INVITATION

JE VOUS INVITE À VISITER ET À VOUS INSCRIRE POUR PUBLIER VOS POÈMES EN FRANÇAIS AU FRANCO-POÈMES

mardi 31 août 2010

LAISSE-MOI GARDER LA NOSTÁLGIE

Viens!
Viens chez moi
Et ramènes-moi mon amour,
Celui que tu m’as pris!
Celui que j'ai tant aimé.
Tu passes sans être invité.
Aujourd'hui, c'est moi qui te demande
Que tu passes chez moi
Et que tu me rendes la joie de vivre.
Toi, oh mort...
Qui chez moi , tu es entré,
L'amour de ma vie , tu as emmené,
Ma mère, la femme plus chérie,
Elle m'a donné la vie.
Viens et amène-la avec toi
Donne-lui la liberté.
Emmènes-moi avec toi si tu le veux,
Je te donne ma vie...
Mais laisse-moi garder la nostalgie!

OH... SI J'ÉTAIS AMOUR

Amour... oh si j'étais amour!
J'installerai ma base dans ton cœur.
De là, je partirai doucement exploiter
Ton corps, passant par les artères
Aussi par les ruelles, admirant ta beauté intérieure.
J'irai visiter la centrale de toutes tes décisions.
Tenter de comprendre, quand l'amour devient passion.
Tenter savoir quand on veut dire oui, on dit non.
Plonger dans la source d'eau salée
Ou tes yeux la transforment en larmes.
Larmes d'amour, de douleur ou d'émotion.
Pouvoir m'installer dans la rétine de tes yeux
Pour voir et apprécier la façon comment tu me vois.
Si avec amour, avec dédain, ou avec fierté.
Visiter la soufflerie qui te fait respirer, que te tient en vie.
Voir tes cordes vocales qui murmurent des mots doux
Des mots de désespoir ou de mots d'illusion.
Aller visiter ce laboratoire sensationnel
Ou la vie, donne la vie, donne la natalité.
Fatigué de tant voyager, je retournerai dans ton cœur
Et je m'installerai définitivement dans le coin de la tentation

lundi 30 août 2010

ET SI LES PAYS CHANGEAIENT DE NOM?

Et si les Pays du Monde, changeaient de nom?

Un, pourrait être Amour ,un autre s’appellerait Paix, 
Un autre, Fleur, ou encore un autre  Félicité.
Mais aucun s’appellerait Tristesse , c’est vrai.
Et que aucun Pays puisse avoir besoin de la charité


Un qui pourrait être Abondance ou Allégresse
Encore un autre Paradis de la plus belle pureté
Et si un s’appellerait Eden, comme ce serait jolie
Ce ne serait pas facile, je suis sûr que tout est limité.
Et on  m’appellerait de fou, si je marche et je ris


Encore un, Lune, pour pouvoir avoir la vie argentée
Ainsi que Aurore, pour avoir une beauté boréale.
Et s’il y aurait un qui s’appelait simplement, Fraternité?
Ou tous pourraient donner la main sans penser au mal
Mais que bon ce serait un Monde nommé Egalité.


Dans ce Pays nommé Franchise et sans avoir de cynisme
Nous tous pourrions vivre sans avoir de la vil rivalité
À la fin,  tous , nous voulons vivre sans stress et en  Paix
Tout le monde clame le droit à la plus belle Liberté
Mais dans certains Pays , celle très aimée, elle n'apparait.

dimanche 29 août 2010

ALLO... LA LUNE?

Allo? La Lune?
Je te vois de ma rue!
Comme tu es belle!!!
Tu es d'un doré-argenté
Qui te donne beaucoup de beauté!
Si...Si... c'est vrai, tu peux être sûr,
Tu as la beauté Astrale!
Et de là haut, tu vois ma rue?
Non!... tu ne l'aperçois pas.
Regarde, regarde bien...
Je suis en train de te faire des signes.
Tu me vois, mais très mal...
Je comprends, je suis petit.
Mais le Monde, tu le vois bien!?
Eh oui... Eh oui...
Malheureusement c'est comme cela.
Nous n'avons jamais la paix, mais maintenant...
Il y a une guerre par ici, une autre là bas...
De l'autre côté tu vois des flammes?
Non... non.. ce n'est pas des cheminées, non!
Ce n'est pas des bûches qui brulent,
Ce sont des bombes qui nous envahissent
Envoyées par quelqu'un qui n'a pas de cœur.
Ecoute, Lune, je peux te demander une faveur?
Je peux... tu sais, j'aime bien écrire
Principalement des poèmes d'amour
Mais depuis quelques jours
C'est vraiment une souffrance!
Rien de rien j'arrive à écrire.
Si tu peux me donner un peu d'inspiration...
Tu vas penser à cela, à ma demande,
Je te remercie du fond de mon cœur.

