INVITATION

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mardi 24 janvier 2012

VOIR LA MONTAGNE QUI PLEURE

Que c'est beau voir une montagne qui pleure!
Regarder ses larmes couler dans leurs versants.
A ses pieds se forment des rus, des rivières
Qui allégrement courent vers les Océans.
Que c'est beau voir le réveil du Soleil, son ton vermeil vient chauffer la terre, chauffer nos cœurs, notre âme, notre amour.
Donner de la couleur à la vie, bonheur-du-jour.
Regarder l'infini et les étoiles qui brillent
Comme brillent les yeux de nos enfants
Pleins de sens, pleins d'innocence, pleins de vérité
Pleins d'amour, pleins de joie et pour des instants,
Après les voir rire de plaisir de les voir s'amuser,
Voir leurs larmes qui coulent comme celles de la montagne,
A sautiller comme des cabris entre deux rochers.
La beauté est partout, de la Cordillère des Andes
À la belle légende de la forêt de Brocéliande.

MON ETOILE, MON SOLEIL

Je t'aimais
Je t'aime
Je t'aimerai.
Tu es mon étoile,
Ma lune mon soleil.
Tu es l’océan
Ou je noie mon désespoir.
Tu es l'étoile
Qui guide mon espoir
De voir sur la terre
Que l'amour
Pas la guerre.
Tu es la lune
Qui avec ton air triste
De là haut tu vois
Tout ce que de mauvais existe
Et tu pleures.
Et si un jour
Quelqu'un te verra rire, 

Ce jour là, oui Tu pourras dire,
Oh...comme l'homme a changé!
Tu es mon soleil
Qui chauffe mon corps
Mon âme , mon cœur
Tu me donnes la force
Pour aimer ma femme, mon enfant
A qui tu donnes la splendeur
De l'amour
Qui me sert de support.
Tu es l'étoile
Qui me guide et qui brille
Dans l'océan qui est la vie,
Cette vie que j'aimais
Que j'aime
Et que j'aimerai.

samedi 21 janvier 2012

JE N'AIME PAS LES PORTUGAIS

Je ne suis et jamais je n’ai été raciste
Mais les portugais, je ne veux pas les voir
Même les poils deviennent tous noirs
Quand je vois un de ces Messieurs
Pas du tout joli et en plus bien vieux.




Il bien a la manie de me poursuivre
À chaque fois que je vais à la salle d'eau
Il est là, il ne me fait pas de cadeau.
Je lui fais des grimaces horribles
Et il me provoque, faisant des terribles.


Je lui parle pour tenter de lui faire voir
Que s’ il continue je lui met une claque
Mais il est coquin, un vrai macaque
Et  il imite tous mes gestes d’irritation
Il m’irrite et se  fiche de mes protestations


Ce matin je suis allé à la salle d'eau
Et lui était déjà  là, bien devant moi,
Je lui mis une claque avec bonne joie.
Il a disparu et a amené mon miroir
Pas d'importance, je suis resté peinard.