toujours à mon écoute
Tes cheveux libres au vent, d’amour toujours en lutte.
Tes seins sont un Paradis ou je cherche la félicité
Je les lave avec mes larmes, loin je suis handicapé.


Ton corps est un prodige, la plus belle prière au Créateur
Qu’au soir au coucher nous prions à nos cœurs
Ta peau faite de velours ou je me détends de plaisir
En contorsions sensuelles tu me donnes l’amour à mourir.


Au matin à notre réveil avec nos corps entrelacés 
Nos lèvres embrassons, nous ne sommes pas fatigués.
De la volupté de la nuit qui nous a donnée pleine de félicité 
Une nuit qui nous envouté d’amour et de dignité.


Une rose vermeille t’attend mais encore en joli bouton
Elle jaillira avec la forme d’un cœur doux comme le coton.
Toi, tu la feras caresser tes lèvres soit les lèvres de nous deux 
Seront des moments d’amour qui nous tombent des Cieux.

mercredi 25 avril 2012

DU TEMPS PERDU



Tant et tant d’heures en t’attendant  je passais dans cette rue.
Tout le monde me connaissait et me disait bonjour avec délicatesse
Et comme il était drôle quand la nuit arrivait et la Lune toute nue
Qui me regardait avec tendresse et avec un sourire de noblesse.


Puisqu’elle  savait que je souffrais d’un amour non correspondu .
Tous les jours j’amenais un nouveau bouquet de roses vermeilles
Puisque celles de la veille étaient fanées comme mon cœur perdu
J’espérais pouvoir m’approcher, pour lui dire je t’aime à son oreille.


J’ai espéré en vain, je me suis perdu dans le temps, dans un espace vide
Moi, je pensais que mon cœur arriverait un jour à le conquérir 
C’est comme l’eau de rivière qui se perd en arrivant à la Mer se suicide.
Mon espoir est mort, mon âme souffre et moi, je suis un Martyr



mardi 3 avril 2012

J'ÉCRIS CE QUE LE COEUR ME DIS

Je me suis marié avec toi par amour, tu le sais, poésie?
Il y avait déjà longtemps  que mon cœur me parlait
Il me dictait des paroles d'amour, mais sans modestie,
C’étaient des paroles les plus belles qu’il te dédicaçait.


Peu à peu, j'ai commencé à écrire ces belles paroles
Qui se transformaient en phrases et elles étaient belles.
Sans que je m’aperçoive qu’ une rime à elles s'accole
Et je me suis aperçu que la poésie arrivait, quelle donzelle.


J'ai commencé à  faire attention à toi et l'amour est arrivé.
Toutes les nuits mes rêves ne parlaient que de toi.
En travaillant mes paroles la passion s'est réveillée,
Je fais de mon mieux et dans les lettres je me noie.


Les années ont passé, j'écris des vérités et des mensonges.
Jamais je suis allé plus loin, toujours loin de la perfection.
Je voulais être poète, mais le poète s'inspire et songe
Et moi entre les poètes je suis candidat à l'admission.









dimanche 1 avril 2012

NE SONT QUE DE GAMINS DE LA RUE

Peut importe ou ils naissent.
Peut importe leurs couleurs.
L'important est qu'ils passent 
Dans la vie avec amour.

Quelques uns sont des oiseaux
Qui dorment au clair de lune.
Fragiles comme des cristaux,
Ce sont des oiseaux sans plumes.

C'est triste de voir ces gamins
Qui n'ont pas de feu ni lieu,
Sans Noël et sans sapin,
Mais un destin silencieux

Gamins de triste vie
Qui méritent d'être aimés,
Ils n'ont que la garantie
Que leurs lits... sont de pavés.

Enfants sans passé ni présent
Et d'un lendemain incertain,
Dans ce Monde inquiétant,
Les loups sont moins loin.

Oiseaux qui vont croître
Toujours d’ailes cassés,
Jeunesse qui se laisse abattre
Dans un Monde sans pitié.

Vieux Monde...
Tu est au Moyen-Age.
Ta société sans partage,
N'est plus la Grande Dame.

Vieux Monde...
Ta jeunesse est égarée,
Leurs routes sont éparpillés
Des très froides flammes.

mardi 6 mars 2012

OUBLIANT LE MONDE

Tu es passé à mon coté et même pas tu ne m'as parlé.
Ce fut dans cette ruelle étroite par ou la vie  passe,
cette ruelle ou tant de gens s'y battent pour vivre
moi, je t'ai reconnu, oui et tant d'années se sont envolées.


Dans ce temps, tu vivais avec moi, main dans la main.
Nous naviguions dans le temps sans jamais nous séparer
nous étions allègres, nous riions, nous chantonnions
Nous dansions ,le temps passait mais et lui aussi, rêvait.


Petit à petit, nous allions en nous séparant mais pourquoi ?
Nous n'étions pas brouillés, non, mais la vie est comme ça.
J'ai commencé à vieillir et maintenant j'ai des cheveux blancs
et toi, ah... toi.. ! Tu continues toujours jeune, mais pas moi !


Tu ne m'as pas parlé, je ne prends pas mal, tu as des choses à faire
et moi je préfère oublier tous ces beaux et heureux temps.
Je garde avec moi la nostalgie et comme moi, encore je t'aime
Mais à toi jeunesse que tu as été à moi, je te fais un bisou ardent.

LES BEAUX TEMPS

Tu es passé à mon coté et même pas tu ne m'as parlé.
Ce fut dans cette ruelle étroite par ou la vie  passe,
cette ruelle ou tant de gens s'y battent pour vivre
moi, je t'ai reconnu, oui et tant d'années se sont envolées.


