Tu es passée, belle, provocante,
Ton corps félin, fébricitant
Mon regard a brulé.
Mon cœur désireux d’amour,
Osé, fort, dominateur
Ton défi avec brio a accepté.
Ton corps est une splendeur
Un joli oasis d’amour
Un désert qui embrase.
Plage ou je veux nager
Mer ou je veux me noyer
Un désir qui m’arase.
Tu as des yeux enchantés
Des lèvres très désirées
Ecarlates d’ardeur..
Tes seins sont de Déesse
Ou, avec grande tendresse
Je te donnerais mon amour.
Mais les années passaient
Et je ne suis qu’une amoureux
De chimères, reste l’illusion.
Ton corps continue un monument.
Et moi, j ne suis qu’un épouvante
Sans espoir, à qui restait l’ambition
INVITATION
JE VOUS INVITE À VISITER ET À VOUS INSCRIRE POUR PUBLIER VOS POÈMES EN FRANÇAIS AU FRANCO-POÈMES
samedi 30 octobre 2010
mercredi 27 octobre 2010
TU PEUX M'APPELER DÉMENT
Image Georgessyilvie, centerblog
Dément!… oui, tu peux m’appeler dément!
Puisqu’en vérité, moi, je suis fou de toi.
Ma démence est présente dans mon cœur
Puisqu’il souffre tant, et toi, tu ne le sais pas.
Il souffre toujours quand tu es absente.
Mon cœur est un cœur jaloux, et souffre d’amour.
Il veut que le tien l’aime, il ne veut pas souffrir
Pour cela il est fou en attendant ton retour.
L’amour, mon amour est la source de la vie.
Sans elle nous ne pouvons pas vivre avec joie.
Deux êtres qui ne s’aiment pas, est vie perdue.
Ce ne sont que deux âmes qui volent sans Nord.
Sans avoir une étoile qui les guide au Paradis
Et sans Paradis d’amour, c’est vivre sans support.
Dément!… oui, tu peux m’appeler dément!
Puisqu’en vérité, moi, je suis fou de toi.
Ma démence est présente dans mon cœur
Puisqu’il souffre tant, et toi, tu ne le sais pas.
Il souffre toujours quand tu es absente.
Mon cœur est un cœur jaloux, et souffre d’amour.
Il veut que le tien l’aime, il ne veut pas souffrir
Pour cela il est fou en attendant ton retour.
L’amour, mon amour est la source de la vie.
Sans elle nous ne pouvons pas vivre avec joie.
Deux êtres qui ne s’aiment pas, est vie perdue.
Ce ne sont que deux âmes qui volent sans Nord.
Sans avoir une étoile qui les guide au Paradis
Et sans Paradis d’amour, c’est vivre sans support.
lundi 25 octobre 2010
AINSI, NOS LÉVRES S'ÚNIRENT
Je te voyais passer dans ma rue
Et mon cœur restait suspendu
À tes pas gracieux de gamine.
La friction suave satinée, fine,
Le sentir de ton parfum, passant
Tes pas synchronisés, envoutants.
Le soir, quand je voyais arriver
Le Soleil dorait ton beau visage.
Tu te faisais dévier ton joli regard.
Moi, fasciné, un jour je dis , bonsoir.
Je voulais avoir la délicieuse félicité.
D’un jour conquérir tant de beauté.
Tu es passé, et pour la première fois
Tes lèvres se sont ouvertes, tu as souri.
Moi, j’ai senti l’euphorie d’une passion.
Mon cœur a senti une énorme sensation.
Plongé dans les nuages des rêves exquis
Et d’espérance d’un bel amour conquit.
La réalité a remplacé nos beaux rêves.
Nos cœurs et nos lèvres, ainsi s’unirent.
Notre amour est très fort et exaltant
Tout est beau, tout est lumière excitante.
Nous avons une vie d’amour jonchée
Nous vivons heureux, d’un amour aimé.
Et mon cœur restait suspendu
À tes pas gracieux de gamine.
