Les pavés noirs de la rue ou elle habite
Sont déjà usés, je passe à toute heure
Je voulais la voir à fenêtre , je la sollicite
Mais rien de rien, elle encore m’ignore.
Mes chaussures sont percées de tant marcher
Mais mes pieds têtus même saignant
Même déchaussés ne veulent pas abandonner
Et ainsi je continue toujours en marchand.
Mais un jour, dans la vie il y a toujours un jour
Et je l’ai vu à sa fenêtre et j’ai vu son regard,
Le clair de lune est venu argenter sa chevelure
Je voulais , d’elle ,m’approcher, quel veinard.
J’ai ailé mon cœur qui vers elle , il a volé ,
Au bord de sa fenêtre joyeusement , il est arrivé
Elle avec ses mains douces l’a pris et caressé
Et mon cœur enamouré, elle aussi, l’a embrassé
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