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mardi 14 décembre 2010

JE CHERCHE À SAVOIR QUI JE SUIS


Décembre. Un Noël de plus vient taper à notre porte
 Quelque chose a de changé depuis le dernier ?
Rien! Si, tout a empiré , la misère s’exporte et s’importe.
Combien de nous continuent sans savoir se qu’ils sont.
Combien de nous continuent à dormir par terre?
Cherchant la chaleur, cherchent l’amour, ils cherchent être
Mais ne savent pas encore s’ils sont des être humains,
Ou s’ils sont fait d’illusions, de rien, ou encore de moins que rien.
Je cherche à savoir qui je suis mais je n’ai pas de réponse.
Je cherche à savoir ou je suis, et je suis dans une société
Sans condescendance, sans cœur, sans attention
Ou tous les êtres n’ ont pas la même chance, ou la même possibilité.
Il y a ceux qui passent à notre coté, comme s’ils passent à coté de rien.
Mais pourquoi? Nous sommes des êtres considérés des humains,
Il y a ceux qui sont les privilégiés, d’autres qui vivent trompés.
Beaucoup de sourires, beaucoup d’embrassades, mais sans sentiments.
Les poignards toujours bien aiguisés toujours prêts à blesser.
Pendant que notre dignité saigne, à ceux qui continuent à rire
Mais ils pensent qu’ils ne le font pas pour faire mal, moi, je les comprends.
C’est simplement par cynisme, par couardise, sans courage
Pour nous dire en face, non, je ne t’aime pas, tu n’ai rien!
En vérité c’est triste, qu’il y ai encore des personnes qui croient aux Fées.
Moi, je continue à croire qu’une amitié, même virtuel
Doit être respectée, sinon, le meilleur c’est de couper le cordon ombilical
Qui nous uni sans même nous connaitre, pas tous, c’est certain,
Et qui parfois, même loin, parfois très près nous offrent une épaule,
Qui nous donnent la chaleur avec des paroles saines et véritables
Qui nous chauffent l’âme et nous font croire que nous sommes quelqu’un.
Moi, il y a longtemps que je cherche l’amitié sincère, désirée.
Mais qui je suis? Peut-être quelqu’un sans intérêts, je ne suis rien.
Mais cela n’a pas d’importance, je suis comme je suis, personne ne me changera.
Ma dignité est née avec moi et avec moi, avec la tête haute, elle mourra

















lundi 13 décembre 2010

JE ME SUIS PERDU DANS LA NUIT



J’ai écrit pour toi ces vers, mon amour
Mais je te demande, ne viens pas pleurer
Parce qu’ à la plage il y avait trop de chaleur
Que je t’ai perdu de vue, j’ai perdu ton regard.


Je me suis perdu dans la nuit, et au petit matin
Toi, qui étais le plus bel amour de ma vie
Je t’envoie un Post, peut-être que ce sera rien
Mais lis cette lettre, peut-être tu me croiras ma chérie.


Je sais que pour toi j’étais une mauvaise fleur.
Je pense au vent qui t’a emmené loin de moi
Avec toi il a emmené tout ce qui avait de notre amour
Et la nuit a été triste, nuit très triste sans toi.


Comme si cela était un crucifiement de muse
Qui nous a crucifié nous châtiant sans pitié,
Mais poésie sans amour est plus que confuse
Et de mon cœur je te demande de ne pas me laisser.


Dans ce vent sans le vouloir je fus voilier voyageant
À chercher si le sexe est seulement lui, ou aussi amour.
Je me suis senti dans cet aspect un simple ignorant,
Je continue à te poursuivre avec des paroles, mais sans chaleur.


Comme je suis fou pour toi, je dors sur les étoiles.
J’écris mon cahier intime comme si je n´étais qu’ un chien
Abandonné, sans abri, sans avoir des choses très belles
Mais je dors rêvant á toi, mais dormant comme un rien.


Je fais un dialogue avec la mort et aussi avec la vie
Je ne suis pas magicien, je n’ai pas un bâton magique
Seulement je sais que ma vie fut une vie en dents de scie,
Et j’ai trouvé la tendresse et l’amour dormant sur le mosaïque.











mardi 7 décembre 2010

TU ES NEE AVEC MOI

                                                     image skyrok

Je suis très fatigué de la vie, je suis très fatigué de souffrir
J’ai commencé à souffrir à ma naissance et je continue à subir.
Je ne veux pas, je ne peux plus comme cela avec toi continuer,
Mais je ne te donnerais pas le plaisir d’un jour me suicider.


Je fais de la résistance, en renforçant mon moral, immortel
Tu ne comptes pas avec mon absence, ou alors, seulement casuel
Je vis en souffrance, mais je vis. À rire je veux continuer,
Je ne veux pas que d’ autres souffrent si je ne sais pas résister.


Mort, qui avec moi tu es née, avec moi tu iras aussi mourir
Tu n’arriveras à résister, moi aussi, moi je te ferais souffrir,
Tu mourras avec le même âge que moi aussi, j’aurais.


Après, je veux voir si tu continueras encore si contente,
En sachant que tes sœurs ont fait mourir tant de gens
Mais moi je t’emmènerai, et avec moi, je t’enterrerai










jeudi 2 décembre 2010

JE MARCHE DANS L'OMBRE DE TON OMBRE


 




                                                       Image.amour.net

 Je marche  perdu dans l’ombre de ton ombre.
Je tente de te trouver mais je n’ y arrive pas
Tu fuis de moi, ma présence t’encombre
Comme si j’étais un grand danger pour toi.

Je marche puisque tu me nies ton amour
Je marche dans les rues sans savoir où je vais
Dans ta simple rue je ne trouve pas ton cœur,
Le mien continue triste et avant, comme il riait

Il sent très fort le mépris que tu  lui  donnes.
Lui qui t’aime et seulement l’amour il veut donner
Mais il sait qu’il n’appartient pas à ton règne.

Et de chagrin ma poitrine est restée inondée
Avec mille et une larmes coulant de nostalgie
D’un cœur qui à cause toi se sent malade et saigne.

J'AI ENTERRÉ MES SOUVENIRS

J 'ai enterré mes souvenirs
Dans un carré de mon jardin,
Les dégouts et les ambitions
Et j 'ai tout couvert de Jasmin.

Comme cela, parfumés resteront
De ce qui a été toute ma vie
Faite d'amours et de péchés,
Je suis né et le destin m'a investi.

Au tour de ce grand  carré
J'ai planté tous mes amours,
Une croix et une pancarte,
Ici-gi  toutes mes douleurs.

Bien visible pour les visiteurs
Écrites , elles sont là aussi
Les plus belles variantes
Des erreurs que j'ai commis.

Parfois, j'ai la nostalgie,
Parfois je sens le répudie,
Entre dégout et félicité
De la vie vécue dans le prélude.

Nous ne pouvons pas vivre aujourd'hui
Une vie qui viendra demain
Comme cela la jeunesse nous échappe
D'une façon qui n'a rien de sain

mardi 30 novembre 2010

DES PETALES TOMBÉS PAR TERRE
















Je continue à penser à ces nuits
À ces heures, jours et petits matins
Quand l’amour nous envahissait.

Ton corps se distendait sur le mien.
Nos cœurs heureux, ils chantaient
Des belles mélodies Célestielles.
Avec les larmes du plaisir
Nous lavions nos péchés,
Péchés de deux corps énamourés.
Nous défeuillons nos corps
Comme qui défeuille une fleur.
Les pétales éparpillés par terre
Furent tout de ce que notre amour est resté,
Elles étaient le symbole de notre amour.
Il est resté seulement le parfum
De ces fleurs défeuillées,
Des belles fleurs qui par nous étaient aimées.

lundi 29 novembre 2010

LA SPLENDEUR D'UNE NUIT


Quand la brise du matin, caresse mon visage,
Elle amène avec elle tes mots et tes doux baisers
Que je garde toute la journée sans partage
Et pendant la nuit ils sont la raison d'affinité.