La friction suave satinée, fine,
Le sentir de ton parfum, passant
Tes pas synchronisés, envoutants.
Le soir, quand je voyais arriver
Le Soleil dorait ton beau visage.
Tu te faisais dévier ton joli regard.
Moi, fasciné, un jour je dis , bonsoir.
Je voulais avoir la délicieuse félicité.
D’un jour conquérir tant de beauté.
Tu es passé, et pour la première fois
Tes lèvres se sont ouvertes, tu as souri.
Moi, j’ai senti l’euphorie d’une passion.
Mon cœur a senti une énorme sensation.
Plongé dans les nuages des rêves exquis
Et d’espérance d’un bel amour conquit.
La réalité a remplacé nos beaux rêves.
Nos cœurs et nos lèvres, ainsi s’unirent.
Notre amour est très fort et exaltant
Tout est beau, tout est lumière excitante.
Nous avons une vie d’amour jonchée
Nous vivons heureux, d’un amour aimé.
mercredi 20 octobre 2010
CE FUT LE TEMPS DE L'AMOUR
IMAGES GOOGLE
En pénétrant dans ton cœur
Avec mon amour pour toi passionné,
Tu as ouvert ta poitrine, et tu lui as donné la vie.
Et dans une nuit de clair de Lune, nuit calme,
Nos corps se sont fondus abandonnés.
Tu m’as tout donné de toi, je t’ai donné tout de moi.
Dans un moment de rêve, j’ai senti que tes seins
Se promenaient sur mon corps tout doucement.
Ils savouraient le parfum, il était ton jardin.
Mon corps a accepté de s’abandonner à ton plaisir.
J’ai baisé tes yeux vermeilles de désir ,
Moi j’ai voulu te posséder et je t’ai couvert de baisers.
J’ai vu ton corps Devin, de plaisir, rire,
Pendant que mes lèvres attendaient les tiens
Et ils sont venus, sont venus pour laisser le miel de l’amour.
Passionnément, j’ai savouré ce nectar
Qui fut le commencement d’une orgie passionnée.
Ce furent les heures ou le temps s’est arrêté.
Ce fut le temps de l’amour, le temps d’une passion
Une passion de qui a su aimer
En pénétrant dans ton cœur
Avec mon amour pour toi passionné,
Tu as ouvert ta poitrine, et tu lui as donné la vie.
Et dans une nuit de clair de Lune, nuit calme,
Nos corps se sont fondus abandonnés.
Tu m’as tout donné de toi, je t’ai donné tout de moi.
Dans un moment de rêve, j’ai senti que tes seins
Se promenaient sur mon corps tout doucement.
Ils savouraient le parfum, il était ton jardin.
Mon corps a accepté de s’abandonner à ton plaisir.
J’ai baisé tes yeux vermeilles de désir ,
Moi j’ai voulu te posséder et je t’ai couvert de baisers.
J’ai vu ton corps Devin, de plaisir, rire,
Pendant que mes lèvres attendaient les tiens
Et ils sont venus, sont venus pour laisser le miel de l’amour.
Passionnément, j’ai savouré ce nectar
Qui fut le commencement d’une orgie passionnée.
Ce furent les heures ou le temps s’est arrêté.
Ce fut le temps de l’amour, le temps d’une passion
Une passion de qui a su aimer
mardi 19 octobre 2010
DANS L'OBSCURITÉ DE LA NUIT
Dans l'obscurité de la nuit j'ai promené mes rêves.
Ils défilaient heureux dans la lumière de mes pensées.
Je ne voulais pas ouvrir mes yeux, je préférais les trêves
Je vivais ces rêves dans un inoubliable moment sensé.
Dans l'obscurité de la nuit j'ai visité des rues et cités
Comme un aveugle sans une canne ni son fidèle chien.
Quand la vie est belle, nous marchons dans la félicité
D'avoir toujours une lumière dans le cœur sans chagrin.
Quand dans l'obscurité de la nuit l'amour se réveille
Les amants finissent de rêver pour commencer leur délire,
Entrelacent leurs corps et commencent à vivre de plaisir.
