INVITATION

JE VOUS INVITE À VISITER ET À VOUS INSCRIRE POUR PUBLIER VOS POÈMES EN FRANÇAIS AU FRANCO-POÈMES

vendredi 30 juillet 2010

JE SUIS UN POETE DONC,JE SUIS UN CREATEUR

Je suis poète, disent ils, donc, je suis un créateur!
Je crée des rêves, âneries, forfanterie, littérature.
Je crée des poèmes d’allégresse et de douleur ,
J’écrie très bien, mais de forme pas trop sûre.

Je crée la provocation,  pas de forme personnel !
Ce sont que des indirectes, j’écris comme j’ai envie.
Parce que je suis poète et créateur, donc c’est normal,
Si on me critique, ne me chauffe pas ni me refroidi.

Je n’attaque personne, sauf si je suis attaqué
Je ne fais pas des chapeaux je ne suis pas chapelier.
Mais il y a ceux qui pensent que cela leur est réservé,
Mais ils se trompent ,les chapeaux sont seuls feutrés

 Je suis poète des bons je cause des envieux.
Personne n’est égale à moi, je suis le meilleur
Je nettoie mes créations, je suis pointilleux
Il n’y a rien à faire, je suis bien le plus fort.

Je suis déjà bien habitué, alors je laisse aller
Si je glane ce n’est pas pour ne pas aimer je suis ainsi
J’ai cela dans le sang, et moi j’aime bien grincher,
Faites pas attention, je suis poète, je suis endurci.

UN POETE PROSCRIT

Entre deux vers, nous pouvons écrire un poème.
Écrire ce que nous voulons, mais sans le montrer.
Lire entre-lignes, cela peut être un vrai dilemme
Lire ce qui est écrit et après, tout pouvoir déchiffrer.

Nous écrivons toujours ce que le cœur nous dicte ,
Tout au moins, c’est mon cas, pas une généralité.
Le lecteur accepte, parfois il ne va pas croire si vite
Que le thème c’est un vrai thème de générosité.

Et c’est ici que les entre-lignes gagnent leur raison.
Nous allons lire ce qui n’était même  pas écrit
A ce moment là il y en a qui profite l’occasion,
Pour pouvoir faire d’un poète un poète proscrit

jeudi 29 juillet 2010

LA FEMME

La femme est un symbole de beauté.
Son regard est plein de tendresse.
Ses lèvres sont toujours à désirer
D’un baiser donner, avec une caresse.

Ses yeux, beaux comme les diamants
Elle a la douceur d’une belle palombe
Qui fait de l’homme son vrai amant
Qui parfois elle nous fait de l'ombre

Elle a aussi la délicatesse d’une fleur
Son amour a l’argenté de la Lune
Tigresse à l’heure de nos amours
Dans l’ardeur du feu, peau qui parfume.

Elle possède dans son corps ,des rayons de Soleil,
De la fauvette, la timidité très naturelle
Comme  mère, elle est  le phare qui nous accueille
Qui guide la vie, et est un point cardinal

mercredi 28 juillet 2010

L'ARBRE

J’admirais les flammes qui crépitaient dans ma cheminée.
J’ai vu  une bûche qui agonisait , déjà  presque en cendres.
A ce moment j’ai pensé à la vie, j’ai pensé à la mort.
J’ai pensé, que cette bûche est venue d’un joli  arbre
Qui a jailli de la terre, qui a grandi, et est devenu fort.
Comme nous, ils ont aussi de la vie et ont leur cycle.
De son tronc, jaillirent le ramage, du ramage, les feuilles.
Les arbres vivaient altiers et donnaient de la beauté à la terre.
Il nous donnent l’ombre ou nous pouvons nous reposer.
Donnent aussi l’oxygène pour que nous puissions respirer.
Le jour arrive et leur cycle commence à arriver à la fin.
Ils sont abattus, défeuillés et coupés sans la moindre pitié.
Plus tard, nous allons les trouver chez nous, séchés.
Transformés en meubles ou simplement transformés en bûches
Pour nous chauffer et pour nous donner aussi de la commodité.
Comme nous, eux meurent, et finissent en cendres.
L’homme aussi il devient cendre ou de la poussière.
C’est comme ça la vie que l’on veuille ou  pas.
Tout le monde pleure la personne qui a disparu.
Mais nous ne pleurons pas pour l’arbre qui nous a chauffé
Pour lui, personne ne sera en deuil. Pour lui…
Qui nous a aidé à respirer, lui qui a purifié l’air à nous.