Avec l'arrivée de la lune, nos corps s'argentaient.
Notre nid, chaud, brille de tant, tant d'amour
Nos lèvres de ses contacts ils convoitent,

Notre lit commence à préparer la splendeur.


La splendeur d'une nuit de folie plus que folle.
Avec les murmures de promesses dans nos bouches
Et la complicité entre nos cœurs, quelle sensation.


La volupté a envahi notre lit, notre chambre,
Moi, embrassant tes seins, ton corps jamais gavé
De sentir mon corps te caresser d'une grande passion

samedi 27 novembre 2010

RECLAME TA ROUTE

                                                Image Casafree.com

Par ou tu vas, mon enfant?
Tu marches sur une route sinueuse
Dans une randonnée dangereuse
Tu tentes donner un sens à ta vie.
Je sais, je sais ce que tu cherches,
La félicité que d’autres ont
Mais pour toi c’est un trou sans fond.
Et pourquoi?
Nous avons tous le droit au Soleil
Nous avons tous le droit à l’éducation
Et nous avons aussi le droit à l’indignation.
Force, ne te laisses pas abattre
Ne te laisses tomber dans l’abîme
D’où très difficilement tu pourras sortir.
Arrête de t’arrêter dans cette route de la vie,
Cherche une autre, celle qui t’est dû, crie,
Remonte ta tête, montre ta dignité.
Marche la poitrine ouverte,
Réclame, crie, crie,
Que tu veux une belle route pour la vie,
Que tu veux une route avec amour
Une route sans misère, une route de pudeur

jeudi 25 novembre 2010

TON CORPS DENUDÉ


                                                                    Images skyrok



Dans ce lit ou nous faisons l'amour,
Ses draps sont les témoins du désir,
La je te rapine des baisers quel Condor
Qui dans un désert cherche le plaisir.

À voir ton corps si beau et dénudé
Mes griffes d'amour t'accrochent à moi
Et ton corps comme le mien suaient
De plaisir, de me sentir, moi, dans toi.

Nos lèvres nagent dans notre salive
Qui a un goût de miel et plaisir profond
Nos langues de plaisir restent captives
Et se délectent de plaisir que nous sentons.

Sentir la rigidité de tes seins, en ma poitrine
Sont des moments de la plus pure démence.
Je deviens fou puisque tout en toi me fascine
Mon égo est fier d'avoir de toi sa récompense

lundi 22 novembre 2010

ACCEPETES TU, MON AMOUR?




Si moi ,je t’embrasse, acceptes tu mon baiser?
Si je te tiens dans mes bras, acceptes tu mon désir?
Si moi, je t’aime, acceptes tu mon amour?
Si je te vois pleurer ,ce seront des larmes de pudeur.

Mais si moi, je te vois rire, c’est signe que tu m’aimes.
Dans mes bras le désir est une  flamme qui me transperse
Mes lèvres sur les tiennes sont du feu non contenu
Ce sont des étoiles dans les yeux que la lumière déverse

Sentir tes seins qui respirent des vrais désirs
Passer mes lèvres et les couvrir de beaux baisers .
Caresser ta peau qui est du plus doux velours
L’amour entre nous ce n’est rien, mais il est tout.

jeudi 18 novembre 2010

QUAND L'AMOUR EST MORIBOND

image Romentique


Je vague dans la nuit , dans une nuit d’hiver
Dans les vieilles rues des amours interdits.
Comme un vieux loup solitaire dans l’enfer
Qui cherche dans le péché ses amours de jadis.


Des amours interdits qui nous font tant souffrir.
Ou le Paradis n’existe pas mais la souffrance.
Je veux laisser ce désert, je n’arrive pas à sortir,
C’est la mort qui tombe et je tombe dans le déchéance

Pour vivre comme cela je préfère le gout de mourir
Parce que les caramboles de la vie, laissent ses marques
Qui n’ont pas de guérison, puisqu’ils blessent le coeur.


L’amour est une maladie, rarement une conclusion
Ce n’est pas qu’ avec des mots doux que nous pouvons aimer.
Quand l’amour est moribond, il n’y a pas de solution.













mardi 16 novembre 2010

J'AI AILÉ MON COEUR imagecenterblog

Les pavés noirs de la rue ou elle habite
Sont déjà usés, je passe à toute heure
Je voulais la voir à fenêtre , je la sollicite
Mais rien de rien, elle encore m’ignore.


Mes chaussures sont percées de tant marcher
Mais mes pieds têtus même saignant
Même déchaussés ne veulent pas abandonner
Et ainsi je continue toujours en marchand.


Mais un jour, dans la vie il y a toujours un jour
Et je l’ai vu à sa fenêtre et j’ai vu son regard,
Le clair de lune est venu argenter sa chevelure
Je voulais , d’elle ,m’approcher, quel veinard.


J’ai ailé mon cœur qui vers elle , il a volé ,
Au bord de sa fenêtre joyeusement , il est arrivé
Elle avec ses mains douces l’a pris et caressé
Et mon cœur enamouré, elle aussi, l’a embrassé





dimanche 14 novembre 2010

POUVOIR AIMER, SANS ÊTRE PASSIONÉ

Si je savais que l’amour nous donnerait de la nostalgie
J’aurais préféré, dans la vie quelqu’un avoir aimé
Comme cela, sans préjugé, vivre en liberté toute ma vie
J’aurais vécu ma vie sans jamais être passionné.


J’aurais évité oh combien des désillusions et de déboires.
Jamais mon cœur aurait vécu à un port d’abri attaché
À toutes ces illusions auxquelles nous appelons espoir,
Je vivrais heureux sans jamais me sentir abandonné.


Mais la vieille nostalgie ne veux pas me laisser oublier
Ces temps heureux vécus de ma jeunesse que j’ai eu ,
Mais l’amour il n’est pas toujours ce que l’ on peut penser
Combien de baisers perdus, combien de caresses de feux.


Je garde avec moi la nostalgie de tous les petits matins
Comme dans un rêve, notre amour faisait l’amour
Nous corps entrelacés, et nous croisions les mains
Et nos désirs se ressaisiraient sans aucune pudeur.



Temps qui furent majestueux ceux que j’ai vécu.
Aujourd’hui je suis triste, sans amour pour aimer
Terminer avec la nostalgie, je n’ai pas décidé de tout
Puisque si je peux souffrir, d’elle je me veux me rappeler





mardi 9 novembre 2010

QUE LA POESIE ME LAISSE EM PAIX

image center blog



Aujourd’hui, que la poésie me laisse en paix!
Non, non, je ne l’abandonne pas, je reviens,
Mais aujourd’hui , c’est un jour qui me plait
Pour pouvoir oublier comment on écrit amour.
Excusez-moi, je vous prie, poètes et poétesses
Mais mes portes étaient grandes ouvertes
Chez moi librement a pu entrer la chaleur.
La chaleur de l’amour, plus précisément.
Aujourd’hui, je ne vais pas écrire des mots doux,
De ceux qui peuvent emballer tous les cœurs,
Non, aujourd’hui j’ai décidé de ne pas écrire,
Parce que j’ai avec moi des belles ouïes
De quelqu’un qui m’aime et est venu me visiter
Et est arrivé ce matin, très tôt et m’a réjouit,
A ses ouïes j’irais avec joie murmurer
Ces palabres douces, qui aujourd’hui, je n’écrirais.

LA VIE EST COMME LE TEMPS

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Dans le jardin de ma maison je me suis assis à regarder la Lune
Crayon et papier dans la main, je me préparais pour écrire .
Sur quoi, les jeux étant gamin dans les rues de la commune,
Écrire sur notre jeunesse , c’est impossible, je ne peux rien dire.

La vie est comme le temps. Elle passe et nous ne nous apercevons pas
Nous prétendons vivre ,nous ne prétendons pas de si tôt vieillir,
Mais la vie est composée de la jeunesse , de la vieillesse qui viendra
Nous vieillissons mais nous ne pouvons pas du tout rajeunir .