Et la nuit est devenue illuminée avec l'éclat des yeux
Pour le plaisir de l'amour qu'à l'aube a commencé
Comme si le soleil revenait dans une nuit argentée.
Ils défilaient heureux dans la lumière de mes pensées.
Je ne voulais pas ouvrir mes yeux, je préférais les trêves
Je vivais ces rêves dans un inoubliable moment sensé.
Dans l'obscurité de la nuit j'ai visité des rues et cités
Comme un aveugle sans une canne ni son fidèle chien.
Quand la vie est belle, nous marchons dans la félicité
D'avoir toujours une lumière dans le cœur sans chagrin.
Quand dans l'obscurité de la nuit l'amour se réveille
Les amants finissent de rêver pour commencer leur délire,
Entrelacent leurs corps et commencent à vivre de plaisir.
Et la nuit est devenue illuminée avec l'éclat des yeux
Pour le plaisir de l'amour qu'à l'aube a commencé
Comme si le soleil revenait dans une nuit argentée.
LE PHARAON
images DJIBNET
Pendant ma jeunesse
Je rêvais de l'aventure.
Connaitre des nouveaux Mondes,
Connaitre d'autres gents
Et de faire la promesse
De conquérir la France profonde,
D'écrire l'histoire en peinture.
Et avec mon chalumeau
Et mes lances en cuivre
Tel le Chevalier Lancelot,
Je suis parti à la conquête
Je suis devenu compagnon.
Je me suis battu comme un lion.
Et sur mon cheval volant
Je n'ai pas hésité un instant,
J'ai transpercé les frontières
Rien ne m'a résisté.
Et moi, Albert premier,
De surnom, Le Plombier,
Aujourd'hui, guerrier fatigué
Je me repose; je lis Euripide
Et les fables de La Fontaine.
J'ai construit ma Pyramide
Je suis... le plombier de la Garenne.
Pendant ma jeunesse
Je rêvais de l'aventure.
Connaitre des nouveaux Mondes,
Connaitre d'autres gents
Et de faire la promesse
De conquérir la France profonde,
D'écrire l'histoire en peinture.
Et avec mon chalumeau
Et mes lances en cuivre
Tel le Chevalier Lancelot,
Je suis parti à la conquête
Je suis devenu compagnon.
Je me suis battu comme un lion.
Et sur mon cheval volant
Je n'ai pas hésité un instant,
J'ai transpercé les frontières
Rien ne m'a résisté.
Et moi, Albert premier,
De surnom, Le Plombier,
Aujourd'hui, guerrier fatigué
Je me repose; je lis Euripide
Et les fables de La Fontaine.
J'ai construit ma Pyramide
Je suis... le plombier de la Garenne.
SUBLIME FLEUR
Je ne sais pas si toi as oublié l'amour qu'un jour je t'ai offert
Je n'oublierais jamais ta belle et jolie robe en organdi bleu-vert.
Tu étais belle, ton joli sourire si beau, si charmant, si ravissant.
Nous avons échangé des mots, nous avons échangé la lumière des yeux.
Nous avons ébloui nos coeurs avec une lumière Divine.
Nous avons compris que notre vie allait vivre d'amour battant
La Primevère venait de commencer et comme une fleur sublime
De parfum inébriant, nectar de la douceur d'un baiser
Échangé en regardant la Lune, qui de nos pêchés nous rédime.
Tu m'as offert ton amour dans un joli plateau de cristal.
Je l'ai accepté en sachant, oh, combien le cristal est fragile, mais le désir
Que j'avais de te tenir dans mes bras, faisait oublier le mal.
La fragilité de l'amour, la fragilité du coeur, de la vie.
Mais moi, j'espérais que la force de notre amour suffisait.
Je savais aussi, qu'une sublime fleur,elle, devient fanée.
Qu'elle aussi, perd ses pétales, mais notre amour
Lui, je ne pouvais croire, qui, comme la fleur, il ternirait.