LAISSER LES CLOCHES RIRE

Les rayons de soleil brillaient
Tes cheveux au vent dansaient
Comme à provoquer mon amour.
J'ai senti l'amour arriver
Et le désir de t'embrasser
De t'embrasser en plein jour.

Les anneaux de tes cheveux
Blonds, soyeux, très beaux,
Tes yeux de vert-mer.
Tes yeux qui m'ont illuminé
Et qui plus tard m'ont emmené
A l'eglise,ou j'étais si fier.

Ce jour là, les cloches riaient
Avec ses sons musicaux,
Elles même sentaient
Que nous étions les plus heureux.
Cette petite tête blonde
Avec de l'eau bénite, mouillée,
Etait à toi, était à moi,
Etait née pour être aimé.

C'est une adorable fille!
Joyeuse, riante, ses yeux brillent
Et notre amour a été renforcé.
La caresser comme une rose,
L'adorer comme une prose,
Ecrite par qui a déjà aimé.

Mon Dieu.. comme elle a grandi!
Elle a trouvé son Roméo, elle aussi
A qui son coeur est fidèle.
De robe Blanche vêtue,
Elle est descendue de l'Avenue
Qui l'amené à la Chapelle.

Ce jour là, les cloches riaient
Avec ses sons musicaux,
Elles même sentaient
Que nous étions les plus heureux.
Leurs sons étaient percutants.
Ce jour n'est pas le même
C'est le jour d'un baptême,
On est devenus grands-parents.

mercredi 25 août 2010

MILLE VISITES

CE BLOG A ÉTÉ CRÉE LE 18/07/2010, IL Y A CINQ SEMAINES ET EN CINQ SEMAINES IL A ÉTÉ VISITÉ 1000 FOIS.


JE SOUHAITE QUE LES POÈMES ICI PUBLIES, VOUS ONT PLU. J'AI FAIT TOUT MON POSSIBLE POUR, AVEC VOUS, SENTIR LE PLAISIR DE LA POÉSIE.


JE REMERCIE BEAUCOUP À TOUS CEUX QUI M'ONT HONORÉ D'AVOIR VISITÉ  MON BLOG, SANS VOTRE PRÉSENCE, IL NE ME SERAIT PAS POSSIBLE DE CONTINUER.


UN GRAND MERCI


ALBERTO DA FONSECA





samedi 21 août 2010

DANS UNE NUIT DE SPLENDEUR

Nous allons parler d’amour
Je vais te dire que je t’aime
L’amour il n’a pas de colleur
Il a la colleur suprême.

J’irais murmurer a tes ouïs
Palabres belles, sensuelles
Que auront des sons jolis
En amour nous sommes égales.

Dans une nuit de splendeur
Je te aimerais , tu m’iras aimer
Nous donnerons  à notre amour
Une belle orgie d’enchanter.

De plaisir les lèvres je baiserais
Avec les miens je parcoure ton corps
Je te ferais tout, même se que je ne le sais
Et j’e t’offrirais un Paradis de confort

vendredi 20 août 2010

SI TOUT ÉTAIT FACILE

J’ai fait l’amour avec les lettres et j’ai eu un fils déformé.
Physiquement, physiologiquement, tout en  lui est tordu
Tous les spécialistes trouvent qu’il devrait être réformé
Il devrait être placé dans une maison spécialisée, mais ou?

Il parait qu’il n’existe pas des maisons peintes en couleur rose
Spécialisées  en poésie qui sont un peu trop simplettes.
Je me suis senti malheureux, tout le monde rie de la chose,
De cette poésie boiteuse, déséquilibrée, très, très mal faite.