BRAS DANS LE BRAS

Jamais je me suis senti supérieur à qui que ce soi.
J’occupe mon espace et je respecte celui des autres.
Je suis comme je suis, par un autre chemin je n’irai pas.
Je suis un home simple mais avec beaucoup de dignité
Que je  veux respecter, je suis amant de loyauté..
Je ne suis pas riche ni pauvre, mais j’ai un cœur noble,
Qui ne provoque personne, sauf s’il est attaqué.
Alors là, mes amis, ma réponse est toujours implacable.
Je ne vais pas avec des paroles de satin, mais  tout en moi.
Sont des épées affutées, des poignards les plus cruels
Qui laisseront des blessures qui resteront incurables,
Dans ces Âmes pourries, gens d’ Âme misérable
Que personne m’accuse pour défendre comme cela.
Nettoyer d’abord  ces caves des  toiles de tarentules
Tenir la cour agréable pour pouvoir se promener.
Ou les palabres sentaient le vrai plaisir d’y être.
Que les pompiers éteignent les allumettes
Qui incendient le bois que tous nous sommes,
Avant d’incendier le Palais ou nous vivons.
Il y a un Roi, mais il n’y a pas de vassales, je ne suis pas.
Le Roi qui laisse son Trône pour gérer son Royaume
Avec justice, sans préférences, tout le peuple est égal
Et alors oui, nous pourrons vivre, bras dans le bras.

mardi 27 juillet 2010

ONDE D'AMOUR

Tes yeux sont la lumière qui illuminent mes souvenirs
Qui donnent plus de belle  brillance à mon passé,
Et le tien dans l’union de nos cœurs pour l’avenir,
Qui tant notre grand amour ils ont su si bien garder.

Tes yeux sont l’Océan ou baignent toutes mes tristesses,
Mais ou je purifie les pêchés de toute ma jeunesse,
Mais dans ses yeux je vois l’amour et ta tendresse
Celle que tu caches à l’intérieur c’est ta richesse.

La couleur verte  me rappelle la mer ou je navigue
Et en jour de tempête, en eux je cherche l’abri,
Je reste ancré puisque je me repose de toute la fatigue
Et tu me serres fort contre ton corps, toujours ami.

Tes yeux sont le sérum de la jeunesse qui me conserve
Ainsi que notre amour toujours jeune et sans âge
Donnant toujours la même lumière verte et nous réserve
Une belle onde d’amour et une nuit de joie sauvage

lundi 26 juillet 2010

REFAIRE LA PLANETE

Si j’aurai le pouvoir de refaire la planète
De la faire revenir à sa vrai origine,
Montagnes, vallées, rivières et aussi les Océans,
Forêts, prés verdoyants, tout vierge,
Un vrai Eden, calme, silencieux
Après, oui, créer une nouvelle vie .
Un royaume d’animaux sauvages et des humains
Avec une autre mentalité , autre sensibilité,
Donner à tous ces êtres ce que nous savons,
L’expérience du mal pour lequel nous passons,
Pour ainsi abolir  le mal que notre société a.
Comme ça, il serait possible vivre en paix, en harmonie
Ou tous devraient travailler pour tous,
Savoir que nous sommes tous égaux, non à l’indifférence
Ou l’amour serait Roi , que bon  tout cela serait.

TRANSFORMER LE MONDE

Ah… si j’avais le pouvoir de transformer le Monde!
Je terminerai avec la pollution qui empêche de respirer.
Je terminerai aussi la pollution des paroles immondes
Qui nous étouffent notre jour à jour, notre univers.

Je terminerai avec les mauvaises langues qui parlent des amis
Et qui disent même ce qu’ils ne savent même pas de tout.
Critiquer la vie d’un couple qui ne sont pas des ennemis
Sont de paroles malsaines qui nous blessent beaucoup.

Nous marchons dans ce monde et tous ont besoin de tous..
Sans cordonniers il n’y aurait pas de chaussures, comment faire?
Sans ingénieurs , il n’y aurait pas le progrès dans ce Monde jaloux
De la médicine , qui a besoin des malades des coronaires.

Si les fossoyeurs n’existaient pas, les corps étaient dans la rue.
Si les agriculteurs n’existaient pas que serait de notre alimentation
Sans tissu , il n’aurait pas de couturières tout le monde serait nu,
Sans amour comment pourrait vivre l’humanité, sans sensation.