Le temps passe, quelle tristesse, il passe à une très grande vitesse,
Sans contrôle, nous regardons en face et le futur est déjà passé.
Sans que nous sachions jusqu’ou peut aller notre âge cette Altesse.
J’ai regardé la Lune et mes cheveux , elle les a bien argenté.

Ils ont commencé à devenir blancs, il nous reste que de rêver,
C’est le prix que nous avons tous à payer, pour une vie vécue,
Que nous avions voulue d’amour, sans hypocrisie mais aimer
De les années passés il reste la nostalgie de la jeunesse perdue.

dimanche 7 novembre 2010

TU ES UNE DAME

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Je ne sais pas qui tu es, je ne vois pas ton visage
Couvert de tissu je vois à peine tes beaux yeux
Je ne peux même pas prédire quel est ton âge.
Je ne sais pas si ton visage est jeune ou vieux.

Comment veux tu qu’un jour je puisse t’aimer?
Comment veux tu que je sache la couleur de ta peau?
Mais quelque chose m’attire vers toi, et me fait prier
Pour un amour inconnu, caché, mais sur, il sera beau.


Non, je t’en prie, restes comme tu es, je vois tes yeux
Ils me transmettent ton sourire, me montrent ton âme
Je veux voir ton visage le jour venu et toucher ta peau
Et à partir de ce jour là, tu seras comme tu es, une dame

                                                                                                                                  

vendredi 5 novembre 2010

ET COMME ÇA, JE ME SUIS PASSIONNÉ (image feeclochete26)






Mon cœur a attendu le tien

Qui n’est pas venu ce matin.

Je ne sais s’il a oublié

Je ne sais s’il est malade

Si à un autre il s’est donné

S’il s’est éloigné du mien

Dans un moment de folie

Je suis allé le chercher.

Je suis parti à l’aventure

Et dans cette journée obscure

Je suis arrivé à le trouver

Il dormait, je l’ai réveillé

Doucement je l’ai caressé,

Dans lui je me suis abandonné

Et comme cela, je me suis passionné.

samedi 30 octobre 2010

DES LÈVRES DÉSIRÉES

Tu es passée, belle, provocante,
Ton corps félin, fébricitant
Mon regard a brulé.
Mon cœur désireux d’amour,
Osé, fort, dominateur
Ton défi avec brio a accepté.




Ton corps est une splendeur
Un joli oasis d’amour
Un désert qui embrase.
Plage ou je veux nager
Mer ou je veux me noyer
Un désir qui m’arase.




Tu as des yeux enchantés
Des lèvres très désirées
Ecarlates d’ardeur..
Tes seins sont de Déesse
Ou, avec grande tendresse
Je te donnerais mon amour.




Mais les années passaient
Et je ne suis qu’une amoureux
De chimères, reste l’illusion.
Ton corps continue un monument.
Et moi, j ne suis qu’un épouvante
Sans espoir, à qui restait l’ambition









mercredi 27 octobre 2010

TU PEUX M'APPELER DÉMENT

                                                Image Georgessyilvie, centerblog

Dément!… oui, tu peux m’appeler dément!

Puisqu’en vérité, moi, je suis fou de toi.

Ma démence est présente dans mon cœur

Puisqu’il souffre tant, et toi, tu ne le sais pas.



Il souffre toujours quand tu es absente.

Mon cœur est un cœur jaloux, et souffre d’amour.

Il veut que le tien l’aime, il ne veut pas souffrir

Pour cela il est fou en attendant ton retour.



L’amour, mon amour est la source de la vie.

Sans elle nous ne pouvons pas vivre avec joie.

Deux êtres qui ne s’aiment pas, est vie perdue.



Ce ne sont que deux âmes qui volent sans Nord.

Sans avoir une étoile qui les guide au Paradis

Et sans Paradis d’amour, c’est vivre sans support.

lundi 25 octobre 2010

AINSI, NOS LÉVRES S'ÚNIRENT

Je te voyais passer dans ma rue

Et mon cœur restait suspendu

À tes pas gracieux de gamine.

La friction suave satinée, fine,

Le sentir de ton parfum, passant

Tes pas synchronisés, envoutants.



Le soir, quand je voyais arriver

Le Soleil dorait ton beau visage.

Tu te faisais dévier ton joli regard.

Moi, fasciné, un jour je dis , bonsoir.

Je voulais avoir la délicieuse félicité.

D’un jour conquérir tant de beauté.



Tu es passé, et pour la première fois

Tes lèvres se sont ouvertes, tu as souri.

Moi, j’ai senti l’euphorie d’une passion.

Mon cœur a senti une énorme sensation.

Plongé dans les nuages des rêves exquis

Et d’espérance d’un bel amour conquit.





La réalité a remplacé nos beaux rêves.

Nos cœurs et nos lèvres, ainsi s’unirent.

Notre amour est très fort et exaltant

Tout est beau, tout est lumière excitante.

Nous avons une vie d’amour jonchée

Nous vivons heureux, d’un amour aimé.

mercredi 20 octobre 2010

CE FUT LE TEMPS DE L'AMOUR

                                                                                        IMAGES GOOGLE


En pénétrant dans ton cœur

Avec mon amour pour toi passionné,

Tu as ouvert ta poitrine, et tu lui as donné la vie.

Et dans une nuit de clair de Lune, nuit calme,

Nos corps se sont fondus abandonnés.

Tu m’as tout donné de toi, je t’ai donné tout de moi.

Dans un moment de rêve, j’ai senti que tes seins

Se promenaient sur mon corps tout doucement.

Ils savouraient le parfum, il était ton jardin.

Mon corps a accepté de s’abandonner à ton plaisir.

J’ai baisé tes yeux vermeilles de désir ,

Moi j’ai voulu te posséder et je t’ai couvert de baisers.

J’ai vu ton corps Devin, de plaisir, rire,

Pendant que mes lèvres attendaient les tiens

Et ils sont venus, sont venus pour laisser le miel de l’amour.

Passionnément, j’ai savouré ce nectar

Qui fut le commencement d’une orgie passionnée.

Ce furent les heures ou le temps s’est arrêté.

Ce fut le temps de l’amour, le temps d’une passion

Une passion de qui a su aimer

mardi 19 octobre 2010

DANS L'OBSCURITÉ DE LA NUIT

Dans l'obscurité de la nuit j'ai promené mes rêves.

Ils défilaient heureux dans la lumière de mes pensées.
Je ne voulais pas ouvrir mes yeux, je préférais les trêves
Je vivais ces rêves dans un inoubliable moment sensé.


Dans l'obscurité de la nuit j'ai visité des rues et cités
Comme un aveugle sans une canne ni son fidèle chien.
Quand la vie est belle, nous marchons dans la félicité
D'avoir toujours une lumière dans le cœur sans chagrin.


Quand dans l'obscurité de la nuit l'amour se réveille
Les amants finissent de rêver pour commencer leur délire,
Entrelacent leurs corps et commencent à vivre de plaisir.


Et la nuit est devenue illuminée avec l'éclat des yeux
Pour le plaisir de l'amour qu'à l'aube a commencé
Comme si le soleil revenait dans une nuit argentée.







LE PHARAON

                                                                                                  images DJIBNET

Pendant ma jeunesse                        

Je rêvais de l'aventure.
Connaitre des nouveaux Mondes,
Connaitre d'autres gents
Et de faire la promesse
De conquérir la France profonde,
D'écrire l'histoire en peinture.
Et avec mon chalumeau
Et mes lances en cuivre
Tel le Chevalier Lancelot,
Je suis parti à la conquête
Je suis devenu compagnon.
Je me suis battu comme un lion.
Et sur mon cheval volant
Je n'ai pas hésité un instant,
J'ai transpercé les frontières
Rien ne m'a résisté.
Et moi, Albert premier,
De surnom, Le Plombier,
Aujourd'hui, guerrier fatigué
Je me repose; je lis Euripide
Et les fables de La Fontaine.
J'ai construit ma Pyramide
Je suis... le plombier de la Garenne.