Mais que voulez vous? Dans notre Monde il y a un peu de tout.
Que serait  la beauté s’il n’existait pas des gents vilains?
De ceux de l’oreille fine, si le muet n’existait pas non plus?
De ceux qui sont riches sans ceux qui peuvent vivre à peine.

Si tout était facile, il ne pouvait pas non plus exister la joie
Si tous les humains étaient blancs, il n’y avait pas du racisme.
Si nous tous restions jeunes ,il n’existait pas l’âge qui s’en va
Et que feraient les spécialistes du mensonge et du cynisme?

Mais pour faire un Monde il nous faut de tout un petit peu
Mais sans exagérer, que tout puisse se faire naturellement.
Mais il faut avoir un peu de santé mentale pour devenir fou
Celui qui dit , qui parle toujours vrai, c’est parce qu’il ment.

jeudi 19 août 2010

BYE BYE, MARIN

Bye bye, marin téméraire de nos Océans et marées
Tu luttes contre les ondes de la vie qui sont dangereuses
Bye bye, marin imprudent reviens dans quelques ans
Tu auras la certitude que t’attendront des dames âgées 


Avec des fleurs dans les bras par les larmes arrosées
Aussi salées comme l’eau de l’Océan que tu traverseras
Ne te laisse pas enchanter par les Sirènes de mauvais jour
Qui regardent les grands  marins toujours avec supériorité


À ton retour, je ne serais plus là, l’âge ne pardonne pas
Mais pour moi, ne t’inquiète pas, à toi je penserais 
Je désire par ta dignité ton retour dans une barcasse
Tu montreras au Monde que tu es fort et que tu arriveras.


Tu écriras tes mémoires, les aventures de ton voyage
Le passage au Cap des Tourmentes, fut une dure lutte
L’expérience te fera perdre la fierté mais tu viens fort
Et pour trouver un éditeur qui te publie, est du courage 

mercredi 18 août 2010

LA FEMME ET L'HOMME

La femme est une fleur belle et parfumée
Qui au Printemps, joliment, se transforme
Toute avec ses pétales blancs ou rosés
Qui au clair de Lune elle se transforme.

Elle donne de la beauté, plus de couleur.
Elle forme le jardin floréal qui nous entoure
Le Soleil l’illumine et vient dorer cette fleur,
Avec la chaleur, devient une ruche d’amour.

L’homme est l’abeille qui parcourt les jardins
Qui va de fleur en fleur, doucement, les butiner
Se posant ici ou là soit sur une rose ou du jasmin
De cette fleur, l’homme, son parfum va aimer

Il transforme le pollen dans sa belle ruche
Il le travaille et le transforme en doux miel
Les lèvres de la fleur avec du miel, il la touche
Avec le parfum de l’amour, qu’il le veut fidèle

lundi 16 août 2010

FAIRE VOYAGER NOS RÊVES

Rêver est vivre dans l’irréel.
Voguer dans l’espace sidéral.
Aller  d’ étoile en étoile.
C’est une commette qui passe
C’est donner à la vie la grâce,
La grâce d’une gazelle 


Pour cela, rêve avec moi.
Rêve que je suis ton abri,
Cabane de ton rêveur. 
Et dans la magie de ces rêves
Pouvoir baiser tes yeux
Dans cette cabane d’amour.


Faire voyager nos rêves
Sur un tapis volant.
Passer à coté de la Lune
Et des étoiles de l’amour.
Et sur les nues blanches
Ou nous nous pourrons poser
Nos corps pouvoir rouler
En continuant à rêver.


Amour, que de l’amour
Les plus belles sensations
Que seuls les rêves peuvent avoir.
Rêver que l’amour est éternel
Rêver qu’il n’ y a pas d’hiver
Rêver d’aimer et d’espoir.


C’est très beau rêver d’amour.
Rêver d’une femme, belle fleur
D’un vrai parfum champêtre.
Rêver que dans notre poitrine
Habite un amour sublime
Un vrai Paradis terrestre

vendredi 6 août 2010

LA VIOLENCE ET L'AMOUR

La vie ne se compose seulement  de violence.
L’amour occupe encore une très bonne place.
Si contre la violence il n’y a pas de patience
Il y a pour l’amour, la patience et l’espace.