Mais il a terni et aujourd'hui, je sais que tu as oublié la sublime fleur
De parfum inébriant, la douceur d'un baiser, un baiser d'amour.
lundi 18 octobre 2010
UNE ÂME DANS L'AIR FLOTTANT
J’ai profité du soleil qui aujourd’hui brillait
Je suis allé visiter la capitale, faire du tourisme
Au Musée Grévin pour voir si moi aussi, j’étais
Mais non, mais il était réservé au symbolisme.
Je suis allé visiter la tour Eiffel, tout est du métal
Et du métal , on a besoin pour aller au restaurant manger,
En toute vérité c’est une œuvre qui n’a pas de rival
Comme tout était trop cher, je me suis mis à marcher.
Je suis allé a l’Arc du Triomphe marchant à pieds
Après je suis allé à Montmartre, au Sacré Cœur,
Je me suis trompé, je suis entré par l’arrière, pas sacré
J’ai visité les peintres, de là très près, dans le secteur.
Mais cela, tous les étranger, à Paris ils vont visiter
Je voulais visiter un local ou pas tous, peuvent aller.
J’ai fait le tour de la capitale j’ai vu des choses à rêver
J’ai visité la morgue et croyez moi ,cela m’a fait pleurer.
J’ai ouvert un tiroir, bien frais, mais quelle surprise,
La personne qui était dedans bien à l’abri de la chaleur,
Vous n’allez pas me croire, vous allez rire, à votre guise
La personne qui se rafraichissait, c’était, le visiteur.
J’ai fermé le tiroir étonné de me trouver dans ce tiroir
J’ai réfléchi à ma vie dans le passé, de mes derniers temps
Je suis arrivé à croire que je n’existe pas, je suis un avatar,
Je sais, que moi je ne suis plus moi, mais une âme dans l’air flottant.
Je suis allé visiter la capitale, faire du tourisme
Au Musée Grévin pour voir si moi aussi, j’étais
Mais non, mais il était réservé au symbolisme.
Je suis allé visiter la tour Eiffel, tout est du métal
Et du métal , on a besoin pour aller au restaurant manger,
En toute vérité c’est une œuvre qui n’a pas de rival
Comme tout était trop cher, je me suis mis à marcher.
Je suis allé a l’Arc du Triomphe marchant à pieds
Après je suis allé à Montmartre, au Sacré Cœur,
Je me suis trompé, je suis entré par l’arrière, pas sacré
J’ai visité les peintres, de là très près, dans le secteur.
Mais cela, tous les étranger, à Paris ils vont visiter
Je voulais visiter un local ou pas tous, peuvent aller.
J’ai fait le tour de la capitale j’ai vu des choses à rêver
J’ai visité la morgue et croyez moi ,cela m’a fait pleurer.
J’ai ouvert un tiroir, bien frais, mais quelle surprise,
La personne qui était dedans bien à l’abri de la chaleur,
Vous n’allez pas me croire, vous allez rire, à votre guise
La personne qui se rafraichissait, c’était, le visiteur.
J’ai fermé le tiroir étonné de me trouver dans ce tiroir
J’ai réfléchi à ma vie dans le passé, de mes derniers temps
Je suis arrivé à croire que je n’existe pas, je suis un avatar,
Je sais, que moi je ne suis plus moi, mais une âme dans l’air flottant.
lundi 11 octobre 2010
SI UNE SEULE PALABRE SUFFISAIT
Si une seule palabre suffisait pour te conquérir
Si un simple regard suffisait pour te captiver
Si un seul baiser suffisait pour pouvoir te séduire
Si un seul geste suffisait pour à tes pieds tomber.
Je te dirais des palabres simples, les plus belles,
Pour que tu ne puisses penser que tout serait fantaisie,
Si peintre j’étais, je produirais la plus belle aquarelle
Et tu serais pour moi, de toutes, la plus belle poésie.
Si nécessaire est, pour toi, des montagnes je raserais
Je viderais tous les Océans pour pouvoir te trouver.