Je veux dire, avec ma  manière de penser, réfléchir ou de voir ,
Que sans un l’autre n’existerait pas, nous avons besoin de tous.
Nous pourrons faire un Monde pour bien vivre avec l’espoir
Dire du mal , n’avance à rien, ou le cynisme existe, ils sont des fous.

samedi 24 juillet 2010

JE VAGUAIS DANS LES QUESTIONS






Quand un jour je laisserai ce Monde
Aurai je après, la nostalgie de la vie?
Je ne peux pas répondre, je suis vagabond
Qui vaguera dans les questions sans sortie.

Se sera possible quand la mort arrivera
Emmener avec moi un manuel des souvenirs
Ou seront les bons moments vécus déjà
Donnant mon cœur, et des autres conquérir.

Enregistrer dans ses mémoires tant d’amour
De celui, du bon, que j’ai reçu de ma mère.
Dans mon jardin  elle fut la plus belle fleur
Qui a su m’aimer et moi je l’aimais, je suis fier.

Les bons moments passés avec mon épouse
Les baisers de notre fils et petit fils aussi
Baisers  de tendresse de bouche fugueuse
Des flammes de fraicheur et de plaisir je rendis.

Tant d’autres mémoires s’en iront avec moi
Voguant dans un espace invisible à beau plaisir
Je demanderai au vent si on emmène avec soi
Les réponses que je voulais pouvoir saisir.

vendredi 23 juillet 2010

LA RUE DE LA SOLITUDE

Vivre sans amour, est comme vivre nu de vie.
Sans être aimé ou quelqu’un pour aimer.
Ne pas pouvoir dire, bonjour amour, ma chérie
La tristesse qui vit en nous, est Lune dissipée

Les jours passent et mon cœur toujours vide,
Vide de tout, sans chaleur, mais palpitant.
Mon sang circule comme un  Océan frigide
Qui gèle mon âme et dans le vide se répand.

Je n’ai pas perdu l’espoir de trouver cet amour
Qui puisse m’apporter  l’allégresse et quiétude
Je l’attends comme une abeille qui attend la fleur,
Ne te trompes pas, j’habite la Rue de la Solitude

ÉCRIS,ÉCRIS,ÉCRIS

Mon stylo est venu à courir
Et s'est installé entre mes doigts.
Ecris, écris, écris,
Me disait-elle
Je suis resté confus, suffoqué
Et pour ne pas le dire, j'ai eu peur.
C’ était de la magie!...
Autre chose , je ne pouvais pas admettre!
Ecris, écris, écris.
Mais sur quoi, veux tu que j'écrive?
Quand j'ai du temps pour penser
J'ai du mal à trouver un thème
Et si toi, tu viens me forcer
Cela va être un dilemme!
Ecris, écris, écris.
Ecrire sur quoi? Sur la Terre?
Mais nous savons que le Monde
Est constamment en guerre!
Ecrire sur la pauvreté
Qui dans le monde se propage?
Tout le monde sait qu'elle existe
Nous savons qu’elle persiste
Et nous savons aussi
Que pour la combattre il y a qui?
Ecris, écris, écris.
Mais que veux tu que j’ écrive?
Que j'écrive sur Adam et Eve?
Tout le monde connaît l'histoire
La pomme est dans notre mémoire
Et c'est de sa faute si nous sommes ici
Que nous sommes là.
Ecris, écris, écris.
Si tu continues a insister
Je commence à m'affliger!
Attends!... et si j'écrivais sur l'amour?
Celui du bon, avec splendeur.
Ecris, écris, écris.
Là, tu commences à m'enthousiasmer.
Silence! je vais commencer!
Ò, chérie... ne tapes pas les portes!!!
Je veux entendre ma plume glisser.