La violence est ici, là bas et plus loin encore.
Je ne parle pas des guerres que nous assolent
Je parle de la violence urbaine à toute heure
Mais dans les cités il y a de l’amour présent.

La violence a comme base toute la misère.
Le chômage qui prolifère de tout les cotés
Les drogues qui  font partie de la matière
Et qui fomente la violence de ce marché.

L’amour ne gère pas la guerre, mais l’amour
Est la drogue la plus belle, la plus saine de notre vie.
C’est un poids , qui avec plaisir , nous sommes pour
La guerre de l’amour, c’est une guerre de magie.

mercredi 4 août 2010

JE VOULAIS BAISER CES MAINS

Je voulais baiser ces mains
Qui ont caressé mon visage.
Au petit jour, nous avons quitté
Le bal de notre cité.
Nous avons dansé, tournoyé, parlé
De tout et de rien, heureux de notre jeunesse.
Je lui ai demandé son prénom...
Mon prénom? je ne sais pas!
Jusqu'à sa maison
Côte a côte, je l'ai accompagné
Et pendant que nous marchions
Je lui ai volé un baiser
Et elle, deux, m'a donné.
Riant, elle m'a dit... Fleurbelle!
Ainsi, nous avons continué
Nos mains entrelacées,
Riant, elle m'a conduit. à son nid.
Comme par magie,
Nos corps se sont dénudés
De tous nos habits
De tous nos préjugés.
Et ses mains, m'ont emmené à son lit.
Dans les ruelles de sa poitrine, mes lèvres
Ont parcouru les monts et vallées de son corps
Buvant l'eau de ses yeux, que de plaisir sortaient
Rassasiant la soif du verbe aimer,  qui nous a assoiffé.
Dans un orgasme d'amour dans toute sa splendeur,
Je voulais continuer à baiser comme un Page
Ces mains qu'un jour caressèrent mon visage.

lundi 2 août 2010

CETTE VIE QUE J'AIME

Je t'aimais
Je t'aime
Je t'aimerai.
Tu es mon étoile,
Ma lune mon soleil.
Tu es l'océan
Ou je noie mon désespoir.
Tu es l'étoile
Qui guide mon espoir
De voir sur la terre
Que l'amour
Pas la guerre.
Tu es la lune
Qui avec ton air triste
De là haut tu vois
Tout ce que de mauvais existe
Et tu pleures.
Et si un jour
Quelqu'un te verra rire,
Ce jour là, oui
Tu pourras dire,
Oh...comme l'homme a changé!
Tu es mon soleil
Qui chauffe mon corps
Mon âme , mon cœur
Tu me donnes la force
Pour aimer ma femme, mon enfant
A qui tu donnes la splendeur
De l'amour
Qui me sert de support.
Tu es l'étoile
Qui me guide et qui brille
Dans l'océan qui est la vie,
Cette vie que j'aimais
Que j'aime
Et que j'aimerai.

dimanche 1 août 2010

MON JARDIN

Le soir et le matin
Je regarde mon jardin
Et de le regarder, ça m'excite.
Je caresse deux choux,
De les caresser, je deviens fou
Et comme mon cœur palpite.

J'ai envie de m'allonger
Sur mon jardin et rêver,
De devenir papillon.
Pour me poser doucement
Sur le persil et gaiement,
Frotter mes ailes de passion.

Mais un rêve n'est qu'un rêve
Et sur mes draps blancs de neige,
Je me prépare pour dormir.
Il faut que je retourne demain,
Regarder mon beau Jardin,
Que de joie me fait frémir.

J'ai besoin de l'arroser,
D'autres légumes planter,
Par exemple, les poireaux
Entre le persil, comme par hasard;
Mais le soir il est trop tard
Et le matin il est trop tôt.

Mon très joli jardin,
Est le plus beau au monde.
Quand j'arrose le terrain
Je l'arrose à fond.

Un terrain bien mouillé,
Fait du bien à l'échalote,
Un terrain bien labouré,
Fait grossir la carotte.