Dans ce temps, tu vivais avec moi, main dans la main.
Nous naviguions dans le temps sans jamais nous séparer
nous étions allègres, nous riions, nous chantonnions
Nous dansions ,le temps passait mais et lui aussi, rêvait.


Petit à petit, nous allions en nous séparant mais pourquoi ?
Nous n'étions pas brouillés, non, mais la vie est comme ça.
J'ai commencé à vieillir et maintenant j'ai des cheveux blancs
et toi, ah... toi.. ! Tu continues toujours jeune, mais pas moi !


Tu ne m'as pas parlé, je ne prends pas mal, tu as des choses à faire
et moi je préfère oublier tous ces beaux et heureux temps.
Je garde avec moi la nostalgie et comme moi, encore je t'aime
Mais à toi jeunesse que tu as été à moi, je te fais un bisou ardent.

mardi 24 janvier 2012

VOIR LA MONTAGNE QUI PLEURE

Que c'est beau voir une montagne qui pleure!
Regarder ses larmes couler dans leurs versants.
A ses pieds se forment des rus, des rivières
Qui allégrement courent vers les Océans.
Que c'est beau voir le réveil du Soleil, son ton vermeil vient chauffer la terre, chauffer nos cœurs, notre âme, notre amour.
Donner de la couleur à la vie, bonheur-du-jour.
Regarder l'infini et les étoiles qui brillent
Comme brillent les yeux de nos enfants
Pleins de sens, pleins d'innocence, pleins de vérité
Pleins d'amour, pleins de joie et pour des instants,
Après les voir rire de plaisir de les voir s'amuser,
Voir leurs larmes qui coulent comme celles de la montagne,
A sautiller comme des cabris entre deux rochers.
La beauté est partout, de la Cordillère des Andes
À la belle légende de la forêt de Brocéliande.

MON ETOILE, MON SOLEIL

Je t'aimais
Je t'aime
Je t'aimerai.
Tu es mon étoile,
Ma lune mon soleil.
Tu es l’océan
Ou je noie mon désespoir.
Tu es l'étoile
Qui guide mon espoir
De voir sur la terre
Que l'amour
Pas la guerre.
Tu es la lune
Qui avec ton air triste
De là haut tu vois
Tout ce que de mauvais existe
Et tu pleures.
Et si un jour
Quelqu'un te verra rire, 

Ce jour là, oui Tu pourras dire,
Oh...comme l'homme a changé!
Tu es mon soleil
Qui chauffe mon corps
Mon âme , mon cœur
Tu me donnes la force
Pour aimer ma femme, mon enfant
A qui tu donnes la splendeur
De l'amour
Qui me sert de support.
Tu es l'étoile
Qui me guide et qui brille
Dans l'océan qui est la vie,
Cette vie que j'aimais
Que j'aime
Et que j'aimerai.

samedi 21 janvier 2012

JE N'AIME PAS LES PORTUGAIS

Je ne suis et jamais je n’ai été raciste
Mais les portugais, je ne veux pas les voir
Même les poils deviennent tous noirs
Quand je vois un de ces Messieurs
Pas du tout joli et en plus bien vieux.




Il bien a la manie de me poursuivre
À chaque fois que je vais à la salle d'eau
Il est là, il ne me fait pas de cadeau.
Je lui fais des grimaces horribles
Et il me provoque, faisant des terribles.


Je lui parle pour tenter de lui faire voir
Que s’ il continue je lui met une claque
Mais il est coquin, un vrai macaque
Et  il imite tous mes gestes d’irritation
Il m’irrite et se  fiche de mes protestations


Ce matin je suis allé à la salle d'eau
Et lui était déjà  là, bien devant moi,
Je lui mis une claque avec bonne joie.
Il a disparu et a amené mon miroir
Pas d'importance, je suis resté peinard.

samedi 31 décembre 2011

LA MORT DE 2011

23 heures et 59 minutes le 31 Décembre 2011.

Quelque part dans la Planète.

2011 prépare sa malle pour nous dire adieu. La malle était une malle spéciale,c' était une luxueuse urne.
Elle a passé 12 mois très malade et sentait que les derniers minutes de vie arrivaient.
Dans des coins de l'urne ,elle a rangé toutes ses affaires ; les mauvais moments, qui ont été beaucoup, les dégouts, pour savoir qu'elle n'a pas vécu avec l'harmonie ni avec la paix, ni avec l'amour.
Beaucoup de personnes la détestaient et désiraient vivement de la voir partir.
Combien de fois elle a entendu les gens dirent, maudite année, nous espérons que la nouvelle année sera bien meilleure que celle ci, 2011 fut une année de changements mais pour le pire et 2011 était triste, malade, boiteuse, mais il y avait aussi ceux qui disaient que 2011 a été une très belle année, elle les avait amené la crise et qu' avec elle ils ont vu augmenter substantiellement ses richesses et frottaient leurs portefeuilles de contentement, disant : espérons que la nouvelle année ne change en rien !
Les 24 heures du 31 Décembre étaient déjà proches ; 2011 se préparait pour mettre un pied dans le cercueil et voilà sinon quand...
Tlim tlim tlim, tlim.
2011 regarde autour d'elle et elle voit arriver en toute pompe et circonstances une très belle Limousine bien ornée, le son de la musique bien fort qui envahissait toutes les maisons.