Quand l’amour est fort, il n’y a pas mieux qu’aimer,
Tout je ferais, pour t’avoir dans mes bras et t’embrasser.
Je conquerrais la plus belle plage de sable le plus fin,
Pour sur elle , seulement nous deux pouvoir se promener.
Et au petit matin plonger dans cette énorme piscine
Et après rouler nos corps, faire de l’amour sublimé.
Si un simple regard suffisait pour te captiver
Si un seul baiser suffisait pour pouvoir te séduire
Si un seul geste suffisait pour à tes pieds tomber.
Je te dirais des palabres simples, les plus belles,
Pour que tu ne puisses penser que tout serait fantaisie,
Si peintre j’étais, je produirais la plus belle aquarelle
Et tu serais pour moi, de toutes, la plus belle poésie.
Si nécessaire est, pour toi, des montagnes je raserais
Je viderais tous les Océans pour pouvoir te trouver.
Quand l’amour est fort, il n’y a pas mieux qu’aimer,
Tout je ferais, pour t’avoir dans mes bras et t’embrasser.
Je conquerrais la plus belle plage de sable le plus fin,
Pour sur elle , seulement nous deux pouvoir se promener.
Et au petit matin plonger dans cette énorme piscine
Et après rouler nos corps, faire de l’amour sublimé.
dimanche 10 octobre 2010
CINQ OCTOBRE 2010
Cinq octobre!
C’est l’anniversaire
De mariage de mon épouse.
Moi? Non,
Je ne me suis pas laissé faire
Elle est allée à la Mairie
Á courir
Comme elle était pressée!
Elle m’a convaincu
Et moi
Je me suis laisser faire.
Moi, j’ai pensé
Que j’allais seulement signer
Des papiers pour la maison.
Mais non.
C’ était pour me marier
Et moi,
Je ne me suis pas aperçu
Pauvre simplet!…
Félicitations,
Félicitations,
Mais félicitations pourquoi?
Parce que tu es marié!
Marié,… moi?
Quand je pense
Que je me suis laissé faire…
Que aujourd’hui
Cela fait 19 ans…
Quelle surprise,
Pauvre taré.
Oui, dans les mots doux
Je me suis laissé tomber.
C’est l’anniversaire
De mariage de mon épouse.
Moi? Non,
Je ne me suis pas laissé faire
Elle est allée à la Mairie
Á courir
Comme elle était pressée!
Elle m’a convaincu
Et moi
Je me suis laisser faire.
Moi, j’ai pensé
Que j’allais seulement signer
Des papiers pour la maison.
Mais non.
C’ était pour me marier
Et moi,
Je ne me suis pas aperçu
Pauvre simplet!…
Félicitations,
Félicitations,
Mais félicitations pourquoi?
Parce que tu es marié!
Marié,… moi?
Quand je pense
Que je me suis laissé faire…
Que aujourd’hui
Cela fait 19 ans…
Quelle surprise,
Pauvre taré.
Oui, dans les mots doux
Je me suis laissé tomber.
MA GUITARE ET MOI
J’ai parcouru Paris avec une guitare dans la main
J’avais le cœur froid, je n’étais pas dans mon jardin.
Au Pont Alma, je me suis penché sur le parapet
J’ai tenté de jouer de la guitare, mais rien était parfait.
La guitare comme moi, pleurait de grand désespoir
Ses gémissements me touchaient comme un poignard
Parce qu’ en bas passait la Seine, mais pas le Tage
Il n’y avait pas des bateaux à voiles en jolie cortège.
Ma guitare , je l’ai prise fortement dans mes bras au matin
Comme un amour qu’on attache avec de lacets en satin
Tous les deux , nous avons pleurés, les vendeurs des journaux
Et non plus les criées des poissonnières au bord de l’eau.
Pour nous ,l’énorme tour Eiffel était vraiment très petite,
Notre Tour de Belém, cela, oui, notre jolie fille qui se visite.
Nous sommes allés à l’Arc de Triomphe pour chanter un Fado
Mais l’ancien Arc de la Mouraria, était notre joli drapeau.
