À la douceur du vent
Je me laissais voguer
J’ai laissé le destin
Me faire pèlerin
Et de la vie rêver.
Je vaguais dans les rues
Et un motif inconnu
M’a amener à danser,
J’ai vu tant de beautés
Que j’ai hésité
A laquelle convier.
Dans cette discothèque
Mais quels beaux yeux j’ai vu
D’une poupée
Dans lesquels je me suis perdu
J’ai dansé avec elle
J’ai pris sa main
Je me suis mis contre elle
Mais quelle sensation.
Je ne sentais pas la terre
Avec beaucoup de raison
Nous avons bu un verre
Je l’ai emmené à la maison.
Et durant le chemin
Cette gentille beauté
M’a fait un câlin
D’autres nous avons échangé.
Et toujours en marchant
Souriant et s’embrassant
Son corps je l’ai pris
Avec le cœur bien à l’aise
J’ai attisé cette braise
Qui a chauffé notre nid.
Et au petit matin
Notre doux coussin
Fut un berceau chauffant
Le destin a décidé
Du destin et nous a donné
Une nuit d’enchantement
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