jeudi 22 juillet 2010

J'AI PARLÉ AVEC MON SEXE




Aujourd’hui, j’ai parlé avec mon sexe et je lui ai demandé.
Pourquoi, mon vieux cher ami, tu ne veux pas travailler?
Toi, que tu étais toujours près pour faire bien ce je sais
Et maintenant tu ne fais que dormir et ou alors te reposer.
Je t’ai donné des vitamines bleues, la force tu as perdu
Ce furent pas des bisous de cette couleur, tu veux quoi?
Tu n’as pas réagi, tu as fait des grimaces, du jamais vu
Ma dignité de mâle tu sais bien que tu la blesses à tout va.
Alors ce monsieur tête basse et caché m’a répondu
Ce n’est pas que je sois un fainéant,je le fais pour toi.
Tu sais bien que tu es malade je me sens bien vaincu
Avoir besoin de m’arrêter, c’est le chemin de la croix.
Tu a déjà vu ce que se serait si un jour à travailler
Ton cœur fatigué, arrêterait son beau battement?
J’aurais des remords et je passerais le temps à pleurer,
Non de larmes comme celles d’avant, mais tristement.
Je l’ai regardé, les deux nous sommes restés si tristes
Que nous avons dû nous aider très fort pour être au top
J’ai commencé à lui donner la main et ainsi il résiste,
Que voulez-vous, je suis quelqu’un de bon, un philanthrope.

J'AI PARLÉ AVEC LA NOSTALGIE

    

J’ai parlé avec la nostalgie, et j’ai senti la tristesse
Elle m’a parlé de tant de choses que je ne pensais pas
L’étonnement m’a touché, en parlant  de ma jeunesse ,
De mon enfance m’amusant dans mon jardin, ici et là


Des queues pour le charbon, le pétrole, et pour le pain
C’était la guerre, nous vivions avec le rationnement.
La lampe à l’huile qui illuminait à peine un seul coin
Et mes devoirs d’école je les faisais le matin seulement.

Qu’elle m’a vu souffrir, triste comme les autres gamins.
Qui eux, comme moi, n’ont pas eu une belle jeunesse.
Terminé l’école et  le travail nous attendait le lendemain
Qui nous obligeait à la servitude, sans espoir, que tristesse.

Les amusements étaient pas beaucoup, pas de temps libre.
Le salaire, n’était qu’un aumône pour acheter du pain
Ce n’était  pas beaucoup, mais nous aidait un peu pour vivre
Quarante huit heures de travail, un dimanche pour les copains.

C’était comme ça la vie, m’a dit la nostalgie tristement
Mais si nous pensons bien, les difficultés m’ont fait un homme
Aujourd’hui la jeunesse vit mieux, ce n’est qu’un bien
Mais c’est dommage que la jeunesse, très mal la consomme.

lundi 19 juillet 2010

CE NE SONT QUE DES GAMINS DE LA RUE

Je passe dans les rues de la ville
Et je voie tant de gamins perdus
Très loin de la félicité infantile
Et de la vie complètement dévêtus

Il vont voguant de  rue en rue
Ou n’existe pas la morale
Ils souffrent d’une destiné nue
Victimes de ce destin brutal.

Gamins qui vivent dans le rien
Qui voyagent dans ce  vide là
Ils font   une longue randonnée
Dans cette Terre incendiée
Ou la chaleur nous donne du froid.
Changent leur corps pour l’argent
Pour leur permettre de vivre
Ce n’est pas une vie avec un braisier
Mais une souffrance brulante
Que jamais ils ne pourront pas oublier.

Pour eux, les jours  n’ont pas de Soleil
Les nuits n’ont pas le clair de Lune
Leur futur ne sera pas une merveille
Dans leur regard il n’y a pas de fortune.

Ces loups qui dans la nuit rodent
Et qui les explorent sans pitié
C’est sur qu’ils ne se souviennent
Que des gamins aussi, ils ont été.

dimanche 18 juillet 2010

5 ANS DE PRISON, QUELLE JOIE!

Ah…. La prison, parfois peut être un bien.
J’ai pu, quand j’avais vingt ans, prendre 5 ans.
Et combien je regrette de ne pas l’avoir fait.
Bizarre qui puisse paraitre cela ne serait rien
Par rapport á 25 ans de souffrance étant libre.
5 ans au repos, ça passe vite et après libre,
Libre comme un oiseau voguant dans l’espace.
Je n’aime pas faire du mal quoi que l’on dise
Et n’acceptant pas accomplir ces cinq ans
Ce n’a pas été un mais deux qui furent prisonniers
Cinq ans de prison par rapport à 25 ans
Sans être enfermé dans une maison d’arrêt
Mais 25 ans pénibles à vivre, et à faire souffrir
Comme je regrette de ne pas me laisser enfermer
J’aurai eu le reste de ma vie pour pouvoir aimer

VIE DE COUPLE

Pendant ma jeunesse j’ai rêvé former une famille
Une famille qui serait heureuse, entourée d’enfants
J’avais peur de mourir sans m’être marié, et la vie
A voulu que j’arrive à me marier mais en me sacrifiant.