-Regardez qui arrive !!! a crié 2011, alors, tu es arrivée avec la volonté de faire mieux que moi ?
-Je pense bien que oui, puisque toi, tu as été une année de désespoir pour les pauvres gens qui s'attendaient plus de toi et qu' as tu fait ? Rien de bon ! J'irais faire bien mieux que toi, tu verras... bon... bon... c'est une façon de dire, puisqu'il te manque à peine quelques secondes pour que tu meures.
-Bien, moi, quand je suis arrivée j'avais dit la même chose que toi mais je ne suis pas arrivée à faire quelque chose de bien vu, que quand je tentais quelque chose pour plaire, il y avait tout de suite des protestations qui donnaient des guerres. J'ai voulu donner des abris aux pauvres et je suis devenue mal vue, beaucoup d'autres choses, que moi, j'ai honte de te le dire, je ne veux pas te faire perdre ton moral mais je te désire un immense courage pour que tu puisses faire du bien à ce peuple qui a beaucoup souffert.
-Compte sur moi , a répondu 2012.
Din don din don din don din don... Les cloches annonçaient l'arrivée de la Nouvelle Année et à ce
moment précis, 2011 est tombée dans le cercueil, elle venait de mourir.
Les fenêtres des immeubles se sont ouvertes, les habitants sont venus fêter l'arrivée de 2012, on pouvait entendre les bouchons des bouteilles de champagne, pour quelques uns, pour des autres, un verre de vin blanc faisait son effet, les baisers et les souhaits d'une heureuse Nouvelle Année s’attendaient un peu partout , 2012 heureuse d'être née, accompagnait de son regard le peuple qui chantait et dansait dans les rues avec l’espérance qu' à partir de ce jour là tout irait mieux mais il a commencé à pleuvoir, et tout le monde est rentré chez eux en laissant 2012 avec plein d' espoirs
mais cette nuit là... il a plu.

mercredi 7 décembre 2011

DEUX ÉPOUSES

 Je vis en belle  bigamie
J'ai deux beaux amours
Une s’ appelle Martine
L'autre s'appelle Arthrite.
Mais elles sont deux fleurs
Qui ne sont pas une réussite


Une m' attaque les poches
L'autre les articulations
Les poches sont bien vides
L' Arthrite me tord les orteils 
Et les pieds sont des melons
Elles ont un caractère morbide.

vendredi 25 novembre 2011

LA FELICITE DES MEPRISES


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À notre naissance, nous devrions naître pour être heureux
Mais ce n’est pas toujours comme cela, il y a les privilégiés.
Nous avons tous, une âme, un cœur et aussi nos racines,
Peut être , pour la félicité nous sommes méprisés ?

Dans les rues des villes  je ne vois pas un beau sourire
De tant de gents avec qui je me croise, je vois la tristesse.
Je vois beaucoup de sans abris tendant la main à la charité
Demandant quelques centimes pour manger, une prouesse.

Je vois aussi des enfants qui se prostituent dans les rues.
Je vois les vautours qui vont de ses victimes s'approprier.
Personnes sans cœur, opportunistes vides de sentiments
Qui vivent dans un désert sans mirages mais tout est réalité.





mardi 8 novembre 2011

JE DEMOLIRAIS MONTAGNES







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Je retournerai la Terre et les Cieux
Sécherai les Océans pour te trouver.
Tu es la préférée de mes rêves joyeux,
Tu es celle que mon cœur veut aimer.


Je sais que tu existes, mais je ne sais pas ou.
J’attends un signe de toi, ou un sourire,
Mais je ne vois rien, tout se confond en tout,
Tout est l’Enfer, et tout est aussi le Paradis.


Je regarde le coté ou nait le beau Soleil,
Tous les jours et je ne te vois pas arriver
Je reste comme un phare, la mer je surveille
Espérant de te voir sur les ondes arriver.


Je démolirai les montagnes, je demanderai
À la Lune et l’Étoile Polar quel est le chemin
Qui guide mes pas pour aller dans ta rue
Pour que l’amour ne me laisse mourir de chagrin

vendredi 21 octobre 2011

MA VIE, MA PASSION



Je t’ai offert une rose dans une nuit de pleine Lune,
Une rose rouge d’amour et très bien parfumée,
Qui avait poussé si bien dans mon cœur,
C’était mon amour pour toi qui a grandi abrité.


J’ai vu ton sourire dans tes beaux yeux bleus
Et j’ai vu tes lèvres qui procuraient les miennes
Qui avec promptitude  elles ont accepté tes désires,
Nos lèvres se sont collées, il a était crée notre Eden.


Mon amour, mon amour, ma passion, ma vie,
Sans toi je ne pourrais vivre, et l’amour grandira,
Rien nous pourra arrêter, je veux t’aimer sans fin
Puisque que tu vis en moi et toujours ainsi sera.


Demain, mon amour , c’est sûr je te donnerais 
Une autre fleur en satin pour orner notre lit,
Lit, ou nous ferons l’amour dans la nuit obscure
Et ainsi naitra un amour passionné et épanoui.

lundi 17 octobre 2011

IL Y A TOUJOURS UN NID, UNE PLACE







image rutadelaplata.com


Il bat doux, doucement
Mon cœur et tu le sais.
Si tu n'as pas d’inconvénient
Lance toi à l'eau, de ce quai.

De ce quai qui est ton abri
De la mer de notre amour,
Mon cœur va être aussi
Avec dans sa main une fleur.

Une fleur bien parfumée
Avec le parfum de ton amour
Tu me donnes tout sans rien demander
Tu veux que je sois ton confesseur.

Ton confesseur de tes pensées
Parce que tu penses à moi.
À toutes heures sans m'oublier
L'amour est toujours comme çà.

Toujours comme çà quand on aime
D'amour pur et très profond.
Ce n'est pas seulement au lit qu'il se sème
Mais dans toutes les places au Monde.

