INVITATION
JE VOUS INVITE À VISITER ET À VOUS INSCRIRE POUR PUBLIER VOS POÈMES EN FRANÇAIS AU FRANCO-POÈMES
mercredi 25 avril 2012
DU TEMPS PERDU
Tant et tant d’heures en t’attendant je passais dans cette rue.
Tout le monde me connaissait et me disait bonjour avec délicatesse
Et comme il était drôle quand la nuit arrivait et la Lune toute nue
Qui me regardait avec tendresse et avec un sourire de noblesse.
Puisqu’elle savait que je souffrais d’un amour non correspondu .
Tous les jours j’amenais un nouveau bouquet de roses vermeilles
Puisque celles de la veille étaient fanées comme mon cœur perdu
J’espérais pouvoir m’approcher, pour lui dire je t’aime à son oreille.
J’ai espéré en vain, je me suis perdu dans le temps, dans un espace vide
Moi, je pensais que mon cœur arriverait un jour à le conquérir
C’est comme l’eau de rivière qui se perd en arrivant à la Mer se suicide.
Mon espoir est mort, mon âme souffre et moi, je suis un Martyr
vendredi 13 avril 2012
mardi 3 avril 2012
J'ÉCRIS CE QUE LE COEUR ME DIS
Je me suis marié avec toi par amour, tu le sais, poésie?
Il y avait déjà longtemps que mon cœur me parlait
Il me dictait des paroles d'amour, mais sans modestie,
C’étaient des paroles les plus belles qu’il te dédicaçait.
Peu à peu, j'ai commencé à écrire ces belles paroles
Qui se transformaient en phrases et elles étaient belles.
Sans que je m’aperçoive qu’ une rime à elles s'accole
Et je me suis aperçu que la poésie arrivait, quelle donzelle.
J'ai commencé à faire attention à toi et l'amour est arrivé.
Toutes les nuits mes rêves ne parlaient que de toi.
En travaillant mes paroles la passion s'est réveillée,
Je fais de mon mieux et dans les lettres je me noie.
Les années ont passé, j'écris des vérités et des mensonges.
Jamais je suis allé plus loin, toujours loin de la perfection.
Je voulais être poète, mais le poète s'inspire et songe
Et moi entre les poètes je suis candidat à l'admission.
Il y avait déjà longtemps que mon cœur me parlait
Il me dictait des paroles d'amour, mais sans modestie,
C’étaient des paroles les plus belles qu’il te dédicaçait.
Peu à peu, j'ai commencé à écrire ces belles paroles
Qui se transformaient en phrases et elles étaient belles.
Sans que je m’aperçoive qu’ une rime à elles s'accole
Et je me suis aperçu que la poésie arrivait, quelle donzelle.
J'ai commencé à faire attention à toi et l'amour est arrivé.
Toutes les nuits mes rêves ne parlaient que de toi.
En travaillant mes paroles la passion s'est réveillée,
Je fais de mon mieux et dans les lettres je me noie.
Les années ont passé, j'écris des vérités et des mensonges.
Jamais je suis allé plus loin, toujours loin de la perfection.
Je voulais être poète, mais le poète s'inspire et songe
Et moi entre les poètes je suis candidat à l'admission.
dimanche 1 avril 2012
NE SONT QUE DE GAMINS DE LA RUE
Peut importe ou ils naissent.
Peut importe leurs couleurs.
L'important est qu'ils passent
Dans la vie avec amour.
Quelques uns sont des oiseaux
Qui dorment au clair de lune.
Fragiles comme des cristaux,
Ce sont des oiseaux sans plumes.
C'est triste de voir ces gamins
Qui n'ont pas de feu ni lieu,
Sans Noël et sans sapin,
Mais un destin silencieux
Gamins de triste vie
Qui méritent d'être aimés,
Ils n'ont que la garantie
Que leurs lits... sont de pavés.
Enfants sans passé ni présent
Et d'un lendemain incertain,
Dans ce Monde inquiétant,
Les loups sont moins loin.
Oiseaux qui vont croître
Toujours d’ailes cassés,
Jeunesse qui se laisse abattre
Dans un Monde sans pitié.
Vieux Monde...
Tu est au Moyen-Age.
Ta société sans partage,
N'est plus la Grande Dame.
Vieux Monde...
Ta jeunesse est égarée,
Leurs routes sont éparpillés
Des très froides flammes.
Peut importe leurs couleurs.
L'important est qu'ils passent
Dans la vie avec amour.
Quelques uns sont des oiseaux
Qui dorment au clair de lune.
Fragiles comme des cristaux,
Ce sont des oiseaux sans plumes.
C'est triste de voir ces gamins
Qui n'ont pas de feu ni lieu,
Sans Noël et sans sapin,
Mais un destin silencieux
Gamins de triste vie
Qui méritent d'être aimés,
Ils n'ont que la garantie
Que leurs lits... sont de pavés.
Enfants sans passé ni présent
Et d'un lendemain incertain,
Dans ce Monde inquiétant,
Les loups sont moins loin.
Oiseaux qui vont croître
Toujours d’ailes cassés,
Jeunesse qui se laisse abattre
Dans un Monde sans pitié.
Vieux Monde...
Tu est au Moyen-Age.
Ta société sans partage,
N'est plus la Grande Dame.
Vieux Monde...
Ta jeunesse est égarée,
Leurs routes sont éparpillés
Des très froides flammes.
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