Sacrifiant, c’est le mot, et ce sacrifice a atteint deux êtres
Nous n’avons eu jamais le plaisir de vivre en couple.
Avec la naissance de nos enfants, ce fut un temps joyeux
Mais quand on se marie sans amour, rien n’est souple..

Nous avions le même caractère, les chocs constants
Avec le temps notre relation s’était empirée, intenable.
Rien n’allait plus, ainsi notre vie était réduite à néant
Rester ensemble pour les enfants, eux n’étaient pas coupables.

Enfants que j’aimais, que j’aime et j’aimerai toujours
Qu’ils croient ou non ,c’est naturel, mais ils savent bien
Que la vie entre père et mère était impossible, c’est sur
A qui la faute? A moi, c’est vrai, tout seul? Bon, c’est bien.

Je ne veux pas faire un acte d’accusation, j’ai mes raisons
Tant de choses se sont passées contraires au bon sens
Accuser ma mère de pute, c’est quelque chose de profond
Que je ne pardonnerai jamais, ce ne fut pas une accusation mince.

Je sais que mes enfants ont souffert avec notre séparation
Au contraire de ce qui ce disait, je les ai aidé comme je pouvais
Mais l’argent que je leur ai envoyé pour leur alimentation
Il était gaspillé en voyages à Paris et aux enfants elle n’a pas pensé

C’est une histoire longue que je ne vais pas ici décrire
Après ma mort, soyez tranquilles je ne vais pas durer
Vous saurez des choses, dans mon tiroir il y a de quoi lire
Je sais que je serais toujours le coupable, continuez à m’accuser.

LE MONDE EST MORIBOND

Regarde, regarde mon amour le jardin qui nous entoure!
Comme il est beau, comme il est jolie,  tout en couleur
Regarde, regarde, là bas une ruche, oui, je suis sure
C’est là que les abeilles fabriquent le miel de notre amour.

Les papillons se posent ici, se posent là bas, gracieux.
Les fleurs de toutes formes, roses de pétales sont parfumées
Le jasmin, les œillets, des lires, des rosiers pleins de roses
Qui parfument nos Âmes qui sont toujours énamourés.

I l est beau l’aquarium ou les poissons allègres nagent.
De toutes couleurs et allégrement glissent dans l’eau.
Les plantes aquatiques ou ils se cachent en nous regardant
Nagent dans l’eau, cherchent leur nourriture, c’est beau.

Il est tard, mon amour, la Lune commence à argenter le jardin.
Partons allons chez nous emmenant en nous ce jolie Monde.
Je me suis réveillé, je ne voulais  pas y croire, mais enfin
Cela n’était qu’un rêve, mais  le Monde est moribond .

jeudi 15 juillet 2010

JE SUIS MORT LA SEMAINE DERNIERE

Je suis mort la semaine passée, oui, vous pouvez croire.
J’ écris maintenant  parce que je viens de ressusciter.
Cela était une promesse que j’ai faite avant mourir,
Ecoute ma chérie, tu peux croire, tu verras, je reviendrai.

Comme toujours, je suis un homme qui tient sa parole.
Je ne voulais pas passer pour un très vilain menteur
Ce n’est pas une posture d’homme, ce n’est pas mon rôle
Et de revenir à ce Monde fait de moi un rénovateur.

Quand la mort est venue me visiter, pour m’emmener
Je lui ai offert une nouvelle robe longue,  toute noire
À condition que durant la nuit elle aille me chercher
Une très belle sépulture réservée aux poètes dérisoires.

Je suis là, je peux lire, mais personne ne peut me voir.
Je ne suis pas un Fack, je suis le même qui j’étais.
Mais faîtes attention, si quelqu’un lira pendant le soir
Réfléchissez, rappelez vous, je suis invisible, je suis José .

Alors comme ça, ne pensez plus au poète ancien
Celui qui écrivait certaines choses sans aucun sens.
Maintenant, c’est  la nouvelle poésie de demain
La belle qualité sera là, fine, écrite avec une pince

J'AI PERDU MON PASSÉ

Je n’ai que le présent, je n’ai pas le futur
Il y a beaucoup de temps, j’ai perdu mon passé
Mon présent je ne l’ai pas en belle verdure
J’ai cherché à vivre sans souffrir et non trompé.