Dans toutes les places au Monde
Il y a toujours un nid ou une artère
Pour que notre amour vagabonde
Même qu'il soit dans la haute-mer.

mardi 20 septembre 2011

QUAND JE SUIS NÉ


























  • Quand je suis né,
Personne ne m'a dit que la tristesse existait.
Quand je suis né,
Personne ne m'a dit pourquoi le Monde tournait,
Seulement on m'a dit que partout avait de la beauté
Quand je suis né,
Personne ne m'a dit que le Soleil brillait que le jour
Quand je suis né,
Personne ne m'a dit qu'il ne brillait pas pour tous
On m’a dit qu’il y avait que allégresse et amour.
Quand je suis né,
On ne m’a pas dit que les bidonvilles existaient.
Quand je suis né,
On ne m’a pas dit que pour beaucoup avait que la nuit
Et que la Lune arrivait seulement quand les étoiles brillaient.
J'ai grandi et j'ai vu beaucoup de tristesse et de solitude.
Beaucoup de personnes sans un foyer et sans un lit
Résistant au froid à dormir par terre dans des hivers rudes,
Des vies vécues tristement et de la chaleur proscrits.
Quand je suis né,
Personne ne m’a raconté toute la vérité, toute la réalité.
Quand je suis né,
J'ai commencé tout de suite par les gents à être trompé
Et moi, innocent, je commençais à croire à l’égalité.
Quand je suis né,
Tout de suite, je naquis entre paroles de mensonges.
Quand je suis né,
Personne ne m’a parlé du cynisme ni de l’hypocrisie
Et qu’à la fin,c’était notre jour à jour, c'était la vie.
Quand je suis né,
Je suis né entre des baisers et des éloges aussi
Mais je crois que tout était fait dans un but précis.






















dimanche 21 août 2011

DE QUEL DROIT?


GIF MANIAC


De quel droit,  je suis obligé à être jugé
Par des personnes qui ne me connaissent pas ?
Pourquoi moi, à ne rien dire je suis obligé?
Pourquoi il y a des personnes qui jugent
Sans savoir de quoi elles parlent, pourquoi ?
Des gents que je reçois chez moi délicatement
E qui se donnent le luxe de dire n'importe quoi.
Voilà une façon de faire la merde avec la famille,
Mais je ne le ferais pas par amour et respect,
À ceux que j'aime, laissez-nous vivre notre vie.
N’entré pas dans de chemins que vous ne connaissais pas.
Il sont de chemins privés ou l’amour nous le promenons
Laissez-nous être heureux à vivre dans ces chemins
Chemins de joie de vivre ou nous, nous aimons
Ces gents là, ne sont que de psychologues
De trainer à la maison et les pousser dans un coin
Tant que j'aimerais vivre en paix et en harmonie !
Parfois je me pose des questions, cela vaux la peine
De continuer à vivre, de faire le bien à qui a besoin,
Depuis deux ans, j'ai recommencé à vivre heureux,
Quelqu'un de bien, m’a rendu mon fils et ses enfants
Et voilà que quelqu'un sans même me connaître
Vient chez moi et le lendemain m'a rendu triste.
Si, triste, puisque je ne sais pas de ce qu’on m'accuse
Que notre situation se résolve au plus vite,
Laisser mon épouse sans problèmes dans le futur,
Et après, pressé, j’attendrais ma fin, bref, mais sûr.









vendredi 19 août 2011

TOI, CAMARADE

IMAGE SKIBLOG


Camarade
Qui toujours avec dignité
Tu t’es battu
Pas toujours tu as gagné
Pas toujours tu as perdu
Tes victoires
Sont les victoires du peuple
La gloire
Pour toi, camarade
Est la félicité
L’ égalité
Amener quelque chose de nouveau.
Combien de camarades
Ont payé leur lutte
Dans les cachots
De ces fils de pute
Que nous exploitent
Que rient sans pitié
De ceux que pleurent
De ceux que meurent
En étendant la main à la charité.
Mais toi, camarade,
Tu as une âme, tu as un cœur,
Et pour cela tu te bats
Pour que tous puissent avoir du pain
Qui ne soit pas, le pain de la peur

vendredi 17 juin 2011

COUPER LE CORDON OMBILICAL

Image folies62 centerblog


Couper le cordon ombilical à la naissance, c’est donner la continuité à la vie.
Ce petit être qui vient de naître va affronter une route, route de son destin.
Il va grandir, va être aimé , va entrer dans une piste sans avoir la garantie
De couper le fil d’arrivé déjà fait homme, avec la nostalgie de quand gamin.


Les années avancent et lui fini aussi par former peut-être une belle famille.
Il aime ses enfants mais parfois vivent dans un Océan pas toujours calme.
Il y a des tempêtes très difficiles à calmer, il navigue dans un grand noir de la vie
Et un port d’abri pour le trouver comme c’est difficile d’abriter notre âme.


La vie passe et elle est triste pour ceux qui ont eu le destin que les a marqué.
Elle passe à être un bateau sans voiles, sans gouvernail ,un bateau à la dérive.
Elle perd sa route, perd le Nort, et  même l’Étoile du Berger est une insulte.


Dans les vagues géantes, enragées, le bateau de la joie, peu à peu, sombre.
L’équipage n’arrive pas à le sauver, ils ne font que continuellement s’insulter.
Couper le cordon ombilical, c’est de la joie,mais pas quand on le coupe déjà adulte.

lundi 13 juin 2011

RESTE LA NOSTALGIE



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Quand j'étais jeune, c’était le vieux temps.
Temps de guerre, de dictature, de difficultés.
Dans ma jeunesse, j'ai eu des bons moments
C’est les mauvais moments que je n'ai pas oubliés.


Les années avancent, mais pas les facilités, 
Tous ne pouvaient pas avoir du pain sur la table.
La guerre est terminée, dans le cœur elle est restée
Pour avoir un futur d’espoir ,ce n’était pas envisageable.


Les siècles changent, changent les technologies
Le peuple pensait que la révolution tout changerait,
Nous avons gagné la Liberté, est restée la démagogie,
La loi du plus fort continue dans ce monde imparfait.


