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vendredi 17 juin 2011

COUPER LE CORDON OMBILICAL

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Couper le cordon ombilical à la naissance, c’est donner la continuité à la vie.
Ce petit être qui vient de naître va affronter une route, route de son destin.
Il va grandir, va être aimé , va entrer dans une piste sans avoir la garantie
De couper le fil d’arrivé déjà fait homme, avec la nostalgie de quand gamin.


Les années avancent et lui fini aussi par former peut-être une belle famille.
Il aime ses enfants mais parfois vivent dans un Océan pas toujours calme.
Il y a des tempêtes très difficiles à calmer, il navigue dans un grand noir de la vie
Et un port d’abri pour le trouver comme c’est difficile d’abriter notre âme.


La vie passe et elle est triste pour ceux qui ont eu le destin que les a marqué.
Elle passe à être un bateau sans voiles, sans gouvernail ,un bateau à la dérive.
Elle perd sa route, perd le Nort, et  même l’Étoile du Berger est une insulte.


Dans les vagues géantes, enragées, le bateau de la joie, peu à peu, sombre.
L’équipage n’arrive pas à le sauver, ils ne font que continuellement s’insulter.
Couper le cordon ombilical, c’est de la joie,mais pas quand on le coupe déjà adulte.

lundi 13 juin 2011

RESTE LA NOSTALGIE



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Quand j'étais jeune, c’était le vieux temps.
Temps de guerre, de dictature, de difficultés.
Dans ma jeunesse, j'ai eu des bons moments
C’est les mauvais moments que je n'ai pas oubliés.


Les années avancent, mais pas les facilités, 
Tous ne pouvaient pas avoir du pain sur la table.
La guerre est terminée, dans le cœur elle est restée
Pour avoir un futur d’espoir ,ce n’était pas envisageable.


Les siècles changent, changent les technologies
Le peuple pensait que la révolution tout changerait,
Nous avons gagné la Liberté, est restée la démagogie,
La loi du plus fort continue dans ce monde imparfait.


Nous travaillons, des autres étudient dans les Universités,
 Tous ne  peuvent pas être docteurs , tous ne seront pas maçons
Tant d'années de labeur et nous gardons les difficultés
Nous sommes obligés de laisser les Pays que nous aimons.


Tout est triste, mais il y a quoi de bon dans la société?
Pourquoi pour les uns tout est de roses, pour les autres des épines ?
À nous séparer de ceux que nous aimons, sommes obligés
Nous les gardons en pensée et nous sentons du mal à la poitrine. 

lundi 6 juin 2011

MON CHEMIN, MON DESTIN



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J’ai marché dans des ruelles étroites ou habite la vie.
Comme c’est difficile marcher sur du pavé bien noir
Les murs  presque se touchent , le Soleil se congédie
Seulement l’ombre marche avec moi, c’est barbare.


Mon corps comprimé entre deux murs, il gémissait.
Il sentait que la vie  faisait souffrir sans une avenue
Ou il pourrait marcher sans la  souffrance attrapée
Mais pour lui , était destiné que des ruelles perdues.


J’ai tenté d’abandonner ces vieux chemins sinueux 
Mais une force étrange me niait un chemin cristallin.
J’ai continué à marcher dans les chemins dangereux.
Et je suis resté convaincu que ce chemin était mon destin.