Mon passé comme exemple, je ne le veux pas.
Il fut un passé sans intérêt, et sans jeunesse
Celle qu’ un enfant vie  ce n’est qu’un hiver froid
Dans son cœur, dans son âme, sans allégresse.

J’ai rêvé d’un futur heureux, un futur joyeux
Comment conquérir je ne sais pas mais je lutterais.
Je n’aspire pas à la richesse, mais joli et chanceux
Qui me donnerais tout l’espoir que je cherchais.

Mais je ne veux pas ce futur seulement pour moi.
Je désire que ceux qui naissent deviennent heureux
Qu’ils puissent avoir la vie bien parfumée d’acacia
Avec les pieds  accrochés à la terre et courageux

DIEU, C'EST MOI!

Notre Planète, je veux dire, la Planète de quelques uns, va de mal en pire.
Les guerres sont une constante, la misère ne s’ arrête pas de grandir, les riches, sont de plus riches et les pauvres sont de plus en plus pauvres.

Les forêts subissent une disparition comme par enchantement pour la réjouissance des profiteurs et le climat souffre avec la cupidité de ces messieurs. Les animaux sauvages, beaucoup  aujourd’hui ne sont qu’ une race rare en voie de disparition.

Que font les gouvernants?  Rien! Ils ne font rien pour arrêter cette onde de défaillance qui règne entre les peuples, les saisons de l’année ont perdu la tête, sont complètement désorganisées.

Et au milieu de tout cela,  que fait Dieu?  Il parait que c’est Lui qui a crée le Monde et alors, pourquoi  ne fait il rien pour que ce Qu’il a crée ne soit pas sauvegardé?

Ces derniers temps je réfléchis beaucoup sur ce problème  et j’ai pris une décision radicale
À partir d’aujourd’hui, Dieu c’est moi!

Que personne me vienne dire qu’un autre Dieu existe, non! Dieu, c’est moi, l’unique!

Tous ceux qui se considèrent Dieu, sil vous plait, passez à la caisse, prenez votre indemnité et vous êtes tous licenciés avec juste cause.
Vous avez laissé d’être Dieu! À partir d’aujourd’hui…

Dieu, c’est moi!

lundi 12 juillet 2010

LA BOHÈME EST MON POEME

Les personnes sont gentilles, mais simples de trop
Travaillent jours et nuits pour des chacals laissant la peau
Je suis un vagabond, sans doute, mais je respire l’air
Le travail c’est une chose sérieuse et très salutaire.
Je laisse ce plaisir aux chômeurs et aux apprentis
Qui travaillent avec plaisir et qui soient gentils.

Je n’ai pas un toit
Je n’ai pas de voiture
Je n’ai pas un cheval
Je n’ai pas un centime
Je n’ai pas un décime
Je n’ai pas un régal

Mais je chante, la vie est belle et sans problèmes,
Mais je chante , parce que la bohème est mon poème.

Ma vie est une aventure
Parfois dure
Et sans vernis qui soit
Mais avec ma guitare
Je suis cigale
Qui chante la joie.

Toutes les nuits je peux dormir sous les étoiles.
Mon toit est le plus beau toit, un bateau sans voiles.
Mes amours ne comptent pas, ils sont brefs et pas heureux
Ils me laissent un doux souvenir, ils sont comme les rêves.
Mais si sur le visage d’une femme une larme a décati,
Je ne suis pas coupable, c’est elle qui n’a rien compris.



TE SOUVIENS TU?

Te souviens tu,
Du jour ou nous nous sommes trouvés
Et que nos regards se sont croisés
Et nous nous sommes imbibés d’amour?
Te souviens tu,
Des promenades dans notre rue, Irène,
Ma main serrait fort la tienne
Et nous faisions le tour du quartier
Dans ces nuits tièdes, de l’été.
Te souviens tu,
De notre premier baiser
Mes lèvres ont caressé ton menton
Tu es restée pétrifiée
Mais dans un rien…
Tu m’as donné ta bouche
Et toi folle et moi fou
De plaisir profond
Pour un instant nous avons pensé
Que nous étions seuls au Monde!
Te souviens tu,
Du jour de notre mariage?
Inoubliable moment….!
Toi, toute en blanc habillée
Et des fleurs d’oranger ornée
Et moi de costume noir.
Et quand devant l’Autel
Nous avons dit oui sans hésiter,
La Vierge a souri quand elle a vu notre regard
Te souviens tu,
De notre première discussion?
Qui ne nous a pas désunit, non!
Cela n’était qu’ un grain de sable
Qui a été amené par le vent
Et dans notre vie est entré
Mais la brise de l’amour qui nous a liée
L’ai soufflait au loin et il n’est pas revenu.
Te souviens tu du jour que tu m’a dis
Que moi j’allais être papa?
Et toi, tu as voulu
Que nous allions acheter la layette
Sans même savoir si bleu ou rose,
Mais quel importance? Tu sais,
La vie, est un poème en prose
Chanté par les rossignols dans les ronceraies.
Te souviens tu,
Quand le fruit de notre amour
A ouvert ses yeux à la vie
Et une énorme chaleur
A envahi nous cœurs?
Nous sommes devenus riches d’émotions
Que ce jour la, il nous a amené
Et toi, tu as su que je serais
Ton deuxième amour