Nous travaillons, des autres étudient dans les Universités,
 Tous ne  peuvent pas être docteurs , tous ne seront pas maçons
Tant d'années de labeur et nous gardons les difficultés
Nous sommes obligés de laisser les Pays que nous aimons.


Tout est triste, mais il y a quoi de bon dans la société?
Pourquoi pour les uns tout est de roses, pour les autres des épines ?
À nous séparer de ceux que nous aimons, sommes obligés
Nous les gardons en pensée et nous sentons du mal à la poitrine. 

lundi 6 juin 2011

MON CHEMIN, MON DESTIN



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J’ai marché dans des ruelles étroites ou habite la vie.
Comme c’est difficile marcher sur du pavé bien noir
Les murs  presque se touchent , le Soleil se congédie
Seulement l’ombre marche avec moi, c’est barbare.


Mon corps comprimé entre deux murs, il gémissait.
Il sentait que la vie  faisait souffrir sans une avenue
Ou il pourrait marcher sans la  souffrance attrapée
Mais pour lui , était destiné que des ruelles perdues.


J’ai tenté d’abandonner ces vieux chemins sinueux 
Mais une force étrange me niait un chemin cristallin.
J’ai continué à marcher dans les chemins dangereux.
Et je suis resté convaincu que ce chemin était mon destin.

dimanche 15 mai 2011

SANS AMOUR, SANS AMITIÉ














Photo de CASSIS


Ils frayent tant  de chemins de la vie
Des rues et des avenues du désespoir
Des ruelles, des impasses sans sortie
Et un destin très  amer et sans espoir.

Ils marchent de rue en rue en cherchant
La félicité qu'ils ont toujours bien désiré
Mais ils  trouvent que des encombrants
Mais du bien être jamais ils ont trouvé.

Sans force, ils  se sentent  personne.
Sans amour, sans amitié, même sans rien
Ils ont  dans leurs cœur un vide énorme
D'une vie vécue sans avoir vu le petit matin.

Dans eux,c’est toujours nuit, tout est noir,
Vivant dans une vieille maison épouvantée
Dans tout ce qu'ils font, la vie est brouillard
Qui ne les laisse pas voir une vie argentée.

Les enfants on faim et aussi froid
Et qu'est ce que la société leur donne?
Rien du rien, que souffrance, sans toit,
Sans amour, sans futur, ils sont personne.

mardi 10 mai 2011

LA VIE EST UNE ARDOISE

 La vie est comme une ardoise de l’école primaire.
Sur elle ,on commence à apprendre à lire, écrire, à compter.
Comme la vie, tout ce qui est en elle est nécessaire
Pour apprendre à vivre, apprendre à savoir lutter.

Savoir lutter pour apprendre le meilleur chemin.
Celui qui nous enmène à la félicité mais parfois, non.
Nous casons  les lettres de la vie avec le Jasmin
À la fin, elles se fanent laissant le cœur à l'abandon.

Le cœur. Pièce importante pour la vie et pour l'amour.
Sans amour il n'y a pas de vie, mais  de la tristesse.
C'est vivre méprisé par la réalité, rien a du primeur,
Les fleurs n'ont plus de parfum, ni leur richesse.

Les pavés sont des épines et sur eux nous marchons.
Le claire de Lune dans une vie sans espoir, est pénombre.
Il n'y a plus d’avenues ni de Soleil, ni de la passion
Et l'heure de la mort , c'est le moment plus sombre.

vendredi 22 avril 2011

J'AI TUÉ LE MORT




J’ai tué le mort qui était déjà mort avant de mourir.
Il avait passé la vie en état comateux ,il  vivait sans savoir.
Dès sa naissance que pour lui la vie n’était rien, sans rire
C’était une vie sans plaisir, loin de la réalité , dans le brouillard.

Nous avons tous une route, un chemin dans la vie à parcourir
Qui nous est offert, s’il n’y a rien  en troc c’est la vie naturelle.
Mais quand le chemin nous est imposé sans qu’ on puisse choisir,
C’est la tristesse qui s’ installe, il n’y a pas de sourire, c’est anormal.

Il y a ceux qui naissent aveugles et ne verront pas ni le Soleil ni la Lune.
Suivant leur chemin par la main de quelqu’un, un ami, dans sa rue
Il y a ceux qui naissent sans berceau et auront un emballement d’amertume.
Continuant leur chemin  dans la misère et son destin ainsi continue.

Je suis le destin qui tue le mort qui était mort avant de mourir ,
Puisque vivre avec la souffrance n’a pas de sens, mais que faire?
Il serait  donc mieux de tout oublier, oublier la vie et alors partir
Ainsi on meurt de plaisir, on meurt avec le gout du mystère.








samedi 16 avril 2011

LA VIE EST AVEUGLE



J’en ai marre de tout, j’en ai marre de rien, je ne sais pas ce que je sens.
Rien n’est véritable, tout est un mite, tout le Monde est très faux.
Ce que aujourd’hui est vrai, demain est fantaisie, Est-ce que je mens?
Nous sommes tous condamnés à être exposée sur l’horrible échafaud.

Nous sommes condamnés à vivre sans un  sourire, à vivre très triste,
Je marche dans les rues, dans les villes  et je ne vois que du ciment.
Même les pavés de nos ruelles ne pleurent plus, rien n’existe
Qui nous donne de l’ espoir, qui nous donne de l’amour longtemps.

Les yeux ne brillent pas ,ils brillent à peine à quelques uns encore heureux.
Les lèvres donnent des baisers plein de nostalgie de l’ancien bon temps.
Les feuilles tombent, c’est l’automne de la vie qui nous blesse le cerveau.,
Qui nous laisse plus faible dans l‘âme et aussi sans doute les sentiments.