SUBLIME FLEUR

           images Zavvary



Je ne sais pas si toi as oublié l'amour qu'un jour je t'ai offert
Je n'oublierais jamais ta belle et jolie robe en organdi bleu-vert.
Tu étais belle, ton joli sourire si beau, si charmant, si ravissant.
Nous avons échangé des mots, nous avons échangé la lumière des yeux.
Nous avons ébloui nos coeurs avec une lumière Divine.
Nous avons compris que notre vie allait vivre d'amour battant
La Primevère venait de commencer et comme une fleur sublime
De parfum inébriant, nectar de la douceur d'un baiser
Échangé en regardant la Lune, qui de nos pêchés nous rédime.
Tu m'as offert ton amour dans un joli plateau de cristal.
Je l'ai accepté en sachant, oh, combien le cristal est fragile, mais le désir
Que j'avais de te tenir dans mes bras, faisait oublier le mal.
La fragilité de l'amour, la fragilité du coeur, de la vie.
Mais moi, j'espérais que la force de notre amour suffisait.
Je savais aussi, qu'une sublime fleur,elle, devient fanée.
Qu'elle aussi, perd ses pétales, mais notre amour
Lui, je ne pouvais croire, qui, comme la fleur, il ternirait.
Mais il a terni et aujourd'hui, je sais que tu as oublié la sublime fleur
De parfum inébriant, la douceur d'un baiser, un baiser d'amour.

lundi 18 octobre 2010

UNE ÂME DANS L'AIR FLOTTANT

J’ai profité du soleil qui aujourd’hui brillait

Je suis allé visiter la capitale, faire du tourisme

Au Musée Grévin pour voir si moi aussi, j’étais

Mais non, mais il était réservé au symbolisme.



Je suis allé visiter la tour Eiffel, tout est du métal

Et du métal , on a besoin pour aller au restaurant manger,

En toute vérité c’est une œuvre qui n’a pas de rival

Comme tout était trop cher, je me suis mis à marcher.



Je suis allé a l’Arc du Triomphe marchant à pieds

Après je suis allé à Montmartre, au Sacré Cœur,

Je me suis trompé, je suis entré par l’arrière, pas sacré

J’ai visité les peintres, de là très près, dans le secteur.



Mais cela, tous les étranger, à Paris ils vont visiter

Je voulais visiter un local ou pas tous, peuvent aller.

J’ai fait le tour de la capitale j’ai vu des choses à rêver

J’ai visité la morgue et croyez moi ,cela m’a fait pleurer.



J’ai ouvert un tiroir, bien frais, mais quelle surprise,

La personne qui était dedans bien à l’abri de la chaleur,

Vous n’allez pas me croire, vous allez rire, à votre guise

La personne qui se rafraichissait, c’était, le visiteur.



J’ai fermé le tiroir étonné de me trouver dans ce tiroir

J’ai réfléchi à ma vie dans le passé, de mes derniers temps

Je suis arrivé à croire que je n’existe pas, je suis un avatar,

Je sais, que moi je ne suis plus moi, mais une âme dans l’air flottant.

lundi 11 octobre 2010

SI UNE SEULE PALABRE SUFFISAIT

Si une seule palabre suffisait pour te conquérir

Si un simple regard suffisait pour te captiver

Si un seul baiser suffisait pour pouvoir te séduire

Si un seul geste suffisait pour à tes pieds tomber.



Je te dirais des palabres simples, les plus belles,

Pour que tu ne puisses penser que tout serait fantaisie,

Si peintre j’étais, je produirais la plus belle aquarelle

Et tu serais pour moi, de toutes, la plus belle poésie.



Si nécessaire est, pour toi, des montagnes je raserais

Je viderais tous les Océans pour pouvoir te trouver.

Quand l’amour est fort, il n’y a pas mieux qu’aimer,

Tout je ferais, pour t’avoir dans mes bras et t’embrasser.



Je conquerrais la plus belle plage de sable le plus fin,

Pour sur elle , seulement nous deux pouvoir se promener.

Et au petit matin plonger dans cette énorme piscine

Et après rouler nos corps, faire de l’amour sublimé.

dimanche 10 octobre 2010

CINQ OCTOBRE 2010

Cinq octobre!

C’est l’anniversaire

De mariage de mon épouse.



Moi? Non,

Je ne me suis pas laissé faire

Elle est allée à la Mairie

Á courir

Comme elle était pressée!



Elle m’a convaincu

Et moi

Je me suis laisser faire.

Moi, j’ai pensé

Que j’allais seulement signer

Des papiers pour la maison.

Mais non.

C’ était pour me marier

Et moi,

Je ne me suis pas aperçu



Pauvre simplet!…

Félicitations,

Félicitations,

Mais félicitations pourquoi?

Parce que tu es marié!

Marié,… moi?

Quand je pense

Que je me suis laissé faire…

Que aujourd’hui

Cela fait 19 ans…

Quelle surprise,

Pauvre taré.

Oui, dans les mots doux

Je me suis laissé tomber.

MA GUITARE ET MOI

J’ai parcouru Paris avec une guitare dans la main

J’avais le cœur froid, je n’étais pas dans mon jardin.

Au Pont Alma, je me suis penché sur le parapet

J’ai tenté de jouer de la guitare, mais rien était parfait.



La guitare comme moi, pleurait de grand désespoir

Ses gémissements me touchaient comme un poignard

Parce qu’ en bas passait la Seine, mais pas le Tage

Il n’y avait pas des bateaux à voiles en jolie cortège.



Ma guitare , je l’ai prise fortement dans mes bras au matin

Comme un amour qu’on attache avec de lacets en satin

Tous les deux , nous avons pleurés, les vendeurs des journaux

Et non plus les criées des poissonnières au bord de l’eau.



Pour nous ,l’énorme tour Eiffel était vraiment très petite,

Notre Tour de Belém, cela, oui, notre jolie fille qui se visite.

Nous sommes allés à l’Arc de Triomphe pour chanter un Fado

Mais l’ancien Arc de la Mouraria, était notre joli drapeau.



Ma guitare a cassé toutes ses cordes à cause d’énervement

Moi, j’ai perdu mes cordes vocales à cause de ce fort vent

Qui venait de notre Capitale, la plus belle, qui est Lisbonne

Qui nous amenait de la Madragoa, que du fado le renomme.

LE BAR DE L'AMOUR

Quand dans le bar tu es entrée
Gracieuse je t’ai vu passer

Avec tes hanches dansant.

Mes yeux se sont ouverts

Et tes pas ils suivaient,

Toujours en t’admirant.



Tu t’es assise à une table

Dans une façon confortable

Et tu as appelé le garçon.

Moi, vers toi, j’ai regardé

Tu as souri, je n’ai pas oublié

Et tu as demandé un Bourbon.



J’ai vu dans ton sourire si joli

Un signal venu du Paradis,

J’ai vu en nous un amour à vivre

J’ai vu tes yeux briller

Et ton sourire d’enchanter

Et j’ai décidé de te suivre.



Tu seras l’air que je respire

Tu es le Monde que je désire,

Tu seras mon espace privé.

Je serai ton madrigal

Ton Aurore Boréal

Nous aurons un Monde enchanté.



Ton corps , je veux dévêtir

Pour sentir le beau plaisir

Des tes lèvres, la tendresse

Être l’amour qui enivre

L’arôme qui ne me prive

De toute ta jeunesse.



Ton regard , il t’a trahi

Mon amour, il a souri

Il sera ton troubadour

Et cette table qui t’a reçu

A gardé un nom qui m’a plu

La table de notre amour.

vendredi 8 octobre 2010

LA REVOLTE DES RÊVES

Les rêves sont révoltés!

Nous rêvons avec la Paix, avec l’amour.

Nous rêvons avec une Terre en fleur

Et quand nous nous réveillons,

Ce n’est pas du tout la réalité.

Les guerres continuent sans pitié.

L’amour a perdu beaucoup de ce qu’il été.