Ma guitare a cassé toutes ses cordes à cause d’énervement
Moi, j’ai perdu mes cordes vocales à cause de ce fort vent
Qui venait de notre Capitale, la plus belle, qui est Lisbonne
Qui nous amenait de la Madragoa, que du fado le renomme.
J’avais le cœur froid, je n’étais pas dans mon jardin.
Au Pont Alma, je me suis penché sur le parapet
J’ai tenté de jouer de la guitare, mais rien était parfait.
La guitare comme moi, pleurait de grand désespoir
Ses gémissements me touchaient comme un poignard
Parce qu’ en bas passait la Seine, mais pas le Tage
Il n’y avait pas des bateaux à voiles en jolie cortège.
Ma guitare , je l’ai prise fortement dans mes bras au matin
Comme un amour qu’on attache avec de lacets en satin
Tous les deux , nous avons pleurés, les vendeurs des journaux
Et non plus les criées des poissonnières au bord de l’eau.
Pour nous ,l’énorme tour Eiffel était vraiment très petite,
Notre Tour de Belém, cela, oui, notre jolie fille qui se visite.
Nous sommes allés à l’Arc de Triomphe pour chanter un Fado
Mais l’ancien Arc de la Mouraria, était notre joli drapeau.
Ma guitare a cassé toutes ses cordes à cause d’énervement
Moi, j’ai perdu mes cordes vocales à cause de ce fort vent
Qui venait de notre Capitale, la plus belle, qui est Lisbonne
Qui nous amenait de la Madragoa, que du fado le renomme.
LE BAR DE L'AMOUR
Quand dans le bar tu es entrée
Gracieuse je t’ai vu passer
Avec tes hanches dansant.
Mes yeux se sont ouverts
Et tes pas ils suivaient,
Toujours en t’admirant.
Tu t’es assise à une table
Dans une façon confortable
Et tu as appelé le garçon.
Moi, vers toi, j’ai regardé
Tu as souri, je n’ai pas oublié
Et tu as demandé un Bourbon.
J’ai vu dans ton sourire si joli
Un signal venu du Paradis,
J’ai vu en nous un amour à vivre
J’ai vu tes yeux briller
Et ton sourire d’enchanter
Et j’ai décidé de te suivre.
Tu seras l’air que je respire
Tu es le Monde que je désire,
Tu seras mon espace privé.
Je serai ton madrigal
Ton Aurore Boréal
Nous aurons un Monde enchanté.
Ton corps , je veux dévêtir
Pour sentir le beau plaisir
Des tes lèvres, la tendresse
Être l’amour qui enivre
L’arôme qui ne me prive
De toute ta jeunesse.
Ton regard , il t’a trahi
Mon amour, il a souri
Il sera ton troubadour
Et cette table qui t’a reçu
A gardé un nom qui m’a plu
La table de notre amour.
Gracieuse je t’ai vu passer
Avec tes hanches dansant.
Mes yeux se sont ouverts
Et tes pas ils suivaient,
Toujours en t’admirant.
Tu t’es assise à une table
Dans une façon confortable
Et tu as appelé le garçon.
Moi, vers toi, j’ai regardé
Tu as souri, je n’ai pas oublié
Et tu as demandé un Bourbon.
J’ai vu dans ton sourire si joli
Un signal venu du Paradis,
J’ai vu en nous un amour à vivre
J’ai vu tes yeux briller
Et ton sourire d’enchanter
Et j’ai décidé de te suivre.
Tu seras l’air que je respire
Tu es le Monde que je désire,
Tu seras mon espace privé.
Je serai ton madrigal
Ton Aurore Boréal
Nous aurons un Monde enchanté.
Ton corps , je veux dévêtir
Pour sentir le beau plaisir
Des tes lèvres, la tendresse
Être l’amour qui enivre
L’arôme qui ne me prive
De toute ta jeunesse.