Comme j’aimerais que tout ce que j’ai écrit ici ,ne soit qu’un cauchemar.
Qui au réveil pour la réalité,  pouvoir dire, ah, bon… cela était un rêve!
Mais ce n’était pas un rêve, mais la vérité de la vie que nous donne le cafard.
Parce que  nous savons que le vie est aveugle, qui passe vite et s’achève.

dimanche 3 avril 2011

LA TENDRESSE DES QUATRE VINGTS

^
















Quand on arrive aux quatre vingt
Ce n'est pas la tendresse des quarante
Mais la Parkinson qui vient d'arriver
Attaquant le cerveau sans aviser
Et commence ainsi la tourmente
Alzheimer vient à son tour
Qui fait souffrir le jour à jour
Ceux qui nous  donnent le support
Parfois désirent qu’ arrive le jour
Que tout finisse avec la mort
.

Et comme cela,
La vie va continuant
Les déboires passant
Sans nous donner de la joie.
Mais que faire,
Nous avons notre destin
Sans savoir si c'est demain
Que nous finirons par nous taire.

Mais si on arrive Aux quatre vingt dix
Une ride de plus avec joie se glisse
Dans notre corps déjà usagé,
Dans notre cœur aussi bien fatigué
Espérant voir quelqu'un sourire,
De vouloir fêter d'anniversaires encore
Bien entouré de grande tendresse
Donné par ses enfants et nièces
Qui les donne toujours de l'amour
Mais la tendresse des quatre vingt
Ce n' ais pas la tendresse des quarante

samedi 12 mars 2011

PUTE DE VIE, DESTIN CRUEL

Pute de vie!
Cruel destin!
C’est toi le coupable
De ce que je suis.
Tu m’as destiné à souffrir
Des accusations infondées
Des personnes mal formées,
Non physiquement
Mais d’un pauvre mental.
Je voulais te contrarier
Et je vois que je n’y arrive pas.
Tu es en moi
Tu es toujours avec moi.
Je veux défendre les désarmés.
Je veux aider les offensés ,
Mais à la fin c’est toujours moi
Qui sort bien baisé.
Et toi, destin, Que fais tu pour moi?
Rien!
Dis-moi à qui j’ai fait du mal.
Tu ne vois pas, bien sûr il n’y en a pas.
Moi, je ne possède pas
Des armes de destruction massive.
Je n’ai que des armes défensives
Qui à la fin à rien elles servent.
Je suis attaqué pour avoir défendu,
Je suis attaqué pour les autres, avoir défendu.
Mais c’est pour quand
Que moi, je laisserais
De me battre pour le bien?
Quand je cesserais, d’être stupide?
Je ne peux pas,  je me suis toujours battu.
J’ai toujours risqué
Ma fragile liberté
Et que tu veuilles
Ou ne veuilles pas, destin
Ainsi je continuerais.
Pute de vie.
Destin cruel!

mercredi 9 mars 2011

JE SUIS LA...PAS TOI

Irrésistiblement
Perdu d'amour
Pour toi je change tout.
Mon corps jalousement
Il n'attend que toi,
Pour toi il est fou.
Il veut que ta peau
Soit collée à la mienne.
Il veut sentir ta chaleur
Et sentir ta sueur
Coulant entre nous deux
Comme un fleuve d'amour.
Remontes le temps
Et réfléchis aux moments
Quand l'amour était roi.
Viens remplir le vide,
Ton corps est torride
Et le mien a froid.
Ton traversin,
Du soir au matin
Est mon Monastère.
C'est lui mon juge,
Mon silence mon refuge
Ou je fais mes prières.
Je n'ai pas oublié
Tous ces baisers
Échangés aux aurores,
Les caresses et les mots,
Le velours de ta peau
La chaleur de ton corps.

vendredi 4 mars 2011

PRODUCTION ET REALISATION, DE....

Le Monde est un vrai spectacle
Monté dans un scénario impressionnant
Ou tous les êtres, comme par miracle,
Ont un rôle à jouer, important.
L'univers avec sa Lumière
Illumine la scène comme des rayons laser.

Dieu est le metteur en scène.
La réalisation lui appartient.
Une réalisation ou tout s'enchaine,
L'histoire, la musique, le magicien.
Des grands acteurs et des petits,
Trapézistes et clowns qui pleurent et qui rient.

Il y a le comédien qui joue le rôle d'un riche
Et qui se lamente de ne pas avoir assez.
Et ceux qui jouent le rôle fétiche
Des pauvres et simples ouvriers
Qui font une énorme gymnastique
Et qui se sentent heureux,,, erreur d'optique!

vendredi 25 février 2011

JEUNES, FAITES L'AMOUR

IMAGE SKYROK

Bonjour!
Je suis l'amour
Qui, avec allégresse,
Votre cœur je vais caresser.
Chantez à la Liberté,
Jeunes, riez ,dansez,
Aimez sans jamais vous fatiguer.

Bonjour!
Je suis ici...
Pour vous faire rire,
Je viens vous amuser.
Et c'est avec orgueil
Que je vous donne le conseil,
De la vie respecter.

Bonjour!
Je viens vous inviter
A semer l'amour,
Le monde en a bien besoin.
Ne faîtes pas des bêtises
Mais de l'amour exquis
Et aimez vous avec élan.

Jeunes. Faîtes l'amour
Même que ce soit dans la rue
La vie vous appartient
Donnez-lui de la joie.

A la drogue faîtes le sourd
Sinon vous allez souffrir.
La vie a plus de plaisir
Sans drogue, mais avec l’amour.