La Terre continue à subir du feux.

Les femmes sont tuées, hommes et enfants.

Ceux qui nous gouvernent, font que des jeux.

La lutte du pétrole fait la fortune des uns

Et aussi la misère des autres,

À cause du pétrole, il y a ceux qui tuent.

Des gents sans scrupules, conscience sauvage.

Les sans abris prolifèrent tous les jours

Il n’y a plus de joie comme il y avait dans le temps,

Des promesses que de promesses,

Continuant à tromper les gents.

Et le pouvoir politique, que fait ‘il? Rien!

Je veux dire, oui, il font. Il ment constamment.

samedi 2 octobre 2010

JE CHANTE L'AMOUR

Je sens de la nostalgie de regarder tes yeux
De tes lèvres embrasser, de te parler d’amour.

Et comme un seigneur, avec respect t’aimer.

Je pense au silence de ces fous moments

En étant seul, seulement les yeux riaient.

Nos corps s’ unissaient et nous perdions la voix.

Reviens je t’offrirais des cascades d’amour,

Montagnes de fleurs ornées de belles étoiles,

Je te donnerai aussi les nuits les plus belles,

Je te couvrirai de baisers, je serai tes désirs

Et pour la vie entière, tu seras ma Cinderella



Les nuits sont longues, je n’ai plus de rêves,

Nuits sans étoile, je n’ai plus de clair de Lune,

Ni même pas tes lèvres pour pouvoir embrasser

Et non plus le romantisme des chandelles.



Je chante, je chante l’amour, pour te faire écouter

Dans mon désespoir, mon cœur très fort pleure

Mais quand je pense à toi , il pleure doucement

Si tu passes à ma porte , il ne veux pas t’effrayer

mercredi 29 septembre 2010

JE NE SUIS LA POUR PERSONNE

Cette nuit, l’amour est à moi.
 Il est venu pour y rester
Il a terminé le lycée, ola là
Et vient mon amour étudier.

J’ai de chaines en coton
Pour enlacer ses bras
Je l’attache avec émotion
Il fera ici son doctorat

Je vais montrer le Paradis~
À cette Ange innocent,
Naviguer dans l’imprécis
Et adorer le soleil rompant

Si j’étais artiste peintre
Je le pendrais dans une toile
Une aquarelle scintillante,
D’un amour colossal .

Le téléphone peut sonner
Que je n’attendrais pas,
J’ai fermé la porte à la clef ,
Je ne suis la pour personne.
Ne venez pas nous déranger
Laissez-nous seul par faveur
Laissez-nous bien rêver
Dans notre nid d’amour

mardi 28 septembre 2010

AH...SI JE SAVAIS

Ah… si je savais Mon heure de mourir
J’achèterai des fleurs
Et je ferais l’amour
Pour un éternel souvenir.

Ah…si je savais
Les dates qui seront certes.
Pour bien aimer
Pour la vie embrasser
J’aurai la porte ouverte

Ah… si je savais
Quels sont mes amis
Qui seront présent
Ceux qui seront absent
Ce seront mes ennemis.

Ah…si je savais
Qui pour moi ira pleurer,
Mon cœur avec précision
Donnerait toute l’émotion
Pour qu’elle puisse durer

Ah… si je savais
Que l’amour viendrait plus fort
Qu’il n’y aurait plus des guerres
Mais seulement l’amour sur la terre
Je fermerais la porte à la mort.

lundi 27 septembre 2010

LE MYSTÉRE DE L'AMOUR

L’amour est un grand mystère.
C’est amour, jalousie, et la haine.

Nous commençons par nous aimer.

Après vient la grande jalousie.

Commençant les vilaines discussions.

Les cœurs seront pleins d’illusions,

Et cela donne la place à la haine.

Il n’y aura plus de désires

Plus de baisers avec le sourire

Le divorce vient par la suite,

Et ce fut un épisode sans réussite.

dimanche 26 septembre 2010

De ma fenêtre indiscrète
Quand elle était ouverte,
Souriante je te voyais passer.
Tes lèvres avaient le sourire
D’une rose qui allait ouvrir
Dans une nuit argentée.

18 ans tu avais alors
Avide d’espoir et illusion
Je voulais te parler d’amour
J’avais presque 40
Cela n’était pas une tourmente
Je voulais être ton confesseur.

Je voulais être ton chemin
Être ton amour, ton câlin
Pour moi, tu étais une fleur
Ou je poserais avec amour
Mes lèvres sur ton corps
Et dans ce moment de confort
Nous pourrions conjuguer
Ce joli verbe, le verbe aimer.

Dans cet espace qui est le monde
Mon amour est si profond
Moi, je voulais te l’offrir
Je voulais être ton amant
Un jour, une nuit, un instant
En une vraie femme te convertir.

Mais toi et ta belle jeunesse
A subi un rude tristesse
Et je ne m’arrête pas de divaguer
Ma fenêtre continue ouverte
Mais ma rue est déserte,
Je ne te vois plus passer.

mercredi 22 septembre 2010


 
En marchant doucement
À la douceur du vent
Je me laissais voguer
J’ai laissé le destin
Me faire pèlerin
Et de la vie rêver.

Je vaguais dans les rues
Et un motif inconnu
M’a amener à danser,
J’ai vu tant de beautés
Que j’ai hésité
A laquelle convier.


Dans cette discothèque
Mais quels beaux yeux j’ai vu
D’une poupée
Dans lesquels je me suis perdu
J’ai dansé avec elle
J’ai pris sa main
Je me suis mis contre elle
Mais quelle sensation.

Je ne sentais pas la terre
Avec beaucoup de raison
Nous avons bu un verre
Je l’ai emmené à la maison.

Et durant le chemin
Cette gentille beauté
M’a fait un câlin
D’autres nous avons échangé.

Et toujours en marchant
Souriant et s’embrassant
Son corps je l’ai pris
Avec le cœur bien à l’aise
J’ai attisé cette braise
Qui a chauffé notre nid.

Et au petit matin
Notre doux coussin
Fut un berceau chauffant
Le destin a décidé
Du destin et nous a donné
Une nuit d’enchantement
 
 
 
 
 
 

lundi 20 septembre 2010

VOLE, VOLE, MON COEUR

                   J’ai ouvert la porte à ma poitrine,
                   J’ai donné des ailes à mon cœur
                   Pour qu’il fasse un vol qui termine
                   Dans la paume de ta main, sans peur.
Avec tes mains d’un vrai velours
Tu pourras très bien le caresser,
Et dés qu’arrive la nuit, tu feras pour
Qu’en toi, ton cœur puisse l’ aimer.

Tu le chaufferas pendant la journée
Avec tout l’amour que tu lui donneras
Il sera heureux en toi il sera encré
Tu le protégeras peu à peu, pas à pas.

Tes lèvres sur lui toute en douceur
En lui ils se poseront comme du miel
Tu peux croire qu’il se sentira fleur
Plein de joie et pour toi il sera fidèle.

Comme je sais que tu sauras l’ aimer
D’amour d’un amour pur et sincère
C’est mon désir, tu peux le garder
L’amour entre nous sera salutaire.

Comme la plante donne de la fleur,
La vie a sa façon de faire et d’être
De nous deux et avec de l’amour
Un troisième et joli cœur va naître
 
 
 
 

samedi 18 septembre 2010

Ce joli petit matin , les rayons du Soleil brillaient
Dans la chambre à coucher
Ce n’était pas l’Astre Roi mais celui que je t’ai donné
Pour pouvoir s’aimer.
Qui nous donne la chaleur, qui chauffe notre amour
Notre vraie passion
Nos corps se chauffaient et les marques qui arrivaient
Pleines d’émotion.

Ce sont de marques de félicité, de l’amour en égalité
Parce qu’ il est à toi et à moi
Qui resteront pour la vie, dans une continuelle folie
Qui a la couleur quelqu’en soit
Ce sont des étoiles qui brillent et qui nous émerveillent
Quand nous nous embrassons
Lèvres échauffées, de deux vrais et beaux amants
Et enchantés , nous restons.