Ton regard , il t’a trahi
Mon amour, il a souri
Il sera ton troubadour
Et cette table qui t’a reçu
A gardé un nom qui m’a plu
La table de notre amour.
vendredi 8 octobre 2010
LA REVOLTE DES RÊVES
Les rêves sont révoltés!
Nous rêvons avec la Paix, avec l’amour.
Nous rêvons avec une Terre en fleur
Et quand nous nous réveillons,
Ce n’est pas du tout la réalité.
Les guerres continuent sans pitié.
L’amour a perdu beaucoup de ce qu’il été.
La Terre continue à subir du feux.
Les femmes sont tuées, hommes et enfants.
Ceux qui nous gouvernent, font que des jeux.
La lutte du pétrole fait la fortune des uns
Et aussi la misère des autres,
À cause du pétrole, il y a ceux qui tuent.
Des gents sans scrupules, conscience sauvage.
Les sans abris prolifèrent tous les jours
Il n’y a plus de joie comme il y avait dans le temps,
Des promesses que de promesses,
Continuant à tromper les gents.
Et le pouvoir politique, que fait ‘il? Rien!
Je veux dire, oui, il font. Il ment constamment.
Nous rêvons avec la Paix, avec l’amour.
Nous rêvons avec une Terre en fleur
Et quand nous nous réveillons,
Ce n’est pas du tout la réalité.
Les guerres continuent sans pitié.
L’amour a perdu beaucoup de ce qu’il été.
La Terre continue à subir du feux.
Les femmes sont tuées, hommes et enfants.
Ceux qui nous gouvernent, font que des jeux.
La lutte du pétrole fait la fortune des uns
Et aussi la misère des autres,
À cause du pétrole, il y a ceux qui tuent.
Des gents sans scrupules, conscience sauvage.
Les sans abris prolifèrent tous les jours
Il n’y a plus de joie comme il y avait dans le temps,
Des promesses que de promesses,
Continuant à tromper les gents.
Et le pouvoir politique, que fait ‘il? Rien!
Je veux dire, oui, il font. Il ment constamment.
samedi 2 octobre 2010
JE CHANTE L'AMOUR
Je sens de la nostalgie de regarder tes yeux
De tes lèvres embrasser, de te parler d’amour.
Et comme un seigneur, avec respect t’aimer.
Je pense au silence de ces fous moments
En étant seul, seulement les yeux riaient.
Nos corps s’ unissaient et nous perdions la voix.
Reviens je t’offrirais des cascades d’amour,
Montagnes de fleurs ornées de belles étoiles,
Je te donnerai aussi les nuits les plus belles,
Je te couvrirai de baisers, je serai tes désirs
Et pour la vie entière, tu seras ma Cinderella
Les nuits sont longues, je n’ai plus de rêves,
Nuits sans étoile, je n’ai plus de clair de Lune,
Ni même pas tes lèvres pour pouvoir embrasser
Et non plus le romantisme des chandelles.
Je chante, je chante l’amour, pour te faire écouter
Dans mon désespoir, mon cœur très fort pleure
Mais quand je pense à toi , il pleure doucement
Si tu passes à ma porte , il ne veux pas t’effrayer
De tes lèvres embrasser, de te parler d’amour.
Et comme un seigneur, avec respect t’aimer.
Je pense au silence de ces fous moments
En étant seul, seulement les yeux riaient.
Nos corps s’ unissaient et nous perdions la voix.
Reviens je t’offrirais des cascades d’amour,
Montagnes de fleurs ornées de belles étoiles,
Je te donnerai aussi les nuits les plus belles,
Je te couvrirai de baisers, je serai tes désirs
Et pour la vie entière, tu seras ma Cinderella
Les nuits sont longues, je n’ai plus de rêves,
Nuits sans étoile, je n’ai plus de clair de Lune,
Ni même pas tes lèvres pour pouvoir embrasser
Et non plus le romantisme des chandelles.
Je chante, je chante l’amour, pour te faire écouter
Dans mon désespoir, mon cœur très fort pleure
Mais quand je pense à toi , il pleure doucement
Si tu passes à ma porte , il ne veux pas t’effrayer
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