BEAUTÉ... TU ES DÉESSE



Beauté...que tu viennes du Ciel,
Que tu viennes de la montagne,
Tu es la Déesse que tout embelli.
Tu embellis les vallées, les rivières...
Tu donnes le charme à la vie!
Sans toi, il n'y aurait pas l'aurore
Le printemps et encore,
Les couleurs des arbres à l'automne.
La beauté de la nativité,
Les premiers pleurs des bébés.
Le lever et le coucher du Soleil,
La Lune argentée, quelle merveille,
Toujours l'inspiration des poètes
Qui prennent leurs plumes
Pour écrire sur un monde parfait.
Pour un peintre la vraie beauté...
Il faut la peindre dénudée.

mardi 22 février 2011

ALLONS TENTER D'ÊTRE HEUREUX


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La vie passe à courir
C'est le temps d'un soupir,
On n'a pas le temps de rêver.
Quelques uns vivent heureux,
D'autres sont malchanceux,
Ils passent le temps à pleurer.

La vie, c'est une fleur
Avec un parfum d'amour
Mais trop chargée d'épines.
Quand elle commence à faner
Elle est moins parfumée
Et moins forte de la racine.

Alors... allons nous, nous amuser,
Bien rire et bien chanter,
Avec du respect pour la vie.
Allons danser dans les ruelles,
Comme le plus heureux des mortels,
Faîte de la tristesse une utopie.

Si on danse une valse
La bourrée ou la salsa
Votre cœur est heureux.
Chanter sous les étoiles
Une balade, est normal
Si on est bien amoureux.

Au soleil ou au clair de lune,
Défeuiller une pâquerette,
Allons rire, allons chanter,
Personne ne doit pleurer,
Colorons la planète.

Il nous faut savoir vivre,
Tout oublier, c'est mieux,
Sans trop se préoccuper,
Allons tenter d'être heureux.-

LA PLUS BELLE DES GUERRES


Image centerblog

Dans ce Monde, dans cette Terre
Existent tant, tant des guerres,
Mais toutes sont différentes.
Il y a la guerre pour le pouvoir.
La guerre pour l'argent.
La guerre dans le sport
Pour se montrer épatant.
Mais il n'y a pas de meilleure guerre
Que la guerre de l'amour
Qui vient des nuits des temps,
Pour Adam et Ève... peut-être un passe-temps!
C'est une guerre de corps à corps
Dans un ballet de joie.
Les armes? Ce sont les yeux qui brillent
Comme des épées scintillantes,
Lèvres qui se croisent
Entre deux êtres amants.
Deux corps jamais fatigués
D'avoir lutté comme des guerriers,
Mais des guerriers heureux,
Qui, par l'amour, se sont fait emprisonner.
A la fin de cette lutte d'amour,
Nos corps abandonnés
Se reposent allongés
Dans ce champ de bataille
Qui n'a été qu'un lit.
Et nous avons comme médaille
Une allumette et sa flamme
Pour allumer nos cigarettes.
Et entre deux auréoles de fumée
Ma main avec délicatesse
A caressé ton corps.
Tes yeux se sont fermés de confort
A sentir ma caresse.
Nos corps ont transpiré.
Nos cœurs ont soupiré
Avec un soupir troubadour,
Cela était une victoire de l'amour!
Alors... Seigneurs des guerres,
Plantez profond dans la terre
Vos fusils, jusqu'à ce qu'ils donnent des fleurs!

dimanche 20 février 2011

GAMINS QUI VIVENT DANS LE RIEN


                          image Flirk

Je me promène dans les rues de la ville
Et je vois de la marmaille perdue.
Très loin de la joie enfantine
Et très loin d'une vie de vertu.

Je divague et je vois ces gamins
La, ou n'existe pas la morale.
Je les vois souffrir de leur dédain,
Ils sont victimes d'un destin brutal.

Des gamins qui vivent dans le rien,
Qui voyagent dans le désarroi
Dans une longue randonnée
Dans cette Terre incendiée
Ou la chaleur nous donne du froid.

Ils échangent leurs corps par des euros
Pour ainsi, pouvoir encore vivre.
Ce n'est pas une vie de velours
Mais une souffrance sans amour,
Qu'ils ne désiraient  pas poursuivre.

Pour eux, les jours ne sont pas ensoleillés.
Les nuits n'ont pas de clair de Lune.
Leur futur est un Océan effrayé,
Leurs regards n'ont même pas de rancune.

Ceux qui les exploitent avec dédain
Ce sont des loups qui rodent la nuit.
Ce sont des fauves de mauvais instinct
Oubliant, qu'ils ont été des gamins aussi.

DIEU EST BON

Dieu est bon, Dieu est grand, Dieu est fort.
Disposant de notre vie et de notre mort,
Dieu nous dit, résignez-vous de votre sort.
Il y a des Princesses malheureuses
Et leur Prince consort...
Dieu dit, résignez-vous de votre sort.
Si le Roi du pétrole
Avec sa Cour au casino convole,
Dieu dit, résigne-toi de ton sort.
Au simple ouvrier s'en allant travailler
Sans argent pour le transport,
Dieu lui dit, résigne-toi de ton sort!
Dieu est bon, Dieu est grand, Dieu est fort.
Aux Pays détruits par la guerre
Avec la haine comme unique support,
Dieu dit, résignez-vous de votre sort.
Nous savons que dans les foyers des pauvres,
Les tables sont vides de pain et de nord,
Dieu dit, résignez-vous de votre sort.
Dans les Palais ou se fait la fête,
Les tables sont pleines et l'orgie l'emporte,
Dieu dit, résignez-vous de votre sort.
Comme pendant que frémi la terre
Voyant une fillette qui dans la boue s'enterre
Lisant dans ses yeux la mort,
Dieu dit, résigne-toi de ton sort.
Dieu est bon, Dieu est grand, Dieu est fort.
Résignons nous de notre sort.
Dieu est trop fort!