Mes lèvres, tes seins parcourent, tes larmes courent
D’un plaisir infini.
En elles je lave tous mes péchés de mon passé
Je veux faire un oubli
Sur ta peau satinée pendant tout le petit matin
Je promène mes désirs.
Et toi en serrant mon corps, je sens le confort
De tes amoureux délires.

AUJOURD'HUI, J'AI PARLÉ AVEC MON SEXE

 

Aujourd’hui, j’ai parlé avec mon sexe et je lui ai demandé:
Pourquoi mon cher ami, tu ne veux pas du tout travailler?
Tu étais toujours prêt pour faire et bien, ce que je sais
C’est que maintenant tu ne fais que dormir et te reposer.

Je t’ai donné des vitamines bleues, la force? Tu l’as perdu
Ce ne sont pas des baisers de cette même couleur, que faire?
Tu n’as pas réagi, tu as fais la grimace, c’est du jamais vu.
Tu te moques de ma naïveté , tu me blesses, mon petit père.

Alors, ce monsieur a baissé la tête et ainsi il m’a répondu:
Ce n’est pas que je sois un feignant, c’est le fait, c’est pour toi,
Tu sais très bien que tu es malade, cela ne passe pas inaperçu ,
Je préfère m’arrêter, te laisser reposer, je serais bien comme ça.

Tu as déjà vu ce que ce serait, si je me mets à travailler
Et si ton cœur fatigué, faiblissait et de battre il s‘arrêtait?
J’aurais beaucoup de remords, j’aurai la vie pour pleurer,
Non des larmes comme les anciennes, pas le même procès.

Nous nous sommes regardés et nous sommes restés tristes.
Alors, nous avons décidé de nous aider mutuellement.
J’ai commencé à lui donner ma main super naturaliste ,
Que voulez vous? Je suis un philanthrope bienfaisant.

vendredi 17 septembre 2010

L'AMOUR NE SE VOIT PAS

L’amour ne se voit pas, il se sent. Il est en nous.
C’est un sentiment qui se reçoit et qui se transmet.
S’il navigue dans les Océans, là, il nous laisse jaloux
Il ne reste qu’un gout amer que nous voulons discret.

Mais dans les eaux calmes, nous arrivons à bon port
Nous l’amarrons à notre poitrine, son port d’abri,
Heureux , nous sommes, il ne sera plus un amour mort
Mais un amour qui nous guide la vie, un amour ami.

Abrité en nous, protégé, caressé, il va en grandissant.
Le cœur bat allégrement et heureux il va bien heureux
Et transmet cette joie qu’elle transforme en passion.

Qui la reçoit, sent dans son cœur un très bon palpitement.
C’est l’amour dans toute sa splendeur, c’est de pouvoir aimer.
Les deux cœurs s’unissent et laissent en nous l’émotion

lundi 13 septembre 2010

ALLONS TENTER D'ÊTRE HEUREUX

La vie passe en courant
Pour vivre on n’a pas le temps
Ni même pas pour rêver.
Il y a ceux qui ont la joie dans la vie
Il y a ceux qui ont de la nostalgie
Et qui passent la vie à pleurer.

La vie est une belle fleur
Qui a a du parfum d’amour
Mais d’épines bien fortes.
Quand elle commence à faner
Le parfum commence à changer
Ce sera une vie de feuilles mortes.

Allons bien nous divertir
Toujours à chanter et à rire
Mais en respectant la vie.
Allons dans les ruelles danser
Pour ainsi pouvoir transformer
La tristesse en comédie.

Allons danser un passe doble
Ou la Bourrée qui vous trouble
Ce sera une très belle émotion.
Chanter en regardant les étoiles
Trouver pendant le bal
Une belle et grande passion.

Soit au Soleil ou au clair de Lune
Effeuiller une pâquerette,
Allons rire, allons chanter
Personne ne doit pleurer
Il faut savoir être joyeux
À vivre nous sommes des apprentis.
Allons il faut tout oublier
Vivre la vie sans trembler
Allons tenter d’être heureux

vendredi 10 septembre 2010

LA CAMPAGNE

Comme il est bon  passer les vacances à la campagne!
Se promener en écoutant les chants de tous les oiseaux ,
Sentir le cerveau se nettoyer avec l'air de la montagne
Parce qu’il se réjouit de la Paix en admirant le ruisseau.

Écouter le murmure des eaux glissant entre les rochers.
Monter au haut de la montagne et voir les étoiles si belles
Regarder les troupeaux qui pâturent sans avoir de la peur,
Parce que le berger les protège, il est la bonne sentinelle.

Mais l’Automne va arriver et le hurlement des loups aussi.
La montagne gagnera ainsi, la beauté des arbres coloriés.
Les feuilles mortes s’éparpillent avec le vent par là par ici,
Avec l’arrivée des loups , nous perdons un peu  de tranquillité.

Mais comme c’est bon , cette tranquillité pouvoir profiter
Avec l’esprit purifié, nous pouvons continuer à consentir
Le hurlement des loups affamés qui nous laissent à désirer,
Mais nous  penserons aux vacances qui en bref, vont revenir.

jeudi 9 septembre 2010

LE BAL

Je suis allé au bal du club de ma ville
J’ai bien dansé avec de belles demoiselles.
Avec elles , j’ai parlé et j’ai fait l’imbécile,
Toutes me plaisaient, toutes étaient belles.


A l’intervalle, j’ai emmené une belle au bar
C'était la coutume, dans ce bon vieux temps.
Un Porto et un gâteau et la danse repart
Dans cette belle salle de jeunesse au vent.


C’était déjà trop tard quand le bal a été fini
Je lui ai fait compagnie, en conversation
Et l’amour pour elle , vite mon cœur a prit
Nos cœurs ont prit vite les accélérations. 


Nous nous sommes revus, tout allait très bien,
Et ainsi , on a continué tous les deux très liés
Mais avec désespoir, le lendemain au matin
Demandant sa main, j’ai pris un coup de pied



lundi 6 septembre 2010

LE GPS ET L'AMOUR

Je voulais trouver l’amour, pourquoi pas?
Je ne savais pas dans quelle direction aller.
J’ai installé dans le cœur un GPS, n’est-ce pas
Pour qu’il puisse comme cela me guider.

GPS de toute dernière génération, bien sûr.
De ceux qui ont l’image en trois D et en couleur.
La route est plus belle , incrustée dans la verdure
Et ce sera aussi, plus facile de trouver l’amour.

Bon, je commence par bien le programmer,
Sans autoroute, ainsi je n’aurai pas de péage
Ce sera plus facile de trouver un amour à aimer
À la sortie d’une route droite et après un virage.

Je programme; routes départementales sinueuses
De celles qui sont parfois égales à tant d’amours.
Et  je pars. Je tourne à gauche, la route est douteuse,
Je tourne, tourne, regarde, un amour avec une fleur.

Non! Cette amour comme cela, ne m’intéresse pas
Le visage est peint comme un vieux perroquet.
Le GPS a décidé alors il m’a emmené plus bas
Pour aller chercher un qui ne soit pas suspect.

Bon, m’a-t-il dit, nous allons visiter le littoral
Nous sommes arrivés et je n’ai rien vu d’ intéressant.
Mais que veux tu? L’amour est toujours égale
Il n’existe pas, que je sache , un amour en diamant.

En zig zag allant par un vrai  chemin de l’amour
Tu sais un amour comme cela , je ne connais pas.
Nous nous sommes trouvés un chemin. Quelle horreur
Un grand précipice de l’amour et je suis tombé en bas.

dimanche 5 septembre 2010

MERVEILLE DOCILE

Tu es ma merveille docile
Qui fait de toi notre amour
Tu es la belle  brune des Îles
Qui m’a fait ton troubadour.

Depuis la nuit des temps
Qui n’existe amour égal.
Les autres sont du passe temps
Notre amour est tropical.

Pendant la nuit je te chante
Aux ouies et en délicatesse
Je caresse à tout l’instant
T’embrassant avec tendresse.