La neige tombe.
Et son linceul blanc brille dans la nuit.
Nuit d’hiver, nuit bien noire.
Une nuit longue mais qui nous donne le bonheur
De pouvoir admirer les flammes dans la cheminée
Qui chauffent notre foyer, notre nid.
Admirer extasiés , notre petit fils.
Souvenir du passé toujours présent.
Parce que notre amour jamais il a été absent.
Je te vois toujours en blanc habillée,
Des fleurs d’oranger ornée.
Te souviens tu de mon costume noir?
Tu te souviens?






vendredi 9 juillet 2010

AMOUR VOLAGE

Comme un gitan
Qui parcoure le Monde
Parcoure les sensations
Mais moi je suis sure
Que tu es le vagabond
De mes illusions.

Tu passes à mon coté
Tu écoutes mes doléances
Je ne sais pas les cacher.
Mais tu es comme ça,
Tu es comme le vent
Qui vient me caresser.

Dans ton univers
Toujours en voyage
Tu oublies le mien.
Mais je te demande
Que de temps en temps
Tu oublies le tien.

Si tu me donnes une minute
Ce n’est pas que poussière
Dans le temps de la vie.
Mais si tu es rusé
Je serai la première
À te donner un abri.

Amour volage
Volage volage
Tu me laisses toute seule.
Cœur aérien
Aérien aérien
Je suis ton hirondelle
Qui te cherche
Te cherche te cherche
Dans mon madrigal
Pour faire mon nid
Mon nid mon nid
Être ton étoile.





SILENCE

Silence
Je vais commencer à écrire
Seulement pour le plaisir.
Ce que je sais et ce que je ne sais pas
Que vous lisiez ou non
Pour moi ,il n’y a pas d’importance
Ce sont de palabres sans fragrance
Mais c’est ce que je sais écrire.

Silence.
Je veux écouter les doléances
De toute ma jalousie
Qui ne s’arrête pas de me parler.
Je veux, écouter les mots de mon cœur
Des mots qui nous emballent
Et que du parfum exhalent
Des pétales d’amour en fleur.

Silence.
Je veux écouter le doux crépiter
Des mes lèvres à t’ embrasser
À l’aube d’une nuit d’amour.
Sentir ta peau satinée
Sur mon corps se délecter
Rassasient nos désirs
En conjuguant le verbe aimer.




mercredi 7 juillet 2010

COURIR OU PAS

Pourquoi perdre notre temps avec des choses futiles?
Nous occupons notre temps sans donner de bon résultat
Nous pensons, nous écrivons pour des choses inutiles
Le mieux c’est passer le temps à dormir dans la véranda.

Ou alors, dans un pré sur l’herbe et ne pas réfléchir.
Laisser les rayons du Soleil bien bronzer les idées
Ainsi en les chauffant l’inspiration puisse venir
En écoutant les oiseaux chanter autour des prés.

Apprécier la vitesse d’un escargot quand il est pressé.
Il part à temps pour arriver à son destin et arrive.
Nous courrons mais nous arrivons nulle part, vrai
Parce que nous courrons à une vitesse qui dérive.
Il ne vaut pas la peine de résoudre un problème
Qui n’existe que dans notre pauvre imagination.
Laisser qu’il arrive, mais attendre c’est un dilemme
Et combien de fois le problème n’est que fiction.

Que tu coures ou pas, la distance est la même.
Doucement on va loin, selon le vieux dicton
Je préfère la vitesse d’une limace de gemme,
J’arriverais à temps même en dormant à fond.