vendredi 18 février 2011

RÊVE DE POETE

CLIQUEZ SUR L'IMAGE, S.V.P.         IMAGE CENTERBLOG

Je prends ma plume pour écrire sur la paix.
Mais comme c'est difficile... il faut avouer!
Comment s'exprimer sur ce qui n'existe pas?
La nature a voulu que l'homme soit intelligent,
Mais il parait qu'il a décidé autrement.
Sinon, comment pouvons nous expliquer
Que l'homme puisse détruire et haïr
Tout ce que de bien la nature a crée?
La soif du pouvoir est très forte;
En parlant de la paix, il sème la mort.
Au nom de la paix, lui, aussi, emprisonne.
Il torture et fait comme un fantôme
Qui cause la frayeur dans un château hanté.
Je voudrais que la jeunesse d'aujourd'hui
Puisse avoir demain, la paix du Paradis.
Vivre d'amour comme Roméo et Juliette,
mais tout cela... n'est qu'un rêve de poète!

J'AI SERRÉ LA MAIN À LA MORT



Cliquer sur l'image, S.V.P.           IMAGE CENTERBLOG

Je suis entré à l'hôpital
Et j'ai serré la main à la mort,
Mais elle, froide, m’a banni.
Je suis passé au moment idéal
J'ai eu une chance géniale
Elle ne m'a pas refroidi.

Vêtue d'une robe longue, noire,
Un air de ne pas avoir des amis,
Elle m'a regardé avec dédain.
Dans un envol de chauve-souris
Elle est partie dans son abri
Pensant toujours à quelqu'un.


Haït par nous, les vivants,
Elle a la décision suprême
Et une étrange liberté.
Ses objectifs sont frappants
Tout le monde la condamne
Personne n’ arrive à la tuer.

mardi 15 février 2011

J'AI VU TON CORPS RIRE


                                                     mage folie-centerblog
En pénétrant dans ton cœur
Avec mon amour pour toi passionné,
Tu as ouvert ta poitrine, tu lui as donné de la vie
Et dans une nuit de clair de Lune, nuit calme,
Nos corps se sont fondus abandonnés.
Tu m’as tout donné, moi, je t’ai donné tout de moi.
Dans des moments de rêve, j’ai senti tes seins
Qui se promenaient sur mon corps doucement.
Ils savouraient le parfum, il était ton jardin.
Mon corps a accepté de s’abandonner à ton plaisir.
J’ai embrassé tes yeux rouges de désirs.
J’ai  voulu te posséder et je t’ai couvert de baisers.
J’ai vu ton corps divin rire de plaisir
Pendant que mes lèvres attendaient les tiennes
Et elles sont venues,  laisser le miel de l’amour.
Passionnément j’ai savouré de ce nectar
Qui fut  le commencement d’une orgie passionnée.
Ce furent des heures que le temps s’est arrêté.
Ce fut le temps de l’amour, temps de la passion de qui a aimé.

lundi 14 février 2011

LE VIEILLESSEMENT

Les feuilles se fanent et tombent à l' Automne.
Les arbres restent nus, mais continuent debout.
Ils profitent du temps pour faire un bon somme
Au vent, à la pluie, au froid qui lui tombent dessus.

Ce somme ne sert qu’ à reprendre les forces.
La sève se renouvelle attendant le Printemps.
Il se réveille, il s'étend et au Soleil,il s'efforce
Pour de nouveau s' habiller tout en grimpant.

L'homme commence à vieillir  à la naissance.
Il n'a pas de saison pour les cheveux blancs.
Entre nous et les arbres il y a une différence
Les cheveux tombent le vieillissement est franc.

Le renouveau de notre sève, ne nous rajeunit,
A peine nous ne commençons , qu’un autre jour,
En attendant pour celui qui après reviendra aussi
Nous perdons la chaleur, le corps est froid, et mûr.

Les arbres se renouvellent, les feuilles reviennent, la fleur
Donnant de l'ombre ou nous pouvons  nous reposer.
L'homme meure et ne peut plus renouveler l'amour,
Laissant  à peine, de la peine et des larmes à pleurer.

LA MAGIE D'UN BAISER

Cliquer sur l'image, S.V.P.                                    image overblog

Un baiser donné, soit par amour,
Soit par amitié,
Ou encore par sympathie,
C’est une gourmandise
Qui ne nous fait pas grossir.
Et s’il est donné
Au commencement du jour
Il nous donne plus de la force,
Il donne plus d’allégresse
À qui le reçoit
Et à qui le sait donner.

dimanche 13 février 2011

ELLE ÉTAIT BELLE !!!!!

                                                         Image google


Jour d'été.
Dans le Ciel, il n'y avait pas de nuages.
Et son bleu, il me conviait
À faire une balade, pourquoi pas?
J'ai pris mon vélo
J'ai pédalé sur les petits chemins
J'ai roulé doucement sur les sentiers
Et je sentais le parfum de la lavande
Parfois du romarin.
Fatigué, je me suis arrêté
À l'ombre d'un arbre je me suis reposé.
Assis, j'admirais le joli vert du pré.
Soudain, mes yeux
Ont vu une belle qui buvait
Pour se rafraichir dû à la chaleur.
Je me suis levé, je suis allé dans sa direction.
Je ne sais pas pourquoi, mon cœur
S'est mis à trotter.
Comme quand il sentait l'amour.
Plus je m'approchais
Et plus près j'étais de cette belle,
Que de voir sa beauté
Je devenais de plus en plus fou.
J'ai touché sa peau, je l'ai caressé
Et elle s'est laissée tomber sur l'herbe.
Couchée, elle me regardait
Avec des yeux qui louchaient.
Ses lèvres se sont serrées
Comme si elle criait au viol,
Mais elle n'arrivait pas à ouvrir sa bouche,
La pauvre.. la vache... était folle!