Tes yeux ont de la finesse
 Qui traduisent tes sentiments
Tes lèvres ont de la noblesse
Et tes baisers sont épatants

Ma brune de nos Îles
Tu as l’amour tropical
Toi même tu es très docile
Avec un corps sculptural

samedi 4 septembre 2010

LARMES DE CRISTAL

Il a plu dans la nuit.
Les gouttes étaient un délice
Comme les larmes de la métisse
Qui un jour m'a séduit.

Mais les nuages étaient,
Doux comme la lueur
Qui a illuminé mon cœur,
Mon cœur, son confident

Et cette femme de rêve,
Peau de la couleur du café,
Lèvres rouges de fièvre,
Des yeux noirs de la Guinée,
Qui m'ont fait divaguer
Dans l'Univers de l'amour,
Dans mon jardin Lunaire
C’était la plus belle fleur.

Rose noire de velours
Que mes lèvres ont embrassé,
Pétales qui se sont données
Et m'ont donné l'aventure.

Mon jardin a disparu
Dans une nuit Hivernale,
J'ai eu des larmes de cristal,
Et cette nuit là... il a plu!

jeudi 2 septembre 2010

LA CONSCIENCE

J'ai dans mon cerveau un dictionnaire défeuillé
E les plus belles paroles d’amour dans mon cœur
Le cerveau est dans un état qui cause déjà de la pitié,
Les paroles marchent dans des chemins sans fleurs.

Marcher avec allégresse, quel est le chemin à suivre?
Il y en a tant, mais la plupart sont des chemins sinueux
Elles glissent ici, glissant là bas, elles tentent de fuir,
Leur manquant l’équilibre dans ces terrains hideux

Elles vacillent à chaque phrase, elles sont bien déséquilibrées.
Équilibrer les paroles ou toutes les phrases en écrivant,
Est un sérieux travail de cirque dans le vide et sans filet
Et tombant dans le vide de la conscience est effrayant.

Conscience, si encore par hasard elle existe , ou est elle.
Comment dire tant de choses , sans savoir , dans le vague, idiotie
Écrire un poème avec de la conscience est une poésie belle,
Ce n’est pas de l’idiotie , si elles sont des paroles propices.

mercredi 1 septembre 2010

LA MATURITÉ

Je ne suis pas agriculteur mais j’ai des arbres à fruits.
Pas beaucoup, quelques uns, je veux dire, à peine un.
Ils ne sont pas des arbres de rendement, mais des ennuis,
Le plaisir de les voir fleurir le jour ou au claire de Lune.

Le fruit apparait, joli, bien petit et de couleur verte.
Petit à petit , la nature leur donne le don de grandir.
Avec le vent, avec la pluie, il y en a toujours un qui se perd.
Il n’y a pas de doute, comme c’est joli de les voir murir.

Je ne les soigne pas, pas d’insecticides ou pesticides,
Pour cela c’est suffisant , tous ceux qui nous entourent.
La nature fait de beaux fruits mais parfois acides
Et les vitamines qu’il produisent,  elles nous sidèrent.

Aujourd’hui , je suis  mal tombé dans mon jardin
C’est mon épouse qui a voulu m’aider à me lever
Comme le fruit, quand il est mur, je tombe, c’est malin
C’est normal, comme le fruit, je suis arrivé à la maturité

AMOUR DE MA VIE

                  


Mon amour, ma chérie, mon âme, tout mon cœur,
Tu es une des raisons, même la principale, de ma vie.
Sans toi, je ne vois comment la vie aurait de la valeur
Tu es la lumière qui m’illumine, la plus belle avenue.

Je  m’interroge , que serai-je sans ta présence
Puisque notre amour est si fort que la valeur de l’or.
Le vide , il n’y a pas de place, c’est une croyance.
Une belle arche ou est notre amour, notre trésor.

Nous ne nous pouvons pas nous séparer, ce serait utopie.
Si notre pensée nous emmène à un mirage dans le désert.
Je ne sais pas , mais je croie que tu sais bien ce que serait
Notre vie, notre amour mourrait de soif avec l’eau si près.

LA VERITE ET LE MENSONGE

J’aime trop les femmes dénudées de mensonges.
J’aime trop les paroles habillées de toute vérité.
Si c’est comme cela que tout le Monde songe,
Un Monde comme cela ,est un Monde à ne pas oublier.

Nous laissons la nostalgie au moment de notre départ.
Non pour une autre vie, mais pour le repos éternel.
Avec nous , ce sera la nostalgie d’un Monde à part.
Ou tout était beau, toujours le Printemps immortel.

Mais combien de femmes nues ne sont que mensonges .
Parce qu’elles mentent à leur dignité qui leur appartient
Obligées à gagner leur vie, qu’elles sont loin des songes.
La vérité de l’homme n’est pas une vérité qui tient

Les paroles habillées  de vérité, oui , ou? Ou elles sont
Pour que je les cherche , je ne vais pas les trouver.
Elles peuvent être paroles de velours, mais rien de bon.
Mais habillées de mensonges, elles nous font trembler.

mardi 31 août 2010

LAISSE-MOI GARDER LA NOSTÁLGIE

Viens!
Viens chez moi
Et ramènes-moi mon amour,
Celui que tu m’as pris!
Celui que j'ai tant aimé.
Tu passes sans être invité.
Aujourd'hui, c'est moi qui te demande
Que tu passes chez moi
Et que tu me rendes la joie de vivre.
Toi, oh mort...
Qui chez moi , tu es entré,
L'amour de ma vie , tu as emmené,
Ma mère, la femme plus chérie,
Elle m'a donné la vie.
Viens et amène-la avec toi
Donne-lui la liberté.
Emmènes-moi avec toi si tu le veux,
Je te donne ma vie...
Mais laisse-moi garder la nostalgie!

OH... SI J'ÉTAIS AMOUR

Amour... oh si j'étais amour!
J'installerai ma base dans ton cœur.
De là, je partirai doucement exploiter
Ton corps, passant par les artères
Aussi par les ruelles, admirant ta beauté intérieure.
J'irai visiter la centrale de toutes tes décisions.
Tenter de comprendre, quand l'amour devient passion.
Tenter savoir quand on veut dire oui, on dit non.
Plonger dans la source d'eau salée
Ou tes yeux la transforment en larmes.
Larmes d'amour, de douleur ou d'émotion.
Pouvoir m'installer dans la rétine de tes yeux
Pour voir et apprécier la façon comment tu me vois.
Si avec amour, avec dédain, ou avec fierté.
Visiter la soufflerie qui te fait respirer, que te tient en vie.
Voir tes cordes vocales qui murmurent des mots doux
Des mots de désespoir ou de mots d'illusion.
Aller visiter ce laboratoire sensationnel
Ou la vie, donne la vie, donne la natalité.
Fatigué de tant voyager, je retournerai dans ton cœur
Et je m'installerai définitivement dans le coin de la tentation

lundi 30 août 2010

ET SI LES PAYS CHANGEAIENT DE NOM?

Et si les Pays du Monde, changeaient de nom?

Un, pourrait être Amour ,un autre s’appellerait Paix, 
Un autre, Fleur, ou encore un autre  Félicité.
Mais aucun s’appellerait Tristesse , c’est vrai.
Et que aucun Pays puisse avoir besoin de la charité


Un qui pourrait être Abondance ou Allégresse
Encore un autre Paradis de la plus belle pureté
Et si un s’appellerait Eden, comme ce serait jolie
Ce ne serait pas facile, je suis sûr que tout est limité.
Et on  m’appellerait de fou, si je marche et je ris


Encore un, Lune, pour pouvoir avoir la vie argentée
Ainsi que Aurore, pour avoir une beauté boréale.
Et s’il y aurait un qui s’appelait simplement, Fraternité?
Ou tous pourraient donner la main sans penser au mal
Mais que bon ce serait un Monde nommé Egalité.