QUE L'AMOUR

Rêver est vivre dans l’irréel,
Voguer dans l’espace Sidéral
C’est aller d’étoile en étoile.
C’est une comète qui passe
C’est donner à la vie la grâce
La grâce d’une gazelle

Pour cela, rêve avec moi
Rêve que je suis ton abri
Cabane de ton rêveur.
Dans la magie de nos rêves
Pouvoir baiser tes lèvres
Dans la cabane de l’amour

Faire voyager nos rêves
Sur un tapis volatile
Passer à coté de la Lune
Et des étoiles de l’amour
Et sur les nues blanches
Ou nous pouvons nous poser
Nos corps peuvent rouler
Et continuer à rêver.

Amour, que de l’amour rien d’autre.
C’est la belle des crédibilités
Que seulement les rêves peuvent en avoir.
Rêver que l’amour est éternel
Rêver que pour lui il n’y a pas d’hiver
Aimer et rêver d’un amour immortel

Comme c’est bon rêver d’amour!
D’une femme , belle fleur
D’un parfum champêtre.
Rêver que dans notre cœur
Habite un amour protecteur
Et le Paradis terrestre




lundi 5 juillet 2010

JE SUIS UN GUERRIER

Je sais que je suis un guerrier,
Mais un guerrier qui est toujours à la défensive
Comme une équipe qui a une tactique de contre attaque,
Une contre attaque qui peut être très vénéneux
Vu que la contre attaque est un geste toujours dangereux.
Je sais que je suis un guerrier.
Quand mes murailles
Sont escaladées par des personnes sans scrupules,
Je serais le premier à envoyer de l’huile bouillante
Pour bruler les attaquants,
Ceux qui me blessent ont toujours la réponse adéquate.
Je suis quelqu’un avec un caractère souple,
Mais je ne suis pas non plus de la marmelade.
Je sais que je suis un guerrier,
Mais je préfère les guerres d’amour, les luttes corps à corps.
J’aime mordiller les lèvres de ma bien aimée.
J’aime boire l’eau salée de ses yeux pleins de désirs.
Je me venge, je suis vorace, je charge mon arme de baisers
Et je tire partout dans son corps je la fais contorsionner de plaisir.
Je sais que je suis un guerrier.
J’utilise mes flèches empoisonnées chargées de miel
Et elle se défend aussi léchant le miel de mon corps
Et moi, guerrier animal, je la laisse attaquer
Jusqu’à ce que mon corps, d’amour, tombe mort.

dimanche 4 juillet 2010

MON CHEMIN, MON DESTIN


 

 

J’ ai marché dans des ruelles étroites, ou habite la vie.

Comme c ’est difficile marcher sur les pavés noirs

Les murs presque se touchent, le Soleil c ’est un oubli,

Seulement les ombres marchent avec moi, j ’ai le cafard.

Mon corps compressé entre ces murs, ne faisait que gémir

Je sentais que la vie le faisait souffrir, il n’y avait pas d’avenue

Ou il pourrait marcher sans souffrance, mais avec le sourire

Mais pour lui n’était destiné que de vieilles ruelles perdues.

J’ai tenté d’abandonner ces chemins sinueux, dangereux.

Une force étrange m’a nié toujours un chemin cristallin.

J’ai cédé. J’ai continué à marcher dans les chemins de feux

Je suis resté convaincu que mon chemin était mon destin.



vendredi 2 juillet 2010

SYMPATHIE ET AMITIÉ

Pourquoi, es-tu toujours triste? Ris! Conquis l’allégresse.
C’est avec elle que nous vivons mieux et sans impôts
Tu as un visage serré, change, croie-moi, ça presse
Et tu verras, tu te sentiras mieux et jamais de trop
Ne prend pas tout au premier degré, accepte l’humour
Avoir un visage fermé, cela ne veut pas dire plus sérieux
Nous pouvons être allègres, responsables , vivre l’amour
Et être intègre dans notre société sans être soucieux.
Ne pense pas que l’intégrité morale est plus forte
Si tu montres le manque de sympathie sur ton visage
Nous pouvons aimer l’égalité et rire jusqu’à la mort
Aimer la liberté et rire, c’est plus jolie, fais de lui usage.
Si pour imposer ta personnalité tu te fais très austère
Tu te trompes, ne crois pas que tu seras plus respecté
La rigueur peut être imposé sans être trop, trop sévère,
C’est la sympathie et l’ amitié qui en nous doit régner