Dans ce Pays nommé Franchise et sans avoir de cynisme
Nous tous pourrions vivre sans avoir de la vil rivalité
À la fin,  tous , nous voulons vivre sans stress et en  Paix
Tout le monde clame le droit à la plus belle Liberté
Mais dans certains Pays , celle très aimée, elle n'apparait.

dimanche 29 août 2010

ALLO... LA LUNE?

Allo? La Lune?
Je te vois de ma rue!
Comme tu es belle!!!
Tu es d'un doré-argenté
Qui te donne beaucoup de beauté!
Si...Si... c'est vrai, tu peux être sûr,
Tu as la beauté Astrale!
Et de là haut, tu vois ma rue?
Non!... tu ne l'aperçois pas.
Regarde, regarde bien...
Je suis en train de te faire des signes.
Tu me vois, mais très mal...
Je comprends, je suis petit.
Mais le Monde, tu le vois bien!?
Eh oui... Eh oui...
Malheureusement c'est comme cela.
Nous n'avons jamais la paix, mais maintenant...
Il y a une guerre par ici, une autre là bas...
De l'autre côté tu vois des flammes?
Non... non.. ce n'est pas des cheminées, non!
Ce n'est pas des bûches qui brulent,
Ce sont des bombes qui nous envahissent
Envoyées par quelqu'un qui n'a pas de cœur.
Ecoute, Lune, je peux te demander une faveur?
Je peux... tu sais, j'aime bien écrire
Principalement des poèmes d'amour
Mais depuis quelques jours
C'est vraiment une souffrance!
Rien de rien j'arrive à écrire.
Si tu peux me donner un peu d'inspiration...
Tu vas penser à cela, à ma demande,
Je te remercie du fond de mon cœur.

LAISSER LES CLOCHES RIRE

Les rayons de soleil brillaient
Tes cheveux au vent dansaient
Comme à provoquer mon amour.
J'ai senti l'amour arriver
Et le désir de t'embrasser
De t'embrasser en plein jour.

Les anneaux de tes cheveux
Blonds, soyeux, très beaux,
Tes yeux de vert-mer.
Tes yeux qui m'ont illuminé
Et qui plus tard m'ont emmené
A l'eglise,ou j'étais si fier.

Ce jour là, les cloches riaient
Avec ses sons musicaux,
Elles même sentaient
Que nous étions les plus heureux.
Cette petite tête blonde
Avec de l'eau bénite, mouillée,
Etait à toi, était à moi,
Etait née pour être aimé.

C'est une adorable fille!
Joyeuse, riante, ses yeux brillent
Et notre amour a été renforcé.
La caresser comme une rose,
L'adorer comme une prose,
Ecrite par qui a déjà aimé.

Mon Dieu.. comme elle a grandi!
Elle a trouvé son Roméo, elle aussi
A qui son coeur est fidèle.
De robe Blanche vêtue,
Elle est descendue de l'Avenue
Qui l'amené à la Chapelle.

Ce jour là, les cloches riaient
Avec ses sons musicaux,
Elles même sentaient
Que nous étions les plus heureux.
Leurs sons étaient percutants.
Ce jour n'est pas le même
C'est le jour d'un baptême,
On est devenus grands-parents.

mercredi 25 août 2010

MILLE VISITES

CE BLOG A ÉTÉ CRÉE LE 18/07/2010, IL Y A CINQ SEMAINES ET EN CINQ SEMAINES IL A ÉTÉ VISITÉ 1000 FOIS.


JE SOUHAITE QUE LES POÈMES ICI PUBLIES, VOUS ONT PLU. J'AI FAIT TOUT MON POSSIBLE POUR, AVEC VOUS, SENTIR LE PLAISIR DE LA POÉSIE.


JE REMERCIE BEAUCOUP À TOUS CEUX QUI M'ONT HONORÉ D'AVOIR VISITÉ  MON BLOG, SANS VOTRE PRÉSENCE, IL NE ME SERAIT PAS POSSIBLE DE CONTINUER.


UN GRAND MERCI


ALBERTO DA FONSECA





samedi 21 août 2010

DANS UNE NUIT DE SPLENDEUR

Nous allons parler d’amour
Je vais te dire que je t’aime
L’amour il n’a pas de colleur
Il a la colleur suprême.

J’irais murmurer a tes ouïs
Palabres belles, sensuelles
Que auront des sons jolis
En amour nous sommes égales.

Dans une nuit de splendeur
Je te aimerais , tu m’iras aimer
Nous donnerons  à notre amour
Une belle orgie d’enchanter.

De plaisir les lèvres je baiserais
Avec les miens je parcoure ton corps
Je te ferais tout, même se que je ne le sais
Et j’e t’offrirais un Paradis de confort

vendredi 20 août 2010

SI TOUT ÉTAIT FACILE

J’ai fait l’amour avec les lettres et j’ai eu un fils déformé.
Physiquement, physiologiquement, tout en  lui est tordu
Tous les spécialistes trouvent qu’il devrait être réformé
Il devrait être placé dans une maison spécialisée, mais ou?

Il parait qu’il n’existe pas des maisons peintes en couleur rose
Spécialisées  en poésie qui sont un peu trop simplettes.
Je me suis senti malheureux, tout le monde rie de la chose,
De cette poésie boiteuse, déséquilibrée, très, très mal faite.

Mais que voulez vous? Dans notre Monde il y a un peu de tout.
Que serait  la beauté s’il n’existait pas des gents vilains?
De ceux de l’oreille fine, si le muet n’existait pas non plus?
De ceux qui sont riches sans ceux qui peuvent vivre à peine.

Si tout était facile, il ne pouvait pas non plus exister la joie
Si tous les humains étaient blancs, il n’y avait pas du racisme.
Si nous tous restions jeunes ,il n’existait pas l’âge qui s’en va
Et que feraient les spécialistes du mensonge et du cynisme?

Mais pour faire un Monde il nous faut de tout un petit peu
Mais sans exagérer, que tout puisse se faire naturellement.
Mais il faut avoir un peu de santé mentale pour devenir fou
Celui qui dit , qui parle toujours vrai, c’est parce qu’il ment.

jeudi 19 août 2010

BYE BYE, MARIN

Bye bye, marin téméraire de nos Océans et marées
Tu luttes contre les ondes de la vie qui sont dangereuses
Bye bye, marin imprudent reviens dans quelques ans
Tu auras la certitude que t’attendront des dames âgées 


Avec des fleurs dans les bras par les larmes arrosées
Aussi salées comme l’eau de l’Océan que tu traverseras
Ne te laisse pas enchanter par les Sirènes de mauvais jour
Qui regardent les grands  marins toujours avec supériorité


À ton retour, je ne serais plus là, l’âge ne pardonne pas
Mais pour moi, ne t’inquiète pas, à toi je penserais 
Je désire par ta dignité ton retour dans une barcasse
Tu montreras au Monde que tu es fort et que tu arriveras.


Tu écriras tes mémoires, les aventures de ton voyage
Le passage au Cap des Tourmentes, fut une dure lutte
L’expérience te fera perdre la fierté mais tu viens fort
Et pour trouver un éditeur qui te publie, est du courage 

mercredi 18 août 2010

LA FEMME ET L'HOMME

La femme est une fleur belle et parfumée
Qui au Printemps, joliment, se transforme
Toute avec ses pétales blancs ou rosés
Qui au clair de Lune elle se transforme.

Elle donne de la beauté, plus de couleur.
Elle forme le jardin floréal qui nous entoure
Le Soleil l’illumine et vient dorer cette fleur,
Avec la chaleur, devient une ruche d’amour.

L’homme est l’abeille qui parcourt les jardins
Qui va de fleur en fleur, doucement, les butiner
Se posant ici ou là soit sur une rose ou du jasmin
De cette fleur, l’homme, son parfum va aimer

Il transforme le pollen dans sa belle ruche
Il le travaille et le transforme en doux miel
Les lèvres de la fleur avec du miel, il la touche
Avec le parfum de l’amour, qu’il le veut fidèle